• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

jean-jacques rousseau

Citoyen francais

Tableau de bord

  • Premier article le 19/04/2007
  • Modérateur depuis le 05/10/2010
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 32 235 610
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 11 7 4
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • jean-jacques rousseau 15 décembre 2013 19:21

    Rêveur ou pas n’est pas la question. Le fait est que nous avons de soit-disants « responsables politiques » qui sont incapables de poser une analyse correcte sur une problématique précise, ni même de s’entourer de conseillers bien informés. Qui égarent dès lors l’opinion publique avec des discours oiseux sans queue ni tête. Prétendre que l’on peut trouver la croissance (avec des gadgets onéreux tel le CICE ou coûteux en emplois ou en bien-être social tels les efforts de compétitivité), sans mettre en cause la politique monétaire déflationniste initiée avec Raymond Barre et poursuivie avec la BCE et dire que l’on voit de la lumière au bout du tunnel : c’est de la pure mythomanie. « Sans la sortie de l’Europe nos élus resteront prisonniers de leurs rêves et nos vies deviendront des cauchemars ! » nous dit  eau-du-robinet et je l’approuve. Bien que pour ma part je ne vois aucune rêverie mais une prise de position criminelle délibérée qui ne peut que décevoir et pousser les gens vers la solution sans issue de l’extreme-droite xénophobe mettant en cause l’unité nationale. C’est pourquoi j’insiste sur le terme de stratégie de déstabilisation de cette République qui ne supportera pas longtemps tant d’incompétence et tant de déficit.
    Certains des commentaires prouvent que ce message est passé. Plus aucun pseudo-prophète de la croissance ne sera désormais crédible sans une analyse économique correcte*, sans l’exigence du rétablissement des marges de manœuvre d’une politique monétaire souveraine.
    Ensuite les conditions du plein-emploi doivent être posées par une politique économique volontariste. Une politique républicaine exigeant des partenaires étrangers le respect du principe de réciprocité dans les échanges commerciaux et financiers, c’est un premier point. D’autres initiatives et innovations seront alors possibles. Il faut certainement envisager la coexistence d’un secteur industriel évolué avec des entreprises artisanales ou coopératives moins performantes mais socialement utiles. Ayons toutefois a l’esprit que pour gagner la bataille économique il nous faut une opinion mieux informée et moins sujette à la manipulation.
    Dernier point. La félonie de ces dirigeants politiques est aggravée par le fait qu’ils doivent leur réussite à l’école et toute l’institution républicaine. Or une fois arrivé au sommet il se révèle qu’ils ont décidé de se retourner contre cette République qui les a élevé pour se mettre au service d’intérêts d’oligarques qui ont plutôt intérêt à garder les gens dans l’ignorance et la diversion, dans l’insouciance des principes et des nécessités de l’institution démocratique. C’est impardonnable. « Aussi vrai que Biron fut traître » 
    ---
    * Je renvoie à ce sujet à mon précédent article L’origine de la crise : le monétarisme et école de Chicago où je démontre entre autre par la formule M x V = P x T, qu’il est nécessaire d’augmenter la masse monétaire en circulation pour favoriser l’activité et atteindre l’objectif du plein emploi. Les mesures concernant le fonds de roulement des entreprises et l’accélération de la vitesse de circulation sont insuffisantes.              



  • jean-jacques rousseau 6 septembre 2013 20:41

    La question n’est pas de savoir s’il y a des bons ou des méchants mais d’appliquer les règles du droit international. On apprécie que vous ayez pris la peine de donner votre avis mais votre réponse est hors sujet. Nous laissons ce genre de considérations simplistes et manichéennes aux tenants de la désinformation et autres reflets.info. Veuillez contacter Olivier Laurelli (@bluetouff) & consort qui ne se feront pas prier pour vous publier.



  • jean-jacques rousseau 20 août 2013 00:25

    Merci pour le compliment.
    J’admets qu’il puisse y avoir débat sur la culture de Cernavoda mais de là à dire : "[qu’elle] engendra les civilisations Helladiques, Cycladiques , Minoennes et Anatoliennes ( Hittites et Lydiens entre autres ) que l’auteur nomme Pélagiques telles qu’elles sont nommées dans l’Odyssée, on y rajoutera les Etrusques« ... je crois qu’il y a un pas que je me garderai de franchir.
    Oui il y aurait bien filliation entre Cerdanova et Hittites mais il ne faut pas y réduire la civilisation anatolienne. D’ailleurs on dit que les Hittites occupent l’Anatolie centrale et faiblement son pourtour égéen. Sur les cartes de l’occupation Hittite l’ouest anatolien est rarement désigné, même à l’apogée de l’Empire la ville de Troie n’est jamais comprise dans la zone de domination.[1]
    Les datations ne coïncident pas non plus avec l’expansion de la culture Pelasge. Celle-ci s’étale des 5000 av. JC sur la frange sud et ouest de l’Anatolie [2] 
    Cependant il y a bien coexistence entre Hattis et Hittites mais il est imprudent de les confondre : »Les sources sur l’histoire hittite en ont révélé le caractère composite. La dénomination de civilisation hittite est trompeuse dans la mesure où l’Anatolie du IIe millénaire av. J.-C. était une mosaïque ethnique et culturelle dans laquelle coexistaient plusieurs peuples : certains parlant des langues indo-européennes comme les Hittites et les Louvites, d’autres étant locuteurs de langues non indo-européennes comme les Hattis et les Hourrites.« [3]
    Il ne semble pas y avoir parenté entre Cerdanova et Pélasges diminiens ( Helladiques, Cycladiques , Minoennes) ni même avec les Etrusques qui seraient plutot rattachés aux impresso-cardiaux et/ou aux Seskliens.[4]
    Les chercheurs relient d’avantage Cerdanova »à la branche anatolienne des langues indo-européennes« [5] Et »quelques linguistes estiment qu’elle ne serait pas issue du proto-indo-européen, mais que les deux familles anatolienne et indo-européenne auraient divergé d’un ancêtre commun, appelé parfois indo-hittite[6]
    ---
    [1] voir la carte La situation géopolitique du Moyen-Orient après les conquêtes hittites
    de Suppiluliuma IerMursili II et Muwatalli II, vers 1275. http://fr.wikipedia.org/wiki/Hittites
    [2] Cartes du Proche-Orient néolithique http://atil.pagesperso-orange.fr/atil/xxx.htm
    [3] http://fr.wikipedia.org/wiki/Hittites
    [4] http://atil.pagesperso-orange.fr/atil/yyy.htm
    [5] http://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_de_Cernavod%C4%83
    [6] http://fr.wikipedia.org/wiki/Hittite_(langue)



  • jean-jacques rousseau 19 août 2013 19:24

    Oui il est intéressant de vérifier le rôle central de la Crête dans la cosmogonie grecque. Cela reflète bien la force de l’influence culturelle et le rôle actif de la civilisation minoenne dans l’imaginaire antique et occidental. Je souhaite y faire a nouveau allusion dans une description du modèle culturel de la Grèce classique entre héritage égéen et indo-européen...
    Merci pour vos appréciations et encouragements



Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv