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Jason

Jason

80 ans, retraité. Du temps pour continuer à découvrir le monde. Vie active passée dans le technique, l’enseignement supérieur et l’industrie. Le tout (près de 40 ans) dans deux pays étrangers. Je redécouvre l’Hexagone.
 Sceptique et éclectique j'apprécie ce qui est écrit clairement et me soucie peu des fautes d'orthographe pourvu que la compréhension n'en souffre pas. J'aime l'humour, le badinage, bref une certaine élégance dans l'expression, mais attention aux précieux et aux pédants. Ecrire pour tous reste un exercice difficile.

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  • Premier article le 08/11/2006
  • Modérateur depuis le 03/09/2011
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Derniers commentaires



  • Jason Jason 6 juin 2007 10:45

    Oui, c’est ce que j’ai vu. J’ai donc réparé mon imprudence. Ne connaissant pas de candidat Jason, ni de prêcheur avec la binette de Lénine se faisant appeler Nicolas, je devrais avoir la paix pour un moment.

    Jason



  • Jason Jason 5 juin 2007 12:23

    @ Pierre JC Allard,

    Alias Nicolas ci-dessus, j’ai dû changer mon pseudo.

    Je ne saisis pas ce que vous entendez par compétence décimologique. Je suis entièrement de votre avis en ce qui concerne les compétences de bases de l’Etat fournisseur de la formation de base des enfants. Les hommes étant mortels, il y a donc un minimum à transmettre aux nouvelles générations, mais quel est ce minimum ?. Un commentateur a souligné ici la différence essentielle entre éducation et formation. Est-ce qu’on pourrait dire : l’école forme, la famille éduque ?

    Egalement d’accord sur le fait qu’il faut laisser à l’enseignant les coudées franches et j’ajouterai qu’il faut constamment travailler sur la relation enseignant-parents. Ce que je déplore, c’est qu’il y ait en France presque chaque année une « crise de la rentrée », et cela depuis 40 ans ou presque. Autre aspect détestable du système, la concurrence exacerbée entre les enfants, encouragée souvent par les enseignants et la société en général. Mais tout cela est connu, d’où ma réaction conseillant à chacun de prendre les choses en mains et de n’attendre de l’Etat qu’un minimum.

    Cordialement, Jason (alias Nicolas)



  • Jason Nicolas 4 juin 2007 20:37

    @ Gasty,

    Merci pour la mise au point. Le démiurge-en-chef d’Avox ne réagissant pas, je vais donc changer de pseudo.

    Nicolas19



  • Jason Nicolas 4 juin 2007 14:35

    A l’auteur,

    Très bon article qui pose une question très grave : peut-on faire confiance à l’Etat pour éduquer les enfants et les adolescents ?

    « Y a-t-il encore de la place dans notre société pour une éducation libre des entraves idéologiques qui constituent le monde moderne dans lequel nous évoluons ? » Oui, faites-la vous-même. Depuis l’éducation (dans le cadre de la scolarité définie par le ministère du même nom) gratuite et obligatoire du XIXème siècle, le citoyen lambda pense que l’Etat doit prendre toute l’éducation en charge, égalité oblige. On déplore le développement de l’éducation privée payante ; créons une éducation privée bénévole. Ou du moins des programmes supplémentaires pour prémunir les écoliers du lavage de cerveau ambiant et du conditionnement fixé par les contraintes économiques. Il y a sans doute eu, dans l’histoire récente, des tentatives, mais je ne les connais pas.

    Il se trouve que, les hommes étant mortels, il est impératif pour toute société, de transmettre un minimum de connaissances pour permettre aux sociétés de continuer d’exister, etc. Vivant dans une république et jouissant d’une certaine liberté d’action, rien ne nous empêche de prendre certaines choses en main. Qu’attend-on pour le faire ? Pour paraphraser Kennedy :« ne demandez pas ce que la société peut faire pour vous, mais ce que vous pouvez faire pour votre société ». Lui, disait « votre pays » plutôt que société. On commence quand ?

    Evidemment, certains brandissent comme repoussoir le communautarisme, la dissidence, les sectes, l’existence de groupes identitaires s’élevant contre l ‘Etat. Par ailleurs, je ne pense pas non plus que le jacobinisme ambiant résoudra le problème dans la mesure où ce même Etat arbitre en faveur des idéologies socio-économiques dominantes. Il faudra bien tirer un trait quelque part, un de ces jours. Cela ne tient qu’à nous.

    Nicolas19



  • Jason Nicolas 2 juin 2007 20:37

    @ totoro, 14h41

    Mon propos ne me semble pas plus dogmatique que le vôtre. je critique les trois concepts ou piliers du capitalisme tels que proposés par l’auteur.

    « Le fait que vous soyez d’accord ou pas est un autre problème, mais pour parler d’un sujet il me semble naturel de le définir. » C’est donc cette définition qui fait l’objet de mon intervention. Je maintiens, néanmoins qu’il y aurait matière (et qu’il existe toute une littérature sur le sujet) à discussion sur les fondements, le développement et les effets du capitalisme.

    Que vous pensiez autrement ne me surprend nullement. vous n’êtes pas le seul à soutenir vos idées, et je ne suis pas le seul à soutenir les miennes. Tout dépend de quel état du monde vous vous satisfaites. Le capitalisme existe. Fort bien, c’est une évidence. Les définitions offertes dans l’article proposé me paraissent bien faibles et un peu courtes pour amener des changements que beaucoup souhaitent voir se réaliser. Vous semblez penser que le capitalisme dans son état actuel est à peu près satisfaisant, que quelques réformes pourraient l’améliorer ? moi je ne le pense pas. A qui l’Histoire donnera-t-elle raison ?

    Cordialement, Nicolas19

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