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  • Étirév 22 mai 2024 07:40

    Le Coran utilise deux expressions différentes pour désigner les juifs : soit « fils d’Israël » (banû Isrâ’îl) quand il s’agit des authentiques dépositaires de la tradition hébraïque, soit proprement « juifs » (yahûd) quand il s’agit des représentants de ses formes déviées.
    L’un des authentiques dépositaires de la tradition hébraïque, disait : « C’est qu’il y a deux terres qui portent le nom d’Israël : Il y a la terre d’Israël d’En Haut, et il y a la terre d’Israël d’en bas. La première est appelée « Adama », la seconde est nommée « Eretz ». La terre Sainte est la Terre Céleste où il y a le Palais divin, d’où se déversent les sources de la Sagesse. C’est cette terre spirituelle qui a été promise et donnée à nos ancêtres, et non la terre matérielle. » (Grand Rabbin Jonathan Eybeschutz)
    Dans les Mystères druidiques, l’enseignement donné expliquait la substitution des personnes chez les Juifs, commencement de tout le mal.
    Commençons donc par rappeler la véritable Histoire des Hébreux dont les conséquences à travers les siècles sont la cause de nos luttes actuelles.

    Plus est claire et nette la vision du passé et plus le présent s’éclaire.

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  • Étirév 21 mai 2024 15:07

    Théorie du complot ou Vérité ?
    « Il est un fait assez étrange qu’on semble n’avoir jamais remarqué comme il mérite de l’être, écrit René Guénon  : c’est que la période proprement « historique » (la seule qui soit vraiment accessible à l’histoire ordinaire ou « profane »), remonte exactement au VIème siècle avant l’ère chrétienne, comme s’il y avait là, dans le temps, une barrière qu’il n’est pas possible de franchir à l’aide des moyens d’investigation dont disposent les chercheurs ordinaires. », .
    Le « complotisme » remonte au VIIIème siècle avant notre ère, date à laquelle commença la destruction et l’altération des textes et des grands livres sacrés.
    On précise même la date : cela commença en 747 avant notre ère, c’est-à-dire au moment où la classe sacerdotale se constitua.
    Un roi de Babylone nommé Nabou-Assar, rempli d’un orgueil fanatique et irrité des éloges qu’il entendait prodiguer au régime antérieur, s’imagina qu’il suffisait de faire disparaître sa trace dans l’histoire pour remplir l’univers de son nom et rendre sa domination légitime. Il fit effacer toutes les inscriptions, briser toutes les tables d’airain et brûler tous les papyrus. Il voulait que l’époque de son avènement au trône fût celle qui commençât l’histoire.
    Nous savons qu’une semblable idée était venue aux Romains, qui firent détruire les livres de Numa. Remarquons que Numa, qui est considéré comme le législateur de la cité de Rome, porte un nom qui est le retournement syllabique exact de celui du Manu hindou. Rappelons également que le mot Manu (ou Manou) veut dire « Intelligence législative », qui préside sur la terre d’un déluge à l’autre.
    Il paraît également certain qu’on fit aussi détruire les monuments et les écrits des Thraces et des Volsques.
    Le souvenir d’un pareil événement s’est perpétué aux Indes. On sait assez qu’il eut lieu en Chine et que l’empereur Tsinchi-hoang-ti alla encore plus loin que Nabou-Assar, en défendant sous peine de mort de garder aucun monument littéraire antérieur à son règne.
    Ce système est resté dans les habitudes de tous les conquérants, de tous les usurpateurs, il a même pris des proportions formidables dans les religions modernes.
    N’oublions pas que la fameuse Bibliothèque d’Alexandrie a été brûlée trois fois, que les papes chrétiens ont fait détruire un grand nombre de monuments antiques, que les archives du Mexique et celles du Pérou ont disparu pour satisfaire le zèle fanatique d’un évêque espagnol.
    En ce qui concerne le XXème siècle, et plus particulièrement en France, Robert Charroux (1909-1978) rappelle comment, à Paris, « On » mis sous séquestre puis fit disparaître les Tables astronomiques brahmaniques dites de Tirvalour, attestant la haute antiquité de la science aux Indes ; il souligne également comment, en 1926, « On » ruina frauduleusement le crédit du plus riche gisement archéologique du globe : Glozel ; il fait remarquer, enfin, comment « On » mis à nouveau sous séquestre la Bibliothèque préhistorique de Lussac-les-Châteaux en 1937.
    Et encore plus récemment, lors de la guerre d’Irak menée sous l’impulsion des États-Unis d’Amérique, souvenons-nous des opérations de pillages et du saccage intégral du musée de Bagdad, organisés « professionnellement », sous la passivité totale des forces américaines (sous leur protection même affirment certains), et de la destruction systématique de tous ses ordinateurs et archives dans lesquels étaient recensées et photographiées toutes les pièces de l’inventaire, ainsi que du vol de la majeure partie des 40 000 manuscrits et de la totalité des quelques 80 000 tablettes de terre cuite recouvertes d’inscriptions cunéiformes… des tablettes sumériennes dont le décryptage commençait à s’avérer fort instructif en ce qui concerne les influences babyloniennes chez les rédacteurs de l’Ancien Testament…
    Puis, lorsque ces partis triomphaient, ils avaient soin d’abord d’écrire l’histoire passée, la montrant comme une longue préparation de leur triomphe qu’ils justifiaient par une aspiration des foules existant depuis longtemps.
    Pour répandre l’histoire ainsi écrite, ils créaient un enseignement obligatoire dans lequel ils ne manquaient pas d’avilir leurs ennemis, ceux qu’ils avaient vaincus et qu’ils représentaient toujours comme des barbares ou des gens de mauvaises mœurs. Eux-mêmes se représentaient comme des sauveurs apportant tous les progrès.
    Or, tout cela était mensonge et il importe aujourd’hui de rechercher la vérité cachée, c’est-à-dire le plaidoyer des vaincus, leur véritable état social et moral.
    Cependant, les altérations sont si grossières, si maladroites, si inintelligentes, qu’il ne faut pas une science bien profonde pour les rectifier, il faut seulement de la bonne foi.
    NB : À propos de la guerre de Sécession, qui n’a réglé aucun des problèmes américains et surtout pas la question noire (on peut aisément s’en apercevoir encore actuellement), nous aurions tort de réduire ce conflit Nord-Sud à une lutte simpliste, c’est-à-dire entre adversaires et partisans de l’esclavage, ainsi que les « vainqueurs » tentent, par tous les moyens de nous le faire croire depuis des années. Rappelons simplement que l’étendard de la Confédération, le Stars and Bars, comportait treize étoiles représentant chacun des douze états du Sud, la treizième correspondait à la nation indienne constituée par la totalité des tribus qui, en quelque sorte, étaient venues chercher refuge auprès des « affreux esclavagistes » du Sud, afin d’échapper au génocide des « généreux libérateurs » Nordistes.
    Les indiens d’Amérique, bien avant certains, avaient compris que les « Yankees » représentaient avant tout et par-dessus tout, une civilisation mercantile et cynique, basée sur le profit à n’importe quel prix : la civilisation « rapace » de l’aigle pygargue, devenu depuis l’emblème national des USA.
    « L’Amérique allait naître de ce conflit (la guerre de Sécession) dans lequel sombrerait une civilisation… Mais le Nord vainqueur demeure l’ennemi haï et défié, dans la mesure où il représente une civilisation mercantile, basée sur le profit, par opposition à la civilisation aristocratique du Sud, basée sur l’honneur. » (James Mc Pherson, La guerre de Sécession)
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  • Étirév 18 mai 2024 21:20

