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Jean Keim

Jean Keim

 
Je dis ce que je sais, je sais ce que je crois, je crois ce que je dis.
Je sais donc je pense ainsi la pensée est un processus.
Chaque être humain est un croyant, c’est inévitable, c’est inhérent au savoir.
Il ne faut pas croire tout ce que nos pensées nous suggèrent.
 
Nous naissons à la vie pour renaître et mourons pour mourir à nouveau.

Tableau de bord

  • Premier article le 16/07/2013
  • Modérateur depuis le 08/07/2014
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Derniers commentaires



  • Jean Keim Jean Keim 9 octobre 2013 12:30

    Un bon gourou devrait dire à ses disciples va donc voir ailleurs si j’y suis ! Ou plus exactement va donc voir ailleurs si tu y es ! Un bon gourou n’a même pas de disciple.



  • Jean Keim Jean Keim 9 octobre 2013 09:57

    Bonjour monsieur Buddha smiley ,
    Une expérience à qq niveau qu’elle se situe a une unité de temps et d’espace, elle n’est que le retour que notre cerveau en fait par le biais de la mémoire et de l’analyse, on peut en parler, la divulguer mais elle n’a aucune valeur en dehors de celui que l’a vécue et alimente nos croyances personnelles.
    VOULOIR changer le monde est sans issue car la volonteé oblitère la réalité. Expliquer le monde par l’analyse est également illusoire, l’analyse utilise le contenu de la mémoire et le résultat sera toujours en référence au passé, en fait l’outil utilisé : la pensée, n’est pas pertinent pour des questions autres que pragmatiques, comme l’a dit et redit maintes fois K le penseur et la pensée sont une seule er même chose, sans pensée pas de penseur, la pensée crée le penseur et ainsi le monde est de fait à notre image. La pensée n’est constituée que du connu, elle n’a par exemple accès ni à une couleur jamais vue, ni à un son jamais entendu, ni évidemment à l’inconnu ; elle ne peut que puiser dans son contenu, la mémoire, et n’apportera jamais une réponse neuve. Il y a également un autre facteur important, quand survient un problème s’enclenche un automatisme qui est celui de rechercher une solution et cette recherche ainsi que le désir de trouver deviennent prépondérantes et ainsi la compréhension du problème est oubliée, par exemple au problème de la pauvreté on propose de mieux partager les richesses mais les causes profondes (psychologiques et matérielles) de la pauvreté ne sont même pas entevues.
    Encore qq mots, K était pour lui même une énigme, à ses amis il a demandé un jour si il était un monstre (être dont la conformation diffère beaucoup de celle de ses semblables) et dans un livre « Le temps aboli », qui relate ses conversations avec qq personnes choisies et principalement le physicien et ami David Bohm sur le thème : « Pourquoi l’humanité fait-elle fausse route ? » , il a envisagé que sa vie - vie de missionnaire ? - n’avait de sens qu’à travers un dessein qui ne s’arrêterait pas à sa mort.
    Personnellement, quand j’ai lu K la première fois, j’ai pris une claque phénoménale qui continue de me tounebouler des années après, j’ai recherché des écrits modernes sur les mêmes thèmes mais toujours il m’ont paru insipides et de seconde main.
    Bien fraternellement.



  • Jean Keim Jean Keim 20 septembre 2013 08:20

    L’arabe est une langue d’origine sémitique et une identité culturelle, le Maghreb désigne actuellement les pays du nord-ouest de l’Afrique dont la langue - avec de nombreuses variantes - est principalement l’arabe, donc un maghrébin est arabophone ; à l’instar d’un belge wallon, de certains suisses, d’un québecois, d’un français etc. qui sont francophones. Ne sommes nous pas avant tout citoyens de la Terre-Mère et donc tous frères, nos différences sont une richesse.



  • Jean Keim Jean Keim 17 septembre 2013 19:05

    La solitude n’est pas un problème en soi surtout si c’est un choix, il y a seulement la façon dont elle est ressentie et vécue ; si on n’est attiré ni par un mode de vie séculier ordinaire, ni par une vie religieuse et/ou  communautaire  et si malgré tout la vie érémitique ne convient pas ou est difficile à assumer matériellement alors il ne reste que la vie dans le monde mais en marge selon la formule « Vivre dans le monde mais pas pour le monde »,  ce qui n’interdit pas les contacts humains et d’aimer la vie et son prochain tout en ne cautionnant pas les règles de la société. Vivre suivant les règles établies c’est participer au désordre et à la corruption et VOULOIR changer le monde est illusoire.  Le changement résultant  de décisions autoritaires et arbitraires, c’est ce qui est fait continument avec le résultat constaté actuellement : un incroyable gâchis écologique et humain et des valeurs où le spirituel est absent et ne veut plus rien dire.
     Il y a malgré tout en chacun de nous un espace incorruptible ou la vie se manifeste pleinement et qui vient quand nous acceptons d’ÊTRE  simplement tels que nous sommes, solitaires, paumés, perdus, avides, médiocres,  dans un monde où nous ne trouvons pas notre place parce que nous désirons devenir quelque chose, nous réaliser dans un dessein ; ce qui crée un hiatus entre ce que nous sommes (ÊTRE ) et ce nous désirons devenir ( AVOIR). Ce cheminement mental façonne notre personnalité (notre ego) et rend notre vie illusoire et chimérique, le corps en subit le contrecoup et nous envoie des messages pathologiques (comme me l’a dit un sage médecin « le mal m’a dit »).
    Avec cet écrit il n’y a pas matière à élaborer une méthode de vie (heureusement d’ailleurs) et il y en a tellement mais c’est simplement un cheminement personnel et pourquoi pas un point de départ.
    Fraternellement.



  • Jean Keim Jean Keim 16 septembre 2013 21:25

    En ce qui concerne les réactions aux articles, à quoi sert ou plutôt qu’est en train de devenir AVox ? 
    Est-ce un média permettant de s’exprimer libement sur le monde dans le respect de l’autre ou l’occasion de déballer sa rancoeur, dans la médiocrité du contenu des commentaires et la grossièretés des propos ? Enfin passons !
    Dans l’article de Monsieur Robert Gil, une citation me semble essentielle << Et à l’autre bout de la chaine, la pauvreté progresse également. Ce qui n’a rien d’étonnant, si sur la table vous avez un gros gâteau et que des « goinfres » en prennent les trois quarts, il en restera très peu pour les autres.>>, tout ce qui est important dans le contenu du sujet traité tient dans ces propos. On peut fustiger le système, les riches et tutti quanti, rien ne changera tant que la racine du mal ne sera pas clairement identifiée. Le monde est à notre image, le riche veut l’être davantage et les autres (nous !) les pas riches, rêvent de le devenir s’ils en avaient l’opportunité. Le monde souffre de notre manque d’humanité et du pouvoir effrayant de l’argent. Révolutionnons nos conscience, supprimons le fric et oeuvrons pour un monde de partage et d’entraide. Ce n’est pas une utopie, c’est une nécessité vitale, l’utopie est de croire que le monde continuera cahin-cahan avec quelques changements politiques ou autres. 

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