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JONAS

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  • JONAS JONAS 23 septembre 2008 01:16

    JONAS à : Olivier Cabanel,

    Merci pour votre article qui me permet une nouvelle fois de démasquer M. Krolik.

    Au plus il s’exprime au plus il se discrédite ! Le comble a été atteint sur NaturaVox, lorsqu’il a écrit qu’il dormait tranquille avec ses pastilles d’iode…. !

    Sa dernière argumentation était une relativisation basée sur le nombre de mineurs morts pour la production d’électricité thermique par ce combustible, la production électronucléaire en n’ayant fait moins pour l’instant ?

    Il est évident qu’il est beaucoup plus facile de dénombrer les morts dans une mine, que ceux qui résidant parfois à des centaines de kilomètres d’une centrale nucléaire.

    Le démantèlement de ces sites sera un énorme problème pour les générations à venir et les catastrophes naturelles imprévisibles, risque de nous rappeler leurs existences.

    Enfin pour conclure :

    La leçon de Harrisburg

    "Après 2 835 incidents survenus dans les 72 réacteurs en service aux États Unis, l’accident (de gravité n° 9) de la centrale de Harrisburg alerte les consciences. On s’aperçoit, aujourd’hui, que les techniciens en savent bien peu sur le comportement d’un réacteur soumis à des conditions inhabituelles de température et de pression. Tout, dit-on, est à revoir. Les rapports fusent. Est-ce suffisant pour rassurer les populations ?
    Le cauchemar s’est dissipé. Et après trois semaines de lutte, on est enfin parvenu à refroidir le cœur de la centrale nucléaire de Three Mile Island en Pennsylvanie. Les petites bourgades des alentours, Harrisburg, Middle Town, Goldsboro, réapprennent doucement à vivre. Mais à la suite de cet accident qui a failli tourner à la catastrophe nationale, l’Amérique s’est aperçue que tout n’allait pas pour le mieux dans le monde nucléaire. Elle a constaté avec effroi les imperfections, les incohérences, les lacunes du programme nucléaire".

    Ce n’est pas avec des personnes comme Krolik, que nous tirerons les leçons des derniers accidents, puisque ce ne sont des " incidents ? ". Il n’y a donc aucunes leçons à tirer… !

    Il en est du nucléaire comme de l’Armée, nous avons toujours une guerre de retard !

    Bonne nuit.

     

     

     

     



  • JONAS JONAS 23 septembre 2008 00:29

    JONAS à : Krolik,

    Je vous connais bien après tant de joute orale, soit vous noyez vos interlocuteurs avec des chiffres et des arguments qui sont un amalgame d’informations recueillies sur Google et plus ou moins bien exploitées, soit vous relativisez lorsque vous êtes à court d’arguments.

    Le mépris est votre arme ultime, la mienne c’est la vérité. Mais les gens de votre corporation étant des spécialistes du mensonge et de la dissimulation (j’étais très bien placé pour le savoir), j’en veux pour preuve votre dernière déclaration : " Maintenant expliquez pourquoi il y avait des opérateurs dans le bâtiment réacteur à son ouverture ? Une centaine de suicidaires sachant ce qui s’était passé ! Mais ils sont déjà tous morts à c’t’heure, cuit comme sur une rôtissoire.. ".

    Il y a eu effectivement des techniciens contaminés, ils sont sortis en courant de l’enceinte, d’autant, que comme par hasard la sonde ou la sirène était en panne ! Et c’est un des techniciens, le seul qui possédait un détecteur de seuil, qui a donné l’alerte, la presse en a fait état, mais bien sûr ils n’ont été irradiés que très légèrement…les pauvres ! Si j’étais jeune médecin, je m’intéresserais particulièrement à leurs dossiers médicaux dans les années à venir.. !

    L’irradiation, vous la voyez-vous ? Vous pouvez la mesurer sans compteurs ? Vous prenez les lecteurs pour des idiots et moi avec !

    Je vous mets au défi de me dire sur un groupe de personnes témoins, laquelle a subi une radio la veille !

    Oui ! Si elles sont brûlées par les rayons, vous pourrez faire une évaluation approximative, de toute manière leurs jours seront comptés.

    Celui qui fait de la désinformation c’est vous ! Vous avez un bon mobile pour la faire.

