Mais cela coule de source, nom d’une pipe : pour qu’elles continuent de nous enc.... tranquillement !
	
	
	
	
Trêve de plaisanterie : on ne peut pas laisser indéfiniment les grandes banquesd’affaires continuer de jouer dans leur bac à sable dans un état mental de totale irresponsabilité.
Je pense que des pôles financiers publics devraient être crées pour tous les grands investissements d’intérêt collectif (comme les hôpitaux, les écoles, les crèches...), l’Etat devant en être le premier emprunteur avec des taux d’intérêt extrêmement réduits, voire nuls.
54% de notre PIB est constitué de dépenses publiques.
Pour ces dépenses au moins, il faudrait que l’Etat cesse de s’endetter auprès des banques commerciales à des taux d’intérêt prohibitifs, taux qui participent à l’accroissement de la dette publique tandis que ces banques jouent au casino avec l’argent du contribuable, vont dans le mur, ruinent l’économie du pays, et réclament ensuite de l’aide à l’Etat qui leur est livré pieds et poings liés , sans supporter aucun droit de regard de ce dernier sur leurs affaires !
Trop c’est trop !
Ma pensée intime est que 60 % des banques commerciales sont de vrais parasites dont il faudrait se débarrasser définitivement et urgemment au nom de l’intérêt collectif et du bien public.
La question n’est donc pas seulement de demander aux directeurs de banque de se passer de leur bonus annuel , comme s’en gargarise notre petit Zorro national !
Cela n’est que la partie émergée de l’iceberg.
Cela n’est que de la com de bonimenteur et de l’esbroufe à destination des esprits mal informés pour faire croire que notre Président lutte contre le pouvoir bancaire : il demeurera en fait leur plus fidèle allié tant qu’il n’aura pas le courage d’aborder les vraies questions de fond.
A savoir : pourquoi l’état français a-t-il décidé en janvier 1973 de s’interdire de créer sa propre monnaie en s’obligeant à devenir l’éternel emprunteur des banques commerciales ?
Et pourquoi la même décision at-elle été entérinée au niveau européen dans la cadre du Traité de Maastricht en 1992 (article 104) ?
Voilà ce qui me semble être les vraies questions de fond qui ne sont jamais abordées par les économistes et par les hommes politiques de droite comme de gauche : questions taboues, en fait car elles remettraient en question trop d’intérêts et de compromissions bien étables depuis des décennies.
En attendant, rien n’est résolu et figurez-vous que les spéculateurs les plus avisés travaillent en ce moment-même à l’élaboration de la prochaine bulle financière.
Vous voulez savoir laquelle ?
Et bien elle concerne les dizaines, que dis-je : les centaines de milliards d’emprunts publics que les états industriels injectent en ce moment dans leurs économies malades et qu’elles prêtent...aux banques privées.
(Prêts concédés en France aux banques à 8%, nous bassine-t-on en nous faisant croire que l’état sera gagnant au bout du compte.
Mais de qui se moque-t-on ? Puisqu’il s’agit de sommes astronomiques que l’état français N’A PAS et qu’il emprunte lui-même à d’autres investisseurs, aux pays riches du Golfe ! etc... Et à quels taux peu transparents ?...)
...Des dizaines, des centaines de milliards donc que les états n’ont pas et qu’ils empruntent auprès des grands investisseurs, des fonds de pension, des pays riches du Golfe ou émergents comme la Chine.
C’est une nouvelle spéculation qui attire et qui rassure les requins éternels de la finance CAR QUOI DE PLUS SUR QUE LES GARANTIES DES ETATS ?
Voilà où se prépare la prochaine bulle spéculative : les bons du Trésor, les garanties d’emprunts d’états.
Bulle qui risquerait de nous coûter cher, très cher, si elle devait un jour crever, comme toutes les bulles !
Et qui pourrait ruiner bien des états !
C’est pourquoi les gesticulations à usage du petit peuple de notre petit bonimenteur national me font vraiment rire : le cirque continue et rien ne l’empêche de se poursuivre !
Dans une période de crises graves et intenses en tous genres (le Proche-Orient, la crise financière et économique...) le nombrilisme et l’auto-promotion permanente de ce genre de personnage deviennent franchement révoltants. On aurait bien aimé l’entendre s’exprimer au moment de l’offensive israélienne sur Gaza, on aurait apprécié de la voir participer à des débats au sujet de la crise financière mondiale : elle ne s’est manifestée que pour défendre le retour précipité de Rachida Dati aux affaires suite à son accouchement, et que pour s’auto proclamer l’inspiratrice de la stratégie de campagne électorale d’Obama en se montrant à Washington le jour de l’intronisation du nouveau messie ! Cette personne ne pense qu’à une chose, c’est son idée fixe : les élections présidentielles de 2012. Sarko, Ségo, même combat : « moi je ». Après tout, les Français n’ont que les épouvantails bouffis d’orgueil qu’ils méritent !
Je vais abonder dans ton sens plus que tu l’imagines et plus loin encore .
Je veux dire : plus vite l’espèce humaine aura dégagé, plus vite notre chère planète avec ses petits oiseaux, ses papillons et ses beaux arbres verts reprendra un nouveau souffle et respirera enfin !
Plus de déchets toxiques, plus de traces d’avions dans le ciel, plus de pollution des océans, plus d’espaces betonnés.
Yes WE CAN : faisons un geste pour notre planète !
La société libérale et ses valeurs marchandes veut occuper tous les espaces géographiques, temporels et intimes de nos vies et n’en laisser aucun pour nous permettre de respirer un peu en famille ou avec des amis ou en solitaires.
Et faut-il croire que nous sommes totalement lobotomisés par le système quand on voit que, d’après un sondage récent, 64 % des français seraient pour le travail le dimanche !
La propagande libérale fait mouche !
Alors voici ce qu’il faut lui répondre à cette fichue propagande :
1) C’est bien simple : payez mieux les français le lundi, le mardi, le mercredi, le jeudi, payez-les mieux le vendredi et le samedi, et vous verrez qu’ils ne souhaiteront plus du tout, mais alors plus du tout travailler un jour de plus pour "gagner plus" !
2)Quant "aux consommateurs" qui disent apprécier de pouvoir faire leurs courses le dimanche : si leurs conditions de travail leur accordaient un peu plus de temps de libre et de répit le lundi, le mardi, le mercredi, le jeudi, le vendredi et le samedi, probablement qu’ils n’auraient plus du tout, mais alors plus du tout envie envie de retrouver les parkings et les chariots des grandes surfaces le dimanche !