Quand les merdias commenceront à s’inquiéter pour leur avenir, nous les verront très vite rentrer au bercail.
C’est un problème de rapport de forces. Tant que la menace qui pèse sur les lignes éditoriales vient du consortium qui mène la dictature à la 1984 ceux-ci se rangeront de son côté.
Il faut donc commencer par ne plus acheter aucun journal. Ne plus aucun consulter aucun site de ces mêmes journaux, et ne plus regarder le journal télévisé.
Ainsi l’herbe leur est coupée sous les pieds. Si cela commençait dès aujourd’hui, nous verrions cette presse paniquer immédiatement. Il ne sert à rien de leur demander de changer. Il faut les taper là où cela va leur faire le plus mal. Au porte-feuille.
L’idée de faire s’effondrer le dollar en mettant sur le marché une partie des réserves n’a de sens que pour quelqu’un qui réfléchit en se demandant comment faire mal aux américains.
En l’espèce ce serait scier la branche sur laquelle les chinois sont assis. Le plus malin est d’acheter des entreprises américaines avec ces dollars en les réinjectant dans le système américain. Au moins ils servent à autre chose qu’à seulement descendre le dollar.
Il y a une chose de remarquable dans cet article : C’est dire n’importe quoi avec un style aussi admirable.
On y trouve le mythe de la grandeur de la France évoqué dès l’introduction, ça part mal. Qu’il y ait du bruit sur internet, certes. Mais il ne faut pas prendre les gens pour des imbéciles finis. Internet est un contre-pouvoir fort. Les populations l’ont compris, les politiques aussi.
Pour la première fois, tout le monde a accès à toutes les archives. Ce qui a permit récemment de se rendre compte que Sarkozy est un acteur qui joue un discours avec la même intonation, la même mimique et la même gestuelle. C’est à dire qu’une partie de son boulot consiste à préparer un one man show avec son metteur en scène (conseiller en communication). Avant les gens s’en doutaient maintenant ils en sont certains.
Le net est aussi une vitrine de l’humanité et ainsi tout doit y a voir sa place, le pire, comme le meilleur. Donc, y compris votre article, qui dans le pire, est à mon avis, un des meilleurs.