Un beau tour de passe-passe cette crise boursière !
Le système remonte au Moyen Âge ! Le prêt à usure dans certaines régions du Sud de la France, qui bénéficieraient toujours du droit romain, permettait aux ménagers (paysans) ou nourriguiers (éleveurs), de faire des emprunts auprès des Juifs qui étaient déjà dans la finance. Ils encourageaient l’endettement.... Â cette époque, les conditions climatiques avaient d’énorme retentissement sur la production agricole et l’élevage. À chaque détérioration du climat, qui pouvait durer plusieurs années, les emprunts grossissaient. Finalement le montant de la dette et des intérêts, finissait par atteindre la valeur des biens des emprunteurs. Soit, les préteurs devenaient propriétaires des biens baillés par le seigneur, soit, ils devenaient les ouvriers de leurs préteurs.
Cette situation a généré une des premières chasses aux Juifs, obligés de se convertir au Catholicisme, soit de fuir, certains ont été exécutés en place publique.
Aujourd’hui, pas question de renouveler cette expérience, les emprunteurs sont à la rue ! Mais le problème, la crise mondiale aidant, peu de personnes ont été en mesure d’acheter c’est demeures vides d’occupants.
Les banques se sont retrouvées propriétaires de ces biens immobiliers sans pouvoir les réaliser. Quelques Européens et autres en ont acheté, mais pas assez pour renflouer en monnaie sonnante et trébuchante les découverts des banques prêteuses.
Ces dernières propriétaires de ces biens dévalués et non négociables, ont perdu la confiance des marchés, les précipitant dans la spirale des faillites.
Mais aujourd’hui, on ne chasse plus les préteurs, les banquiers, la dette sera répartie sur tous les citoyens, ce n’est pas pour autant que ces établissements bancaires seront nationalisés. Je vous laisse deviner par qui ils seront administrés…. !
Je suis stupéfait de constater que ce qui risque de tuer les 9 dixièmes des humains et de les ramener à l’homo Sapiens, ne fasse l’objet que de spéculations pétrolières et du raccourci entre les continents. L’Antarctique, c’est 15 millions de km2, 30 millions de km3, 75 % de l’eau douce, 90 % des glaces. Si la glace antarctique venait à fondre entièrement, elle recouvrirait le globe de 60 mètres d’eau au-dessus du niveau de la mer. Groupe de glaciologie de l’observatoire Midi-Pyrénées. Sachant que 80 % de la population mondiale vie à moins de 200 mètres au-dessus du niveau des mers et océans, on peut raisonnablement penser que 60 % de cette population devra immigrer vers les terres émergentes. Personnellement, je pense aux regards des données qui suivent qu’elles seront anéanties par la soudaineté du phénomène, car le niveau ne s’élèvera pas graduellement. Nous savons grâce aux relevés des satellites, que mers, océans et même grands lacs sont bombés. Le point culminant de l’océan Atlantique entre Nantes et New York, se situe à environ 200 mètres au-dessus du niveau des terres. Personne n’est en mesure de dire quand le point de rupture sera atteint, car ce gonflement est comparable à un verre qui est rempli au-delà de son bord. On peut ajouter avec un compte-gouttes, en les incluant au raz de sa surface, une quantité importante de gouttes, qui ne feront monter le niveau du liquide sur ses bords que de quelques centièmes de millimètres. Le moment du débordement est imprévisible, il obéit aux secousses, secousses sismiques même infimes pour la terre. Peuvent rentrer en compte l’attraction solaire, lunaire, voire la conjonction de tous ces facteurs. Aucun ordinateur au monde n’est capable de calculer et donc de prévoir la date de la débâcle des eaux planétaire. Nous jouons donc à la roulette russe avec nos vies pour conserver nos modes de vies. Je dirai avec humour que l’addition sera salée, car l’espèce humaine sera globalement anéantie. En supposant qu’ils y aient quelques centaines de milliers de survivants au bout de 2 ou 3 générations, sur l’ensemble de la surface de la terre, ils seront retournés dans le meilleur des cas à un au niveau de connaissance du moyen âge. Bien sûr, à quelques exceptions près, personne ne prendra en considération ce scénario, qui est plus que probable. Il y a chez les hommes une propension à refuser la vérité, celle de la mort inéluctable pour chacun de nous, nous repoussons cette échéance jours après jours, cette défiance ne change rien dans la réalité. J’ai connu à cause de mon métier et au début de ma carrière cette notion, la compagnie journalière de la mort. Définition que m’avait enseignée mon père, lorsque l’artillerie la crache sur un champ de bataille et où l’on ne sait pas si le prochain obus n’est pas pour soi ! Pour nous sur certaines interventions, c’est l’explosion de gaz imprévisible, la tempête de feu sur un incendie. Certains s’y accoutument, d’autre relativisent, ceux qui sont morts de peur n’ont pas de place chez nous. Si nous sommes courageux, nous ne sommes pas suicidaires et nous évaluons les risques, en fonction de cette évaluation, nous sommes en mesure de protéger les gens et de limiter nos pertes éventuelles. Les scientifiques qui connaissent mieux que moi le scénario que je viens de décrire, sont des pompiers muets, qui restent dans leurs casernes, simulant autant que faire se peut les périls. Mais aucun ne dira STOP ! Bonne journée.
Vouloir rester maître chez soi, c’est du racisme !? J’ai dit " tous les étrangers ", sans distinction de couleurs ou de religion, la majorité des Roms sont chrétiens et les Allemands l’étaient aussi en 1940.
Une des vicissitudes des démocraties, c’est la loi du nombre et comme nous donnons la nationalité française trop facilement et trop vite à des gens qui ne respectent pas nos lois et qui n’aiment pas notre pays, je maintiens ce que j’ai dit.
Je n’ai rien contre les immigrés, ce sont des hommes comme moi (un homme en vaut un autre), ce ne sont pas eux les responsables ! C’est nous et des gens comme vous qui voulez sauver de la misère plus de 2 milliards de pauvres, et vous et nous n’en avons pas les moyens. La France est un mouchoir de poche et n’a ni pétrole, ni beaucoup de matières premières et ce n’est que le travail de ses citoyens qui créait de la richesse. C’est donc eux qui assurent la subsistance de ces personnes qui sont de plus très prolifiques en matière de natalité.
Faute de pouvoir trouver du travail (nous avons plus de 2 millions de chômeurs), qui sont loin d’être tous " sous-chiens ", ces nouveaux arrivants viennent grossir les rangs des demandeurs d’emplois.
Lorsqu’on n’en a pas les moyens, on n’invite personne chez soi et ceux qui s’inviteraient ont les reconduits vers la porte, sous peine de voir ces invités et ces squatters se révolter et tout casser. Nous en avons fait et en faisons l’expérience mes collègues et moi, les injures, les crachats et les coups, s’est nous et nos collègues policiers et gendarmes, qui les recevons.
Alors vos insultes, ne viennent que s’ajouter à celle que j’ai subie pendant des années et ne saurait m’atteindre.
Je ne poursuivrais pas cette conversation stérile, car je crois que nous n’avons pas les mêmes valeurs et je ne pense pas que vous soyez en mesure de me comprendre.
Je crois que vous faites une grosse erreur, je n’ai jamais été raciste, car une des devises des pompiers, c’est : " Un homme en vaut un autre ". Et comment aurai-je pu dans mon métier discriminer ceux que j’ai secourus, ces accusations sont grotesques et de mauvaise foi.
OUI ! Je défends mes jeunes collègues contre ce type de faux antiracistes, qui se servent de cette façade, pour nous insulter, nous cracher dessus, voire nous caillassés !
Ils font toujours cause commune avec les étrangers, pour spolier de leur sol les " sous-chiens " que nous sommes. D’ailleurs, il en fait l’aveu :
" Quant à ton attaque personnelle, je vais te dire une chose : toi un jour tu risques d’être obligé de quitter la france ; moi je ne vis pas dans le même pays que toi ".
Oui, tu as raison, je suis très dangereux ! Je n’ai pas peur de mourir comme toi… !
Si c’est des courageux comme toi qui ont la prétention de me faire quitter mon pays, je n’ai aucuns soucis à me faire. Nous sommes plus nombreux que tu ne crois à vous attendre.
Je ne rentrerai pas dans une escalade des insultes, elles sont les armes des faibles et tu es plus à plaindre qu’à blâmer. Tu es certainement issu d’un quartier dit " sensible ". Alors n’attendez plus ! Révoltez-vous ! Venez bouffer du Français, du blanc ! Du Chrétien ! Donnez-nous enfin l’occasion de vous mettre en cage et de vous virer de ce pays où vous n’êtes pas digne de résider.
Je n’ai plus rien à prouver, et le con que je suis n’a rien à foutre d’un individu comme toi. /