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Devenu journaliste (politique et ... automobile), après avoir été en khâgne, puis étudié l'architecture aux Beaux-Arts et enfin le droit, aujourd'hui retraité et au soir de ma vie, je cède parfois à la tentation d'évoquer mes souvenirs, mes expériences, dans un monde qui n'a plus RIEN à voir avec celui que j'ai connu et énormément parcouru. Et je combats toujours les idées reçues...

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  • Premier article le 05/06/2012
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Derniers commentaires



  • jibe jibe 5 décembre 2009 10:42

    Ou l’intéressée a fait n’importe quoi sur le plan juridique, ou elle n’a rien compris.Quand il y a contestation aux Prud’hommes sur la réalité de la faute grave, la commission arbitrale, qui peut être saisie dès le licenciement, se réunit mais se met en sursis à statuer, du fait qu’elle ne peut rien décider avant que l’instance civile soit tranchée (et cela peut aller en appel ou en cassation).

     Saisir la commission arbitrale - qui a le statut et les règles d’un tribunal et n’est en rien un arbitrage - dès le début permet seulement d’ajouter aux indemnités des intérêts légaux courant du jour de la saisine.

    La loi a été faite non pour protéger les journalistes mais pour protéger le public et lui garantir que les journalistes seront indépendants des menaces patronales, donc libres de s’exprimer. 


  • jibe jibe 3 décembre 2009 08:50

    Et comment expliquez-vous qu’à la fin de la guerre, César ait choisi Bibracte pour s’y reposer avec ses légions ? Parce qu’il aimait vivre chez de pauvres gens ?



  • jibe jibe 27 novembre 2009 10:15

    La puissance politique n’a pas imposé Lourdes et nous ne sommes pas le peuple le plus puissant !


    Chez les Gaulois, la puissance venait de la richesse, qui elle-même était apportée par l’agriculture, l’élevage, l’artisanat, l’industrie (forges, céramique) et les mines (fer, étain cuivre, or, argent).. La richesse perrmettait à un noble d’avoir beaucoup de « clients », donc un grand nombre de mercenaires, et de pouvoir engager des guerres privées ou de s’allier à d’autres clans.

    Les Boiens de Gorgobina qui, à l’époque de César, avaient perdu leurs ressources en migrant, étaient si pauvres qu’il n’ont pu fournir au Romain les quelques chevaux qu’il leur demandait (il le dit), alors que deux siècles auparavant leur cavalerie était très renommée.


  • jibe jibe 26 novembre 2009 15:09

    Je n’ai aucune opinion sur Bibracte ou Autun, n’ayant pas étudié la question.


    Par contre, les Boiens en Gaule étaient un peu dans la situation des Palestiniens au début des camps de Gaza : logés sous des tentes et ne disposant que d’installations précaires, tolérés par les Eduens à la demande des Romains (et en échange d’avantages divers). 

    Par ailleurs, la notion de capitale gauloise n’avait rien à voir avec nos idées actuelles : elle marquait le lieu du sanctuaire principal où officiaient les plus importants druides du peuple en question. Par voie de conséquence, ce lieu devenait un centre administratif et commercial ou financier.


  • jibe jibe 26 novembre 2009 11:21

    Gorgobina n’était pas une cité organisée en « dur », mais un camp de transit, avec des constructions par essence provisoires, ce qui explique pourquoi sa trace archéologique a été perdue. On ne peut y imaginer une basilique.

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