Jean Luc Toutlemonde

@Christian Labrune

Oui, vous avez sans doute raison...

Ne vous sentez pas obligés de lire les articles des « charognards », cher Madame, ou cher Monsieur. Il y a par ailleurs des articles très intéressants sur Agora Vox ce dimanche, notamment celui-ci que je vous conseille, par miss Ariane Walter :

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/giesbert-joffrin-barbier-les-114664

@caramelos

Bonjour,

1-il n’est nulle part dit qu’il s’agit d’un fait criminel dans cette affaire, cela n’empêche pas de se poser des questions sur les circonstances de sa mort dans la mesure ou c’est un homme qui occupait des responsabilités publiques.

2-Le fait que Monsieur Descoings soit homosexuel ne regarde que lui, c’est vrai.
mais il semblerait que de le dire dérange. Si dire qu’il est homosexuel dérange c’est que vous avez un problème avec l’homosexualité. Ou qu’elle est vue comme une tare qui devrait être cachée. Il y a donc comme une contradiction dans votre discours.

3-critiques malsaines et idiotes ? Il est donc malsain et idiot de dire que Monsieur Descoings était homosexuel et se rendait sur des sites de hook up gays si je vous suis. Mais pas forcément malsain de mener une telle vie en la cachant à ses enfants. On peut avoir cet avis. Mais ce n’est pas forcément le bon. On ne peut en tout cas l’imposer aux autres.

5 personne n’a dit qu’un homosexuel ne pouvait pas aimer une femme.

6 Votre comparaison avec la Charia est démesurée et grotesque. Inutile d’y répondre.

Un homme qui dirige une école comme science po est un personnage public, dont la vie même privée, doit pouvoir être connue. Le fait par exemple que Berlusconi en Italie organise des soirées privées avec des mineures, concerne évidemment sa vie privée, mais dans la mesure où il est président de la république, concerne aussi ceux qui sont soumis à son autorité me semble t-il...

« à ce que des gens » pardon... il manque un mot dans ma phrase. On dirait du Johnny.

Sinon, merci pour votre appréciation critique de cet article.

Jean Luc

J’en conviens, c’est pourquoi, vous l’aurez remarqué si vous avez lu l’article avec attention, j’ai également employé l’expression « milieu défavorisé » à un autre endroit. Ne souhaitant pas me répéter mais ayant aussi réfléchi sur le sens de l’expression « de basse extraction sociale » je la trouvais certes brutale, laide, mais néanmoins forte et vraie.

Je ne suis pas du genre à avoir peur des mots forts, je pense au contraire que les mots forts servent à dénoncer des réalités inacceptables, contrairement c’est vrai, à que des gens, qui dans la mouvance socialiste, pensent que gommer le mot suffit à gommer la réalité qu’il dénonce.