    Moi, ma mission a toujours été de protéger les personnes et de faire de la prévention, pas de semer la panique. Mais la prévention c’est de dire aux gens si vous ne faites pas débroussailler, vous risquez de perdre la vie et au minimum de perdre vos biens.

    Avec des gens comme vous, il vaut mieux mettre un terme le plus rapidement possible à ce type de production électrique, vous êtes des dangers publics.

    Vouloir prolonger la vie de la majorité des sites de plus de 30 relèves de l’inconscience liée aux profits. Depuis plus de 20 ans vous saviez pertinemment les dangers que vous feriez encourir aux citoyens et vous n’avez rien prévu pour prendre la relève, c’est criminel.

    Bonne nuit, et surtout gardez bien vos pastilles d’iode à porté de main, comme vous me l’avez dit sur NaturaVox.

     

     



  • JONAS JONAS 22 septembre 2008 23:41

    Vous pouvez pavoiser avec l’euro ! Il vaut approximativement 80 centimes de franc de l’an 2000 et le dollar, 3,50 francs.

    Vous jouez au poker menteur, avec des menteurs et vous prétendez faire jaillir la vérité… !

    La vérité, c’est qu’en incluant dans l’Europe des pays pauvres, on ne fait pas monter le cours d’une monnaie. En délocalisant des entreprises c’est pareil, en exportant moins à cause d’une monnaie plus que surévalué, on ne remporte pas des marchés.

    En payant par ce biais l’énergie et des matières premières moins chères, mais en travaillant le moins possible, on ne fait pas de plus values.

    En embarquant des passagers qui ne rament pas dans une galère, elle ne peut que ralentir.

    En réalité nous travaillons pour conserver les fonds de pensions et payer les retraites des Américains, et nous vendons les meubles pour couvrir partiellement nos déficits abyssiniens.

    Trichet patron de la BCE ! Je me demande s’il n’occupe pas ce poste à cause de son nom… !

    Votre arrogance est à la mesure de votre impuissance et de votre manque de réalisme.

    Bonne nuit.



  • JONAS JONAS 22 septembre 2008 22:54

    Bonsoir Olivier et à tout le monde,

    ANTITALL, merci pour vos observations, mais ne vous inquiétez pas j’ai l’habitude avec Krolik, j’ai annoncé la couleur, je savais qu’il n’allait pas résister et hésiter à me contredire. Pendant un mois, nous nous sommes battus en duel verbal sur NaturaVox. Acculé, n’ayant plus de portes de sorties, il en est arrivé à dire que finalement dans le temps, les centrales électronucléaires faisaient et font moins de victime que les thermiques aux charbons, en prenant en compte bien sûr les mineurs victimes de leur travail. Argument d’un de mes amis, sous directeur d’un site de production électronucléaire.

    Je ne suis qu’un ancien officier pompier à la retraite, spécialiste NBC, qui à encore quelques amis dans les CMIR (Cellules Mobiles d’Intervention Radioactives).

    Ce que dit Olivier est parfaitement exact, lors de la fuite de Tchernobyl, les sondes atmosphériques de radioactivités dans les CSP (Centres de Secours Principaux), déclenchaient les sirènes des casernes, nous avons été obligés de rehausser les seuils d’alertes. Mais, l’obligation de réserve, ne nous a permis que de prévenir nos familles et nos proches, sinon adieu avancement et bonjour les ennuis… !

    Il en est peut-être de même pour Krolik, qui préfère se faire valoir auprès de ses employeurs que d’avoir des ennuis.

    Je m’inscris en faux contre tous les arguments qu’il présente :

    Le temps qui s’est écoulé entre la fuite et l’information, étant de plusieurs heures officiellement et peut-être de plusieurs jours officieusement, ne permet pas de dire la nature exacte des radios isotopes rejettés. Il peut donc s’agir d’un rejet de circuit primaire, les cuves de rétention de la centrale étant pleines, on n’a été obligé de vider en catastrophe et sans traitement.

    Je cite Krolik : " Notre ami Jonas délire complètement avec la fusion de deux aiguilles, de la fuite, de la pression (s’il y a fuite il y baisse de la pression, petit détail.. Et de toutes les façons les pompes d’injection de refroidissement ont la capacité.. Enfin ce joyeux mélange des genres par Jonas est complètement "nul", une simple association de mots destinée à faire peur ".

