@ETTORE Finalement, Djokovic va peut-être remporter le tournoi « in abstencia », une première !
Mais effectivement, quel retournement ce serait que les joueurs piqués se montrent incapables de tenir leurs matchs, annulés, ou interrompus, le tournoi tué par les tueurs. L’Australie recevrait là une cinglante défaite face à l’homme ( et le symbole) qu’elle a voulu briser.
@Abolab La différence est que Djokovic, outre qu’il est Serbe et représente son pays martyrisé par l’OTAN (appuyé par une campagne médiatique mensongère aujourd’hui révélée, mais le mal est fait), et est déjà un « mauvais exemple », est un modèle qui s’oppose au système ( malgré ses millions — Chaplin aussi, jadis) et suit une éthique ( son alimentation en constitue un aspect) qu’il rend publique. La popularité acquise par son tennis, il l’utilise pour dénoncer la mystification sanitaire, qui est un enjeu politico-financier majeur : il dérange, à l’instar de nos grands chercheurs sans conflit d’intérêts, vilipendés — et lui est par son métier le plus médiatisé.
@Joséphine Pas que les tatoueurs — il y a des fanas de la piqûre, qui en veulent de toutes sortes — lire le Dr Benoit Ochs, qui a ausculté de nombreux patients post-vaccinés. De mon côté, j’en suis à 17 cas de parents de proches ( dont plusieurs décès, et des pathologies invalidantes) victimes de tels effets ( liés à des thromboses post-vaccinales).
@JP94 mon commentaire est truffé de phrases mal construites, prière de le supprimer ( je suis allé à signaler un abus, mais il n’y a pas l’abus de fautes de constructions -mon clavier saute des mots)
@Joséphine Déjà, on voit la mentalité lâche qui consiste, au lieu de s’unir pour exiger la présence de Djokovic , vainqueur sortant et n°1, ce que les joueurs auraient aisément obtenus ( si les têtes font la grève, pas de tournoi, pas de fric, l’Australie au ban des nations labo-serviles et fachos nouvelle manière ) au contraire, servilité au service des gros labos ( qui lui fournissent sa dope ?) de Nadal et autres. Ce sera le tournoi de la honte ! Le soi-disant vainqueur restera sa victoire lâche et sans péril, qui en dit long sur sa personne. Au contraire, Djokovic ( qui agit aussi dans la discrétion pour d’autres causes justes), restera un exemple, l’exemple pour lequel l’Australie a osé porter la main sur sa dignité.