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Jean Luc Toutlemonde

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Tableau de bord

  • Premier article le 11/04/2012
  • Modérateur depuis le 23/04/2012
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Derniers commentaires



  • Jean Luc Toutlemonde 12 avril 2012 23:49

    Je suis en effet moi même un adepte de la pornographie, de la philosophie sophiste et de Baudelaire, un personnage à la fois noyé dans le vice et la vertu, je l’avoue, j’ai trouvé votre texte assez inspiré, et vous écrivez bien. Si vous ne défendez aucun point de vue, alors vous êtes mon ami.



  • Jean Luc Toutlemonde 12 avril 2012 23:33

    "Non pas sophisme, mais IRONIE. Le sophiste essaie de persuader son interlocuteur, il essaie de le tromper. Mais ce que j’écris est tellement loufoque, je ne peux pas imaginer un instant que cela puisse être pris au sérieux" c’est encore un parfait sophisme ! Vous êtes décidément un incorrigible sophiste, tel un serpent, on ne peut pas vous mettre le pied dessus. Et quand bien même on vous attrape, visqueux vous nous glisser entre nos mains...



  • Jean Luc Toutlemonde 12 avril 2012 22:51

    @Christian Labrune,

    Sophisme encore, vos arguments transpirent la mauvaise foi. Je vous imagine très bien naviguer entre une dizaine de sites pornos, lire Baudelaire, puis revenir à la pornographie, ou pourquoi pas à un décadent grec, vous devez avoir de la nourriture à porté de main aussi, les rideaux tirés, de l’alcool pas loin, et puis vous écrivez un petit commentaire sur Agora Vox, de temps en temps le téléphone sonne, mais c’est votre mère, vous ne répondez pas, et retournez à votre porno...



  • Jean Luc Toutlemonde 12 avril 2012 22:31

    "Le mot sophisme dérive du latin sŏphisma, lui-même issu du grec σόφισμα (sóphisma) : « habileté », « invention ingénieuse », « raisonnement trompeur ». Ce mot grec est formé sur σοφία (sophía) : « sagesse », « savoir », et désigne dès l’Antiquité grecque le type de discours prononcés par les sophistes (littéralement « spécialistes du savoir »), orateurs prestigieux et professeurs d’éloquence (ou plus globalement de rhétorique), dont le but était surtout de persuader l’auditoire (dans les assemblées ou les tribunaux), bien souvent au mépris de la vérité elle-même. Socrate et Platon ont beaucoup débattu avec les sophistes pour essayer de démasquer leurs raisonnements trompeurs et bâtis sur une logique non-rigoureuse1, mais c’est Aristote surtout qui a inventé la science de la Logique pour classer les types de raisonnements (ou de syllogismes) et montrer rigoureusement quelle est la « logique » fallacieuse à l’œuvre dans un sophisme2."

    Source Wikipedia



  • Jean Luc Toutlemonde 12 avril 2012 22:25

    @Christian Labrune

    Vous avez une certaine culture. Vous connaissez apparemment vos classiques. Votre démonstration est habile et pourrait emporter l’adhésion des moins instruits, mais vous ne tromperez pas ceux qui savent penser. L’enchaînement de vos arguments relèvent de ce que l’on appelle communément le sophisme. (Vous en avez sans doute parfaitement conscience d’ailleurs, et êtes sans doute un admirateur de toutes cette tradition...) Je connais mieux votre genre que vous semblez me connaitre, cher Monsieur.

    "Un sophisme, ou argument à logique fallacieuse pour duper volontairement, est un raisonnement qui cherche à apparaître comme rigoureux mais qui en réalité n’est pas valide au sens de la logique (quand bien même sa conclusion serait pourtant vraie). À l’inverse du paralogisme qui est une erreur involontaire dans un raisonnement, le sophisme est fallacieux : il est prononcé avec l’intention de tromper l’auditoire afin, par exemple, de prendre l’avantage dans une discussion. Souvent, les sophismes prennent l’apparence d’un syllogisme (qui repose sur des prémisses insuffisantes ou non-pertinentes ou qui procède par enthymème, etc.). Ils peuvent aussi s’appuyer sur d’autres mécanismes psychologiques jouant par exemple avec l’émotion de l’auditoire, l’ascendant social du locuteur (argument d’autorité) ou des biais cognitifs (comme l’oubli de la fréquence de base).

    Dans la Grèce antique, les sophistes dont le nom est à l’origine du terme sophisme, enseignaient l’éloquence et l’art de la persuasion. Et c’est pour démasquer leur rhétorique parfois fallacieuse que les philosophes ont posé les bases de la logique. Depuis les Réfutations sophistiques d’Aristote, de nombreux philosophes ont ainsi cherché à établir une classification générale des sophismes pour, le plus souvent, s’en prémunir (Bacon, Mill, Bentham) mais à l’inverse, d’autres auteurs, comme Arthur Schopenhauer dans L’Art d’avoir toujours raison (1830), ont aussi défendu l’usage du sophisme pour son efficacité dialectique."

    Source Wikipedia



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