    Il nous dit avec points de suspensions : " Et de toutes les façons les pompes d’injection de refroidissement ont la capacité.. " ? ? ?

    Injecter de l’eau à une pression de 65 bars ou Kg cm2, mais qui peut atteindre les 180 bars ?!

    De toute manière injecter de l’eau froide dans un circuit de vapeur, dans les centrales REP actuelles où la pression dans le générateur est voisine de 60 bars, et la température de la vapeur 275 °C, provoquerai instantanément des contraintes telles que c’est la rupture des soudures, voire le coup de guillotine pour les tuyaux déjà vétustes. Ce type d’opération ne se fait que sous forme de perfusion dont le débit est déterminé par la chute de la température. C’est une procédure de secours délicate à chaud et qui n’est pas sans risques… !

    Lors de l’accident nucléaire de Three Mile Island, Le mélange de vapeur et d’eau qui s’échappait de la soupape du pressuriseur était dirigé vers un réservoir de décharge. Or, au bout d’un certain temps de 14 min 48 s exactement, ce réservoir fut complètement plein, amenant à la rupture des disques de décharge prévus pour cette situation. À partir de cet instant, le circuit primaire se vidait directement dans l’enceinte de confinement (troisième et dernière barrière de confinement de la radioactivité).

    Il est vraisemblable que cette dernière barrière a été franchit au mois de juillet à Tricastin… ! Pour éviter le syndrome chinois (fonte du cœur), les ingénieurs ont été obligés d’injecter dans le circuit des quantités d’eau considérable en prenant tous les risques que cela comporte, les barres de contrôle et d’arrêt d’urgence, n’arrêtent pas la fission immédiatement. Ils ont heureusement réussi sans accident majeur, du moins relativement, évité le pire. Au départ, les rejets extérieurs étaient de plus de 200 kg d’Uranium, puis ils ont diminué avec le temps pour arriver à 74 kg ? Juste avant que la CRIIRAD fasse des prélèvements. Y avait-il que de l’Uranium, nous ne le serons vraisemblablement jamais.

    Le scénario probable de L’ACCIDENT du réacteur de Tricastin au mois de juillet, est certainement comparable à l’accident de Three Mile Island. Afin de garantir la non-ébullition de l’eau primaire, la pression du circuit primaire est fixée à 155 bars, ce qui correspond à une température de saturation de 345 °C, et donne une petite marge de sécurité. Une telle pression est déjà très élevée et impose de fortes contraintes technologiques à tous les niveaux, on a injecté de l’eau, mais sa circulation a été quasiment stoppée par l’hydrogène déjà piégé dans les générateurs de vapeur, et l’évaporation de l’eau du circuit primaire s’est accélérée. Le haut du cœur a certainement commencé à émerger de l’eau. La température a favorisé la réaction entre la vapeur et le revêtement en zirconium du combustible, formant de l’hydrogène qui a dégradé fortement la gaine du combustible et amenant au relâchement d’éléments radioactifs dans le circuit primaire. Il est presque certain que la chaleur a provoqué la soudure ou la déformation des aiguilles à combustibles et qu’elles soient restées coincées dans le couvercle.

    Si leurs revêtements en zirconium sont fissurés ou ont fondu, et qu’elles sont suspendues sous le couvercle du cœur, très très gros problème ! ! ! A moins d’être suicidaire, personne ne peut plus les approcher et entrer dans l’enceinte de confinement ne l’est pas moins. Ne comptez pas sur mes collègues des CMIR pour le faire….

    Bonne nuit à tous….

     

     

     

     

     

     

     

     

     



  • JONAS JONAS 22 septembre 2008 17:00

    JONAS à : flammekueche,

    Malheureusement, ça n’est pas par foyer fiscal, mais bien par citoyen 23 400 euros.

    Soit par foyer fiscal, X par 3,5 environ = 81 900 euros, soit plus de 120 000 dollars.

    Pour ceux qui divisent l’euro par le nombre d’habitant de la France, c’est assez comique, l’euro n’est pas la monnaie exclusive de la France… !

    Si vous ajoutez les ardoises des 26, Angleterre exceptée, vous verrez que mes chiffres sont peut-être sous évalués pour la valeur réelle de l’euro… !

    À plus tard.

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