Comment pouvez vous parler d’une ensemble que l’on pourrait qualifier de Gaule qui deviendrait une puissance agricole à l’époque de Platon. C’est tout juste si les phocéens débarquaient à marseille et échangeaient des amphores de vin grecs contre des esclaves !
Bien sûr que les rendements n’étaient pas ceux d’aujourd’hui mais de là à aller jusqu’en Auvergne pour chercher des céréales ! Et le transport ensuite, comment voie fluviale par le Rhône ?
Au niveau de la productivité et des surfaces ce ne pouvait pas égaler la Sicile et les autres sources classiques, j’ai oublié le sud de l’actuelle ukraine plus proche géographiquement du monde méditerranéen.
Monsieur Mourey, il me semble que pour nourrir les quelques millions d’habitants du pourtour méditerranéen antique les surfaces cultivées du nord de l’Afrique et de Sicile étaient largement suffisantes.
A propos des gorgones et de vos thèses audacieuses avez vous refait l’histoire de la numismatique ? Selon vous le monnayage à la gorgone que les numismates placent en Grande Grèce et en Attique aurait peut être été monnayé à Gergovie ?
Monsieur Mourey, il n’y a vraiment que vous pour affirmer que les phéniciens auraient pénétré à l’intérieur des terres ; quel intérêt pouvaient-ils trouver à l’Auvergne en particulier ?
je ne sais comment interpréter votre titre, « quelques lueurs » alors qu’il s’agit de votre quatrième article sur le sujet.
Article inintéressant encore une fois répétant à satiété des affirmations ne se basant sur rien de sérieux. Je m’arrêterai-là, le reste est perte de temps. Monsieur Mourey, passez donc directement à l’explication de l’éruption volcanique remplaçant l’engloutissement du continent qu’on s’amuse un peu plus car là, excusez-moi, vos théories deviennent lassantes....