Jérôme R.

@Jérôme Royer

2 précisions :

• 1 - Quelques minutes après avoir constaté l’absence de signal BT vers minuit au coeur de Montsouris (à part une MIBOX), j’ai pu constaté l’abondance de signaux aux abords des habitations : des téléphones, des ordi, des box, et de « 4-7 » : il me semble que cela montre bien que la distance choisie filtre efficacement ces signaux.
• 2 - Avant d’aller expérimenter à Montsouris, j’ai commencé mes observations dans un square voisin de chez moi : là, clairement il y avait constamment du signal, avec ou sans personne dans le square : il y avait tellement d’adresses qu’il était impossible d’observer une quelconque évolution et corrélation avec les personnes.

En espérant que ces quelques éléments montreront que mes observations et ma réflexion sont plus approfondies que ce que mon article peut laisser paraître.

@Jérôme R.

Pour info : à la suite d’un bug de l’outil HedgeDoc, la sélection de commentaires est maintenant à cette adresse :

https://md.roflcopter.fr/s/ogu0yw78sng-aoq-_3jlca#

Pour info,
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@Pommedepin

Merci pour votre critique intéressante.

Tout d’abord, cet article n’entend pas prouver définitivement quoique ce soit. Il décrit une série d’expériences que j’ai effectuées et qui peuvent constituer une base de discussion et d’idées pour d’autres démarches similaires. Sur un tel sujet, je ne demande à quiconque de me croire sur parole.

Je suis loin d’avoir été aussi précis que je l’aurais été pour une publication à vocation universitaire. L’objectif est plutôt de donner l’envie à chacun-e d’essayer, d’observer et d’en tirer ses propres conclusions, tout en montrant tout de même que j’ai un peu étudié le problème (en particulier le format des adresses).

Comme je l’explique dans cet article, au point d’observation choisi dans le parc il n’y a aucun signal BT un soir peu avant minuit (heure de fermeture) et ce durant de longues minutes. Les passages de trottinettes

et autres jogger connectés laissent des signaux très caractéristiques. Par exemple, je me demandais ce que signifiait « Tier »... avant de découvrir que c’était une marque de trottinettes en service partagé. J’ai aussi découvert les adresses publiques de grandes marques comme Apple.

J’ai, depuis, effectué d’autres mesures. Au parc Montsouris un soir avec un groupe de 15 personnes non-injectionnées et personnes allant-tour : aucun signal type « 4-7 », là encore sur plusieurs minutes.

Ainsi, au point où j’en suis, je ne peux certes pas affirmer que toutes les personnes injectionnées émettent de signaux « 4-7 », par contre je peux affirmer que les personnes non injectionnées n’émettent pas ce genre de signaux.

« environnement où tu arrives à ne capter aucuns appareil est nécessaire »

Tout à fait ! Il se trouve que, là où j’habite, il n’y a pas de signal, même quand des gens passent dans la rue. J’aimerais y faire une série d’expériences en ayant la possibilité de demander aux sujets s’ils ont reçu des injections, la marque, le nombre de doses. Bien entendu, il leur sera aimablement demandé de « déclarer » leurs objets connectés . Et aussi d’entrer et sortir plusieurs fois. Dans l’idéal, il faudrait effectivement faire à l’aveugle :par exemple, il ne me donneraient les infos que après avoir effectué une série de mesures.

J’ai donc proposé aux membres d’une asso du quartier dont je fais partie. Demande délicate pour laquelle je n’ai reçu pour le moment qu’une réponse positive, ainsi qu’une critique. La critique est pertinente, mais je suis intrigué de constater que l’auteur semble ne pas vouloir venir observer sur place... 

À suivre,

PS : je compte bien faire des mesures la semaine prochaine lors d’un périple en Bretagne. Je ferais en particulier attention à la présence ou non de 5G : il me paraît tout à fait envisageable que la présence de celle-ci soit nécessaire en tant que source primaire d’énergie elm.

Plusieurs commentaires recourent au mot « empirique ».

Oui, ma démarche est empirique. Par définition, cela désigne une démarche qui se fonde sur l’expérience, l’observation.

C’est, me semble-t-il, la base de toute démarche scientifique.

On peut conclure n’importe quoi à partir d’un raisonnement ou d’une simulation informatique déconnectés de l’observation : c’est le propre d’une démarche sophistique.