On peut commencer par dépoussiérer la guillotine, la lubrifier un peu. La « Veuve » devra reprendre du service. Son côté grand spectacle est quand même sympa. On la repeint avec des couleurs gaies. Prévoir aussi des piques pour promener les têtes.
Plus sérieusement :
Il faut faire suffisamment peur à nos politiques pour qu’ils craignent plus le peuple que la mafia financière internationale dont la banque d’Affaires Goldman Sachs semble être le chef de file.
Tant qu’ils n’auront pas fait dans leur froc, ça bougera pas. Au lieu d’organiser des apéros facebook et boire pour oublier, une bonne manif à Paris avec 2 millions de personnes et des ordres clairs concernant la régulation de la pieuvre ubuesque phynancière. En particulier la mise en Application des thèses Robertson-Bunzi.
Je crois que cela ne ferait rire personne au contraire, il y a de quoi tout foutre en l’air. Je rappelle que la famille Rockefeller est une des fondatrices de la réserve fédérale américaine (avec JP Morgan aussi) et que cela fait près d’un siècle que ces intérêts privés émettent le dollar sous forme de dette avec intérêts.
C’est à dire que la famille Rockefeller, c’est le dollar. On ne peut donc pas parler d’avoirs, c’est un autre concept.
Aujourd’hui l’impôt fédéral ne sert qu’à une chose : payer les intérêts des dollars émis sous forme de crédit : ceci rentre directement dans la poche des Rockefellers.
Il y a là un scandale faramineux, de quoi justifier à lui seul une révolution.
C’est pas assez Bistrot je trouve, voyons la version « brèves de comptoir. » (sujets dans l’ordre)
1. Jeannot quand il te sert le 51, c’est un artiste, il te colle un 102 à la règle exactement. Pas de règle pas d’artiste.
2. Etre heureux, ben tiens, ça dépend pas que de nous parfois, jeannot, il veut pas payer sa tournée.
3. Tu peux faire une théorie sur pourquoi tu te casses la gueule en marchant sur une peau de banane, et pourtant tu tomberas pas toujours.
4. Je sais pas si le rôle de l’historien c’est de juger, ce que je sais c’est qu’il y a des juges qui ont des histoires.
5. Tiens donc, sur les affaires politiques c’est sûr qu’on aurait intérêt de la savoir la vérité, mais les politiques se désintéressent de la faire savoir.
6. Jeannot sert m’en un autre pour oublier, demain, ça ira mieux.
L’histoire de Picard à Perpignan est effarante. Si la BAC n’était pas arrivée à temps que ce serait-il passé ? Pour lui ? Pour sa femme ? Pour la petite ?
A sa place si j’ai un fusil à pompe ou un gros calibre, je tire à travers la porte après éventuellement un coup de sommation (mais pas sûr), advienne que pourra. Et c’est normal, j’ai une bande de fous derrière extrêmement menaçants et le niveau de danger est impossible à évaluer : ils sont 15, c’est sûr qu’ils vont me rétamer si je ne tire pas, ensuite c’est danger maximal pour ma famille.
Mais ils sont 15 ou 20 dit l’article, alors la question c’est pas s’il faut s’armer ou pas : c’est quel type d’armes prendre, quelle quantité de munitions.
La France se dirige vers des heures sombres, très sombres.
Je retiens un élément : La tension monte de part et d’autre. C’est objectivement impossible à nier. La tension est énorme et il y a une haine fulminante.
Et c’est le résultat de 30 ans de culpabilisation, de laisser-faire et de politique imbécile. Dans un premier temps, on attaque les symboles, puis ce sera les personnes.
Je ne peux que le déplorer, mais cet avertissement pose la question de savoir s’il est temps de s’armer ou pas.
C’est une question sur la liste. Elle n’est pas en tête mais elle figure en bonne place. Il faut se rappeler l’embrasement collectif des cités avec la mise à feu des voitures. Le jour où nous verrons l’embrasement collectif des drapeaux, ce sera le signal d’un départ imminent.
Morice, lui, continuera à se mettre les mains devant les yeux pour ne pas voir cela.