C’est le principal problème, mais le coût du travail en est aussi un. C’est beaucoup plus facile de pédaler sans actionner en même temps le frein. Un frein qui bouffe environ 100% du salaire net perçu par le salarié, quand même.
Je souhaite que vous souffriez de cette haine, car c’est vous qui l’avez causée. Ce gars vous hait parce qu’il doit vous entretenir, même s’il ne le souhaite pas. C’est le principe du socialisme.
Dans un monde parallèle, libéral, il ne vous détesterait pas, et comme il serait entre deux et quatre fois plus riche (selon son niveau de revenu), il aurait largement de quoi vous aider si vous êtes quelqu’un de correct (et je pense que, d’après ce que vous dites, vous l’êtes).
Mais vous avez préféré lui prendre de force ce dont vous avez besoin, et maintenant, il vous hait. Cette haine, c’est le résultat du socialisme.
Heureusement, c’est le cas. Dans une entreprise digne de ce nom, gérée de façon libérale, le patron respecte le travail de l’ouvrier (parce que sinon, il s’en ira), et l’ouvrier respecte le travail du patron (parce que sinon, le patron arrête et l’ouvrier n’a plus de boulot). Ce sont les entreprises qui réussissent.
A l’inverse, on a les salariés qui ne respectent pas les patrons (CGT et FO en tête), et les patrons qui ne respectent pas les salariés (beaucoup trop pour que je les cite). Ceux-là échouent.
1. Je savais que j’aurais du insister sur « en tant qu’entrepreneur », pour vous empêcher de faire cet argumentaire grotesque. Il est tellement tentant pour les gauchistes dans votre genre. Le libéralisme est l’opposé absolu de la dictature.
2. L’intérêt général est une excuse prise par des dictateurs dans votre genre pour limiter notre liberté. Dans un pays de 60 millions de personnes, il y a 60 millions de conceptions différentes de ce qu’est l’intérêt général. Tout ce que vous voulez, c’est nous forcer tous à avaler la vôtre, même si on en crève.
3. Le libéralisme consiste justement à rejeter cela. Non, la collectivité n’a pas à être soumise à l’individu. Non, l’individu n’a pas à être soumis à la collectivité. Il n’existe pas que ces deux choix, il y en a un troisième, celui où chacun fait ses propres choix en respectant ceux des autres, celui ou personne n’est esclave.
Détourné par les salariés sous la houlette des syndicats, comme pour Seafrance. Ils encaissent au black quasiment toute la marge des produits vendus sur les bateaux, et ils vont donc couler l’entreprise de la même manière que Seafrance.