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Prometheus

Prometheus

Il y a en chacun de nous un feu qui brûle. Un feu prométhéen qui nous pousse à questionner notre univers. Et ce feu est une fournaise qui ne s’alimente que par notre curiosité.

Tableau de bord

  • Premier article le 16/05/2007
  • Modérateur depuis le 10/03/2011
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Derniers commentaires



  • Prometheus Jeremy971 24 octobre 2009 06:58

    J’aime bien la preuve par le poisson... Je dois avouer que c’est mille fois plus efficace qu’une prise de sang... Enfin bon je crois que c’est avec ce genre d’argument qu’on laisse des toxines, et des produits radioactifs dans la nature en disant mais « regardez les gens meurent pas, c’est pas dangereux ». Un peu comme la pub pour la javel, ou boire l’eau de la seine.
    Et quand on parle du seul moyen de produire de l’éclectricité, je pense que dans un siècle ou deux lorsque l’on aura d’autres sources d’énergie et des montagnes de déchets nucléaires, on se dira mais pourquoi ils ont fait ça juste pour produire de l’électricité ? Enfin à cette époque là nous on aura plus de regrets.



  • Prometheus Jeremy971 24 octobre 2009 06:36

    Une politicienne qui fait de la politique !!! Woaa Je suis émerveillé ! Mais moi j’ai une question est-ce que Ségolène Royal n’est pas de la famille à Miterrand pour obtenir tout ce qu’elle demande à la Jean Sarkozy ?



  • Prometheus Jeremy971 11 octobre 2009 21:15

    L’école à quoi ça sert ? Vous m’expliquerez à quoi ça sert de faire des études ? Même quand elles permettent d’accéder à l’emploi à 45 - 50 ans on nous pousse gentiment vers la sortie en tant qu’élément improductif de l’entreprise.



  • Prometheus Jeremy971 20 mai 2007 23:06

    Un drôle de discours Imprimer cet article 29 novembre 2004

    Ces extraits d’une conférence de Renaud Dutreil au cours d’un déjeuner débat réunissant une soixantaine de personnes ont été repris dans une publication du P.C. et dans une du S.N.E.S. (qui l’a repris à Charlie Hebdo).

    Devant les ultralibéraux de la Fondation Concorde, le ministre de la Réforme de l’État s’est lâché et a dit tout le bien qu’il pense des fonctionnaires.

    Le restaurant Pépita, situé à proximité des Champs-Élisées était rempli, mercredi 20 octobre, d’une soixantaine de costumes-cravates à la mine cireuse, venus assister à un petit déjeuner-débat avec Renaud Dutreil, ministre de la Fonction publique et de la Réforme de l’État. Cette conférence était organisée par la Fondation Concorde, think tank ultra-libéral proche de Jacques Chirac.

    Florilège des déclarations du ministre sur le thème de prédilection de la droite : « Comment insuffler le changement ».

    « Les retraités de la fonction publique ne rendent plus de services à la nation. Ces gens-là sont inutiles, mais continuent de peser très lourdement. La pension d’un retraité, c’est presque 75% du coût d’un fonctionnaire présent. Il faudra résoudre ce problème. »

    « A l’heure actuelle, nous sommes un peu méchants avec les fonctionnaires. Leur pouvoir d’achat a perdu 4,5% depuis 2000. »

    « Comme tous les hommes politiques de droite, j’étais impressionné par l’adversaire. Mais je pense que nous surestimions considérablement cette force de résistance. Ce qui compte en France, c’est la psychologie, débloquer tous ces verrous psychologiques. »

    « Le grand problème de l’État, c’est la rigidité de sa main-d’oeuvre. Pour faire passer un fonctionnaire du premier au deuxième étage de la place Beauvau, il faut un an. Non pas à cause de l’escalier [rires dans la salle], mais des corps. Il y a 1400 corps. 900 corps vivants, 500 corps morts [rires], comme par exemple l’administration des télécoms. Je vais les remplacer par cinq filières professionnelle qui permettront la mobilité des ressources humaines : éducation, administration générale, économie et finances, sécurité sanitaire et sociale. Si on ne fait pas ça, la réforme de l’État est impossible. Parce que les corps abritent des emplois inutiles. »

    « C’est sur l’Éducation nationale que doit peser l’effort principal de réduction des effectifs de la fonction publique. Sur le 1,2 million de fonctionnaires de l’Éducation nationale, 800 000 sont des enseignants. Licencier dans les back office de l’Éducation nationale, c’est facile, on sait comment faire, avec Éric Woerth [secrétaire d’État à la Réforme de l’État] : on prend un cabinet de conseil et on change les process de travail, on supprime quelques missions. Mais pour les enseignants, c’est plus délicat. Il faudra faire un grand audit. »

    « Le problème que nous avons en France, c’est que les gens sont contents des services publics. L’hôpital fonctionne bien, l’école fonctionne bien, la police fonctionne bien. Alors il faut tenir un discours, expliquer que nous sommes à deux doigts d’une crise majeure - c’est ce que fait très bien Michel Camdessus -, mais sans paniquer les gens, car à ce moment-là, ils se recroquevillent comme des tortues. »



  • Prometheus Jeremy971 20 mai 2007 22:50

    Tout a fait, ça on peut aussi en parler. Que toutes les infrastructures revendues ont été construites par nos impôts - « Pour le Peuple, et par le Peuple » - et finalement on en arrive à une situation ou on les revent pour une minorité de privilégiés. C’est aberrant !!!

    Ou est le bon sens d’un Raffarin, ou d’un Sarkozy là-dedans ?

    L’argent de nos parents, arrière grands parents, et le notre, a financé la construction d’un service public de qualité, et on le revent aujourd’hui parce qu’il fait couler l’état, et aggrave la dette de l’état d’après eux... un frein à la croissance... Mais sans un service public de qualité, des soins gratuits comment aurions-nous un pouvoir d’achat suffisant pour consommer ?

    Qu’on m’explique en quoi le service public fait couler la France ? Je ne fais pas l’autruche à pédales. Mais le bon sens qui veut qu’en réduisant les dépenses de l’état, et ses recettes, on puisse résoudre la dette, et tous les problèmes de croissance, de pouvoir d’achat. Je ne le comprends pas ! Je ne comprends pas, car les conséquences d’une telle politique sont aberrantes...

    Desfois j’ai l’impression qu’on veut revenir à un libéralisme d’avant le socialisme. Comme si les revendications salariales étaient une gêne pour notre économie. Si c’est ça la mondialisation, c’est très bête comme système... smiley

    P.S : une internationale socialiste, ça n’a pas été proposé par Ségolène, lol...

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