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John Lloyds

John Lloyds

Enfant gâté remonté des limbes et destiné au purgatoire, le cauchemar des égarés chus dans le temps linéaire. Version vénéneuse de la materia prima, je suis celui sur lequel l’oeuvre repose dans son entier.

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  • Premier article le 31/10/2008
  • Modérateur depuis le 12/11/2008
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Derniers commentaires



  • John Lloyds John Lloyds 6 novembre 2008 21:51

    ça fait peur, une enseignante de longue date, qui croit encore au père noël. Que vous restera-t-il quand vous n’aurez plus personne où investir votre idyllisme ?



  • John Lloyds John Lloyds 5 novembre 2008 15:27

    "Quand aux guerres coloniales récentes.... faudra peut être nous donner des exemples...."

    Ouvrez n’importe quel manuel d’histoire du secondaire, il est fort bien expliqué pourquoi n’importe quel colonisateur finit à long terme par être dans une situation intenable à 5000 km de chez lui.

    "la résorbsion de cette guerre se fera par l’émission de TBonds, sur 30 ans"

    Ben voyons, toujours ce réflexe de transmettre la patate chaude à la descendance. Un petit extrait de Paul Craig Roberts à ce sujet : "Mais un pays dont l’objectif en politique étrangère est l’hégémonie mondiale continuera sur la voie de la destruction jusqu’à ce que le reste du monde cesse de financer son existence. La plupart des Américains, y compris les candidats à l’élection présidentielle et les médias, ne savent pas qu’aujourd’hui le gouvernement des États-Unis, à cette minute même, n’est pas en mesure de financer cette journée de fonctionnement et doit compter pour ce faire sur les étrangers qui achètent ses bons du Trésor. Le gouvernement leur paie les intérêts grâce à la vente de nouveaux bons, et lorsque ceux-ci arrivent à échéance, le gouvernement les rembourse en vendant à nouveau des bons. Le jour où les étrangers cesseront d’acheter les bons du Trésor sera le jour où le peuple américain et son gouvernement seront ramenés à la réalité".

    "Le temps nécessaire pour que les populations en souffrent et cherchent à exprimer leur agressivité, qu’elles élisent des bellicistes, que les tensions cristallisent, les provocations soient de moins en moins contrôlées, ... Pas possible avant 2014"

    Sauf que vous prenez la crise économique actuelle comme origine, ce qui n’est pas le cas, elle ne fait office que d’accélérateur. Ensuite, dans le cas présent, ce n’est pas du peuple dont il s’agit, plongé dans sa moutonnerie habituelle, mais des nations qui se sentent menacées dans la course à l’énergie.

    En ce jour où l’on célèbre "le rêve américain de Luther King" dans les flots de champagne, la Russie déploie ses missiles et accuse les états-unis d’être à l’origine de cette crise financière. La douche froide attend les lendemains de fêtes, les réalités courrent plus vite que le rêve américain, et 2014, ça risque déjà d’être l’année prochaine.



  • John Lloyds John Lloyds 5 novembre 2008 01:51

    "là aussi il faut souligner que le budget militaire russe est infinitésimal par rapport à celui des USA"

    C’est parfaitement exact, mais ce n’est pas la même finalité de budget : maintien national d’un côté, hégémonie mondiale de l’autre. C’est la petite entreprise familiale à côté du fils prodigue qui va flamber au casino de l’argent qui n’est pas le sien. Etre partout, et y rester, ça coûte cher, tellement cher que même le super-budget ne suffit plus, puisqu’il est fait appel à des armées de larbins, appelées coalition.

    "Le USA sont nullement enlisés en Irak"

    ...

    "Les Etats-Unis ont une grande stratégie et ils avancent leurs pions avec succès"


    C’est une méconnaissance de l’histoire. Toutes les politiques coloniales occidentales récentes furent abandonnées à cause, non pas du coût de la conquête, mais du coût du stationnement. Une guerre en Irak estimée à 3000 milliards par le prix Nobel de l’économie Joseph Stiglitz (initialement prévue à 50 milliards), par rapport à un budget annuel, de mémoire, de 500 milliards, ça ressemble plutôt à du flambage de casino, financé par de la dette, répartie ensuite sur les contribuables planétaires, non ?
     
    Par quel tour de passe-passe, maintenant que les caisses sont, non pas vides, mais dans un négatif abyssal et incontrôlable, les Etats-Unis vont-ils pouvoir poursuivre leur "grande stratégie", à commencer déjà par rester sur place ? Si c’est pas de l’enlisement ça ... Ils n’ont qu’une solution, la fuite en avant - ce pourquoi je crains dans les prochains mois un incident international majeur, qui fera office de prétexte. On peut appeler ça une grande stratégie, moi j’appelle ça de l’irresponsabilité.



  • John Lloyds John Lloyds 4 novembre 2008 14:25

    Bonjour,
    Merci pour votre commentaire. Guerre froide, oui, mais c’est un bas mot. Dans l’incident de l’attaque américaine du village syrien, on en est déjà à jouer avec le feu. La déclaration de Gates, dont le lien figure dans l’article, montre l’évolution de l’esprit étatsunien, dans le sens belliqueux.



  • John Lloyds John Lloyds 3 novembre 2008 12:45

    Excellent articile, un pessimisme bien justifié.

    A propos des fonds souverains, cités dans l’article, certaines analyses pensent plutôt qu’ils étaient une cible, voir http://www.ism-suisse.org/news/article.php?id=10243&type=analyse

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