Bobo le soumis, pour montrer sa détermination,doit :
- tortiller du cul devant les caméras - « vous n’aurez pas ma haine, je suis bisounours » - allumer des petites bougies Darty - organiser un concert Rap « Nique la France » - organiser un concert avec Noah le migrant fiscal - « pas d’amalgame » évidement
Et apprendre à ses rejetons à marcher dans le caniveau en baissant les yeux quand on croise une djellaba barbu
Car c’est l"héritage que laisse bobo à ses rejetons, la soumission, le grand remplacement, l’oligarchie, pas de pays, pas de peuple, pas de fierté, plus d’Histoire, plus de contrat social, le multiethniquage multi-akulti mais des bobo Iped18 et du mariage pédéraste avec achat de bébé gpa aux utérus du 1/3 monde (pour les riches gooochistes évidement)
Que ça soit en UE où aux US, la clé politique (celle non libérale) devient l’appartenance, l’identité, la recherche instinctive désespérée d’un holisme de substitution dans le multiethnique multi-akulti.
Mais
le poids de la nation est fortement liée au poids de l’Histoire (que le
Capital veut systématiquement effacer par le grand remplacement et
l’éducation naïade vagino bécassine). En temps consuméristes et de
paix, notre société des simulacres sociaux se ramènent à une recherche
individuelle de hiérarchie de richesse, la nation est morte.
Aussi la
recherche d’appartenance, d’identité, dans ce contexte a-national,
a-historique, a-holistique, part inévitablement dans la régression
infra-politique : Pour le colon déraciné en barcasse où héritier
de ce déracinement, la Oumma est la clé d’appartenance (et non la
transcendance, le terroriste n’est que secondairement un religieux),
ersatz de peuple, la porte du paradis terroriste est la recherche
identitaire.
Et pour le souchien déraciné sur pied, c’est la race blanche.
Au
dessus de ces terreaux régressifs, le califat-histoire-islam a son
pendant occident-histoire-race comme idéologies politiques accessoires
....
Et ces nvlles infrastructures d’appartenance, étant
a-nationales, deviennent trans-continentales. Du petit blanc grand
remplacé de Trump à Orban, du barbu de Londres à celui du Bangladesh.
mais le dernier réflexe de la civilisation mourante dans la décadence est la régression (Rome a fini en dictature militaire, dans la dénatalité et l’évitement du service militaire ...)
Le patriotisme de la nation est un concept politique, qui ne peut exister quand l’Histoire est multiethniquée, qui n’existe qu’à la naissance et la maturité d’un peuple.
La régression décadente amène une pensée plus basique, raciale (comme l’Allemagne d’après 1918, la nation allemande étant défaite, le pangermanisme par de là les frontières a pris le relais comme le pan-slavisme d’ailleurs) où religieuse
L’avantage de cette régression (raciale où religieuse) est d’être par définition a-nationale, civilisationnelle et infra-politique donc. Donc trans-nationale.
Sur une pensée a-nationale vient se greffer une idée d’Empire (le christianisme dans le cas du moyen-âge, infrastructure du Saint Empire, comme l’Islam du Califat, comme l’Impérium de l’Empire Romain ....).
L’UE n’est pas une Idée d’Empire, c’est juste une tache de couleur sur une carte. L’UE n’a pas d’existence politique. Son seul gardien est un Caddie. Et pour 1933 il suffit de 1929.
On peut mettre un oligarque au Goulag, on ne change pas un peuple.
La volonté politique est une expression du peuple, quoi que soit les gouvernants. De Napoléon à la fleur au fusil de 14 aux 80% d’opinions favorables de Poutine. Flanby est expression de bobo.
En fait le souchien sait qu’il est un peuple mourant. Alors il régresse, en qq sorte pour retrouver une force primaire, car le droitdelhommisme, la justice est faiblesse. Ce que dit Rochedy, sauf qu’il n’imagine pas que le réflexe instinctif est celui de l’Allemagne d’après 1918 ....
L’Empire romain hyper civilisé, encensant les arts où l’orgie, est mort dans la dénatalité et le refus de la carrière militaire. Pour laisser place au moyen-âge.