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Jason

Jason

80 ans, retraité. Du temps pour continuer à découvrir le monde. Vie active passée dans le technique, l’enseignement supérieur et l’industrie. Le tout (près de 40 ans) dans deux pays étrangers. Je redécouvre l’Hexagone.
 Sceptique et éclectique j'apprécie ce qui est écrit clairement et me soucie peu des fautes d'orthographe pourvu que la compréhension n'en souffre pas. J'aime l'humour, le badinage, bref une certaine élégance dans l'expression, mais attention aux précieux et aux pédants. Ecrire pour tous reste un exercice difficile.

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  • Premier article le 08/11/2006
  • Modérateur depuis le 03/09/2011
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Derniers commentaires



  • Jason Nicolas 16 mai 2007 18:16

    Merci pour cet excellent article très bien documenté. Le genre d’article qu’on aimerait voir plus souvent sur Agoravox.



  • Jason Nicolas 16 mai 2007 18:08

    Très bien dit Tavernier, mais vous vous situez là dans le domaine de l’éthique. Or, celui-ci ne possède pas d’unités de compte. Comment mesurerez-vous les réalisations de ce que vous souhaitez ? Je ne dis pas que ce que vous évoquez n’est pas faisable, mais on est là hors de la sphère économique. Et comme chacun sait, hors du capital, point de salut.

    Mesurer les impacts de la « financiarisation de l’économie » sur le plan social, là est le formidable défi. Dans un premier temps, les mesures préconisées par l’auteur de l’article (billet de 17 h 01) seraient une solution. Ne s’approche-t-on pas là de la fameuse taxe Tobin sur les plus values d’actifs ? N’étant pas spécialiste je ne saurais me prononcer.



  • Jason Nicolas 14 mai 2007 15:11

    Je vous remercie pour cet excellent article donnant un éclairage inattendu et très pertinent sur la course présidentielle. Les surenchères ont été frappantes. Mais les deux partis avaient, ce me semble, deux notions différentes de ce qu’ils voulaient changer. Ne voulant pas utiliser le terme de libéralisme, trop galvaudé, j’utiliserai celui de laisser-faire. Les deux candidats ont brandi la course au désir de changement, mais dans une atmosphère de laisser-faire économique, honteux à gauche et ambitieux à droite. Capitalisme raisonnable (donc impossible) contre capitalisme galopant à droite. Comment s’en sortir alors que la France est un minuscule pignon dans les rouages de l’économie mondiale ? Il y aura sans doute des changements, mais pas ceux qu’on attend.

    D’ailleurs les observateurs ont noté que tous les présidents, jusque-là, ont changé leur politique économique au bout de deux ans de mandat. A suivre...

    L’archéo-conservatisme est un humanisme ; mais ce dernier n’a plus guère la cote aujourd’hui.



  • Jason Nicolas 14 mai 2007 12:24

    Voulez-vous dire par là que la France est un pays corrompu ? Non, on n’est tout de même pas une kleptocratie quand même ! Ah oui, on a une mauvaise réputation dans le monde ? On est mal classés ? Bah, ça passera. Il est vrai que le concept de conflit d’intérêt gagne peu à peu du terrain. Il y a bien la notion de trafic d’influence ; mais allez prouver que c’est le cas ici. Les juges ont trop de travail, et la justice en France est très mal dotée (23 € par habitant contre plus de 40 € pour l’Allemagne et le Portugal).

    Dire que les papeteries du groupe Bolloré ont remporté le contrat de fourniture pour la production de documents officiels ne prouve rien. Avez-vous consulté la procédure d’appel d’offres et les conditions d’attribution de ce marché ? Votre argument, là, prive votre article de crédibilité, et c’est dommage, car le sujet est intéressant. Vous polémiquez parfois sans preuves.



  • Jason Nicolas 10 mai 2007 11:58

    @ l’auteur,

    « Ils ne veulent pas laisser à d’autres le soin de décider de leur avenir et le taux de participation de 85,5% illustre leur passion recouvrée pour la politique. »

    Puissiez-vous avoir raison. Mais les électeurs ne contrôlent pas bon nombre de ressorts qui meuvent leur société. A commencer par l’économie de marché, et la croyance, ici et là, qu’il existerait quelque part un capitalisme raisonnable. Ensuite, les institutions avec lesquelles, du président aux assemblées, il va falloir composer. Tous les codes de lois, en nombre infini (pas tout à fait il n’y en a que 63 avec les arrêtés, règlements, bref, qq 100.00 lois ou plus) et pleins de lacunes, resteront inchangés, ainsi que les micro-pouvoirs locaux, tribunaux de commerce, prud’hommes engorgés, chambres de commerce, ordres divers, associations ombrageuses, etc. Tout un monde glauque qui vit du statu quo.

    Vous avez bien dit suffrage ? Heureux si avec cela on résoudra 5% des problèmes.

    Vive le progrès quand-même ! L’espérance restant la fontaine du bonheur.

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