    Valéry Giscard d’Estaing : Dès son élection à la présidence de la République en 1974, l’une des premières mesures que prend Valéry Giscard d’Estaing est de proposer l’abaissement de l’âge de la majorité électorale (et civile) de 21 à 18 ans.
    « Rien n’est plus étranger à la sagesse que la jeunesse » disait Louis Pauwels dans « Les dernières chaînes ». En effet, la jeunesse est l’âge de toutes les sottises, de toutes les exactions, elle est le bras séculier de tous les despotes et la matière première de tout militantisme extrême. Dans notre société démocratique et humaniste on encense la jeunesse, alors qu’elle est avant tout grégaire. C’est pour quoi les tyrans ont tant besoin d’elle.

    À ce sujet, rappelons que parmi les principaux acteurs de la Révolution française la moyenne d’âge était de 27-28 ans ; Robespierre et Danton avaient à peine dépassé la trentaine.
    Notons au passage que cette diminution de l’âge de la majorité va permettre la création de nouveaux et nombreux comptes bancaires.
    Aussi, en plus de la loi du 3 janvier 1973 (également appelée « loi Pompidou-Giscard » ou encore « loi Pompidou-Giscard-Rothschild ») qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement et, ainsi, de vampiriser toutes les richesses nationales produites, et du droit de vote accordé à de jeunes adultes inexpérimentés, sans compter le Traité Constitutionnel de 2005 intelligemment rejeté par les français (néanmoins validé en 2007 par Sarkozy et les pantins corrompus du Parlement grâce au Traité de Lisbonne, sa copie quasi-conforme), la France doit à Valery Giscard d’Estaing (accessoirement Co-fondateur de la « French-American Foundation » en 1976, ce programme de formation de traitre à sa Nation), une réforme majeure dans le domaine de l’immigration : la mise en place du « regroupement familial » en 1978 (Chirac était alors 1er Ministre). Carl von Clausewitz (1780-1831), officier général et théoricien militaire prussien, disait qu’« Un grand pays de civilisation européenne ne peut être conquis sans l’aide de discordes intérieures. ».
    La politique d’intégration des étrangers transformera à partir de là, le modèle d’assimilation culturelle et d’adoption totale de la culture française selon la République « Une et Indivisible », qui « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », par un multiculturalisme, libéral, forcé, diviseur et communautaire, selon le modèle anglo-saxon, et conduisant à toute une kyrielle de malheurs sociaux, culturels, économiques et politiques, individuels ou collectifs : entre autres, dumping social, apparition et croissance, au sein d’un peuple, de tensions et de divisions ; perte de l’identité ; éradication brutale de la mémoire et de tous ses symboles ; déracinement et errance culturels ; perte des repères linguistiques que sont la grammaire et la syntaxe, donc de la capacité de bien structurer sa pensée si l’ethnie dominante est d’une autre langue ; réduction de la capacité à s’exprimer correctement pour être bien compris et participer pleinement à la vie collective ; ghettoïsation et paupérisation de pans entiers de la population les moins souples à s’adapter, etc.… sans parler des dangers sanitaires liés aux virus et autres germes inconnus qui peuvent être véhiculés dans ces échanges.
    Subtilement, pour préparer et accompagner la « marche forcée » immigrationniste dans l’Europe tout entière, et en faciliter l’intrusion, la seconde moitié du XXème siècle allait voir la culture américaine, notamment musicale, envahir l’Europe et ouvrir la voie à une pénétration à grande échelle et à un remplacement progressif de la culture européenne par des traditions non européennes. Elle comprenait d’abord de puissants éléments afro-américains tels que le jazz, renforcés ensuite par les traditions afro-caribéennes comme le Reggae puis, grâce à l’afflux de genres afro-américains apparentés, la Funk, le Rap, le Hip-Hop, etc., faisaient leur apparition. Notons également l’irruption, dans les années 70, du « Raï », genre chanté algérien, mélange d’Arabe, de Rock et de Blues.
    Suite



