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« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
 
Helder Pessoa Câmara

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Derniers commentaires



  • Javascript Javascript 4 novembre 2013 16:00

    Vous êtes quand même une sacré chochotte.

    « Nigaud » n’est pas l’insulte la plus violente que l’on puisse entendre de nos jours et si quelqu’un venait à me la lancer à la figure je suis à peu près sûr que je m’en remettrai très bien.

    M’enfin bon, si vous y tenez on peut vous ouvrir une cellule psychologique, c’est très à la mode.



  • Javascript Javascript 29 octobre 2013 14:35

    Mais les histoires de cul et les blagues salaces sont une partie intégrante de l’humour français (et je le dis sans rire).

    Hier encore je regardais 2 heures moins le quart avant Jésus Christ et les grossièretés y sont légion (romaine, ha ha ha).



  • Javascript Javascript 29 octobre 2013 14:13

    Hummm, à propos « du gauchisant Bedos »....

    Mis à part le fait qu’il à le droit d’être un gauchiste je voulais surtout attirer l’attention sur plusieurs points à propos de cette affaire :

    - Des militants de Nadine Morano se trouvait dans la salle du spectacle de Bedos pour le perturber

    - Nadine Morano souffre de la même pathologie mentale que Sarkozy, elle se prend pour une sorte d’élite intouchable et ne tolère pas que du populos ose se dresser devant elle. La preuve avec ce pauvre photographe dont elle n’a pas aimé la photo qu’il a fait d’elle : http://www.lexpress.fr/actualite/politique/morano-plus-jamais-vous-ne-me-prendrez-en-photo_955315.html

    - Qu’on aime ou qu’on aime pas Bedos (perso je suis pas vraiment fan, je préfère le fils) il faut quand même reconnaitre qu’il laissera après lui un héritage culturel dont le pays n’a pas à rougir. Je pense notamment à sa participation au film « un éléphant ça trompe énormément » qui est un classique du cinéma français.

    - Objectivement et sans langue de bois, il faut bien reconnaitre que Nadine Morano est une personne détestable dont les abus verbaux ne sont concurrencés que par ceux de Frédéric Lefebvre l’éternel mal-peigné (un autre UMP étrangement). Bref, c’est bel et bien une grosse conne, difficile de prétendre le contraire.



  • Javascript Javascript 29 octobre 2013 13:39

    Perso ce qui m’a toujours amusé dans l’Anglais international c’est qu’il rapproche surtout les peuples non-anglophones.

    Je m’explique : en tant que salarié d’une boite américaine (anciennement française mais rachetée en 2009) je suis bien obligé d’utiliser l’anglais quotidiennement MAIS, avec mon fucking frenchie accent je suis obligé de ne communiquer avec mes collègues anglo-saxons que par mail sinon ils pigent rien à ce que je raconte ALORS qu’en revanche, avec les autres collègues non-native-english-speaker nous n’avons aucun mal à communiquer dans notre anglais « petit-nègre ».

    Donc parfois je rigole en me disant que c’est quand même con pour les américains d’avoir réussi à imposer leur langue au reste du monde et de se retrouver comme deux ronds de flan devant des européens qui baragouinent du « ze » à tour de bras, sans pouvoir rien comprendre à ce qu’ils racontent.

    En plus, méchant comme je suis (et je ne suis pas le seul dans ma boite), j’ai tendance à ne faire aucun effort sur la prononciation et à amplifier le truc quand je suis obligé de parler à un américain. Du genre : « Aie amme appi to mit iou »



  • Javascript Javascript 16 octobre 2013 09:36

    J’dois vraiment être le dernier grand amateur d’humour très noir et très froid car je trouve au contraire la blague de Bachar (quoi qu’on pense de lui) très bonne.

    Après les derniers choix catastrophiques de lauréats à ce Nobel la blague est particulièrement bien choisit et drôle dans son contexte.

    Bref, j’avoue, j’ai ri !

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