1. Donc, pas de contestation sur le fait que ma seul utilité réside dans le fait de servir votre conception de l’intérêt général, qui n’est pas la mienne. Nous n’avons donc plus rien à nous dire sur ce point, car ce n’est rien de moins que de l’esclavage.
2. Mon dieu, mais allez dans une entreprise quelques temps, pour voir à quoi ca ressemble. Ce n’est pas une guerre. Cela n’a jamais été une guerre. L’entreprise est généralement une coopération, sauf avec les concurrents avec lesquels c’est une compétition, mais jamais une guerre. On gagne avec le meilleur produit, pas en assassinant les autres. Le concept de classe est un mensonge ne servant qu’à justifier la violence et la spoliation d’une minorité par une majorité. Une même personne peut à la fois être employé, patron, et capitaliste.
3. Non, ils veulent dire l’intérêt de chacun, qui n’a rien à voir avec votre intérêt général. La preuve, ils n’ont pas passé les « lois sociales » dont vous vous gargarisez avant leur collectivisation courant 20e siècle. « Lois sociales » qui sont une violation ignoble des principes de propriété et d’égalité devant la loi définis par la constitution, institutionnalisant le vol de ceux qui créent de la richesse au profit de ceux qui n’en créent pas.
Bravo. Avec un peu d’huile de coude, vous avez fait 2 SDF en moins, et vous vous êtes assuré un complément de revenu. Le capitalisme, c’est ça. Tout le monde est gagnant.
1. Donc, vous réduisez l’individu à l’utilité qu’il a pour le groupe, et il n’a pas le droit d’exister en dehors du groupe ? Charmant. Bravo, vous êtes un bon communiste soviétique.
2. N’importe quoi. Se « foutre des autres », comme vous dites, c’est une attitude socialiste, puisque s’occuper des autres est délégué à l’Etat. En tant que libéral, toute autre personne est une valeur pour moi, puisque je peux échanger avec lui ou elle, et je dois les traiter aussi bien que possible, car ce sont eux mon filet de sécurité, et plus l’Etat. Donc, je ne conduis pas n’importe comment, et je ne conduis pas bourré. Le libéral est infiniment plus social que le socialiste.
3. Ah, l’histoire. Terrain très accidenté, pour un collectiviste, mais soit. Prenons un exemple, celui des Etats-Unis. En 1776, dans le document le plus important de leur histoire, la déclaration d’indépendance, les pères fondateurs ont affirmé le droit absolu de chaque individu à « la Vie, la Liberté et la poursuite du Bonheur ». Jusqu’en 1913, création de l’impôt sur le revenu, ils n’ont fait qu’une seule chose : garantir la liberté et l’égalité devant la loi. Aucune référence à un « intérêt général », juste le droit pour chacun de poursuivre son propre intérêt. Résultat : en 150 ans, ils sont passés d’une colonie misérable à la première puissance mondiale. Après, ils se sont laissé gangréner par le collectivisme, et donc ont décliné, comme tous les régimes socialistes de l’histoire.
[/mode Hervé Hum on]
Par contre, tes insultes, tu les carres où je pense.