  • Étirév 16 mai 2024 09:29

    « Cet impôt doit être supprimé, en lui substituant une formule plus juste et équitable. »
    Eternels naïfs !
    Rappel : Il existe un Droit absolu et un droit fictif, c’est-à-dire relatif.
    Le Droit absolu (ou naturel) c’est le Droit « non écrit », celui qui a créé les anciens usages. C’est le Droit tacite d’autant plus certain qu’il est constant, parce qu’il prend sa source dans la « nature des choses ».
    Le droit relatif, c’est le droit écrit, celui qui est formulé par les législateurs et inscrit dans les codes actuels. Or, une société basée sur le « relatif » repose sur une fiction et ne peut aboutir à aucune justice.
    Question mystère : qui a dit : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois » ?
    NB : Depuis que l’erreur règne, les peuples sont écrasés par l’égoïsme des oligarchies régnantes (religieuses ou laïques), fauchant tout dans leur poursuite insensée de la domination, de la gloire, de l’argent, et détruisant le rêve sacré de l’unité des esprits dans la vérité absolue.
    Pendant 2.500 ans l’humanité vit sous un régime d’incohérence fait de toutes les folies accumulées :
    - Folie de la domination qui a voulu tout soumettre à l’ambition de quelques despotes qui prétendaient dominer la Terre, se déchirant entre eux, ou, plutôt sacrifiant leurs peuples pour eux.
    - Folie des dogmes qui a imposé des croyances ineptes, des morales absurdes et cruelles qui ont enserré l’âme humaine dans un carcan de douleur et ont avili les races.
    - Folie d’accaparement de richesses folles, entassées par les plus audacieux et les plus rusés aux dépens des masses réduites à la gêne et à la misère.
    - Folie de la réglementation de ceux qui se sont crus autorisés à faire des lois, des règlements, des décrets pour diriger la vie des autres, pour leur donner la permission d’agir, la permission d’écrire, la permission de parler, la permission de penser… et même de respirer puisqu’ils ont fait de tous les actes de la vie des prétextes pour prélever des impôts, réduisant l’humanité à l’état d’automates, mus par un réseau compliqué d’ordonnances et sans cesse surveillée pour saisir et punir le moindre écart de cet assujettissement voulu.
    Pour ces puissants du vieux monde, gouverner c’est pressurer, c’est contraindre, c’est réprimer, c’est punir.
    Le monde actuel est un corps social dans lequel la flamme vitale, sans cesse diminuée, va s’éteindre tout à fait si elle n’est renouvelée.
    Lien



  • Étirév 15 mai 2024 14:59

    Tout d’abord hésitant, puis déterminé à relever le défi, un homme décide d’entreprendre une aventure qui le conduit à quitter son monde ordinaire pour un territoire extraordinaire et mystérieux. Endurant des épreuves multiples, rencontrant des ennemis, mais aussi des alliés, il parvient à atteindre l’endroit le plus périlleux de son voyage, le lieu le plus éloigné de son point de départ, celui où l’objet de sa quête est caché. Alors survient l’épreuve suprême, celle dans laquelle il devra affronter la mort, non celle qui détruit mais celle qui libère.
    Sorti vainqueur de ce combat, il s’empare de sa quête et prend le chemin du retour. Revenu de cette mystérieuse aventure et transformé par l’Expérience, cet « ARCHER », « Guerrier à la Flèche d’Or » et « Aventurier de la Vie », devenu un Héros, voire un Héraut, obtient la faculté de conférer des pouvoirs à son prochain, et ainsi d’améliorer le monde.
    L’homme aux mille et un visages

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