Cette affirmation péremptoire est assez couramment entendue côté occidental : on ne nie pas les crimes de Kiev ( lesquels sont avérés et dénoncés par de nombreux habitants de Marioupol, par exemple), mais on prétend que côté russe, ce serait pareil : on pense ainsi que la vérité serait dans le renvoi dos-à-dos, une sorte d’équité dans les torts, mais qui arrange bien Kiev et les nazis : le procédé a été initié par eux durant la guerre.
Sauf qu’on ne saurait renvoyer dos à dos nazis et résistants, les seconds se sont opposés aux crimes des premiers, et la Russie est venue en renfort, au sein d’une population russe ou russophone, auxquels les premiers ( on a les vidéos) déniaient toute humanité.
@sylvain en tout cas, elle en a bien plus dans le monde, par sa diplomatie et le fait qu’elle respecte ses engagements. Apparement, vous vous renseignez dans un cercle très circonscrit : je peux vous assurer que les correspondants dans les autres continents ( Afrique, Amérique) ont beaucoup d’admiration pour la Russie, et même, rêvent d’avoir Poutine pour président !! croyez-vous vraiment que les Occidentaux puissent prétendre à une autorité légitime dans le monde ? faire le gendarme, ou obéir aux USA, champion des guerres urbi et orbi, c’est se discréditer.
@sylvain par exemple, l’un des mercenaires britanniques, Ayden Asleen, qui essaie de sauver sa peau en téléphonant et en interpellant l’Occident ( par exemple, les Jim Chambers, journaliste communiste US, venu au Donbass, ou Jackson Hickle, journaliste US indépendant (il y a aussi Redacted, the New Atlas, Emil Cosman, Jimmie Dore, the Gray Zone,) et bien sûr le Saker etc ...eh bien cet Asleen, qui reconnaît tous ses crimes, sauf un, dénonce aujourd’hui les crimes de ses camarades d’Azov, prétendant avoir été trompé par la propagande britannique, et que s’il avait su, il aurait combattu dans l’autre camp, où il a pu constater, comme la Croix Rouge, que la Russie traitait avec respect ses prisonniers — même les pires criminels — en attendant le jugement : aucun règlement de compte et encore moins de torture. ils ont un lit, sont soignés, nourris convenablement ( avant d’être prisonniers, certains mercenaires de Kiev n’avaient droit qu’à une patate par jour — et c’est pareil pour les soldats de Kiev... Bref, pas de « propagande russe » : les stratèges occidentaux affirment que les Russes mentent peu, et qu’on peut faire confiance. Comprenez bien qu’entre la propagande des héritiers de Goebbels à Kiev et la résistance populaire du Donbass, dont la teneur des propos est corroborée par exemple par les interviews in situ du journaliste Graham Philips ( GB), votre choix devrait se faire sans hésiter.
Restent les excellents Donbass Insider, avec Christelle Néant, ANNA NEWS, Laurent Brayard, et sur internet, Michel Collon, qui avec son équipe ( amateurs et professionnels ayant travaillé à l’ONU et même à l’OTAN) vérifient les infos, vont à la source et ... en fin de compte valident les thèses du Donbass ... eh oui ! voilà pourquoi !
mais vous savez, faire ce travail de fourmi de vérification ne permet que de convaincre les personnes exigeantes, et ne pèse que peu par rapport à la déferlante des médias dominants, alimentés par le MI6 (beaucoup — ils sont plus forts à mentir qu’à combattre au front) et la CIA, et d’autres agences...
Sympa la Norvège ! tandis que l’Armée rouge y a vaincu l’armée du Reich (on y voit encore un grand monument du soldat soviétique) , ses élites se prélassaient à Londres. Toutefois, elles ont interdit à l’URSS de délivrer le Sud, considérant que « ce serait une agression caractérisée ». Il a fallu toutefois un ultimatum de 15 jours pour que ces élites demandent gentiment à l’Armée du Reich de quitter le sud du pays, sinon, l’Armée rouge continuerait à la combattre et serait donc l’unique libératrice du pays et seule légitime.
Le Reich parti ( bien obligé), les US ont pris la relève avec l’assentiment des élites, transformant l’URSS en menace ...
Sympa, comme Breivik le nazi qui a massacré tous ces jeunes socialistes sans qu’on l’en ait empêché : après tout, n’était-il pas le fils de l’ancien ambassadeur de Norvège à Paris ?
@Herby oui, vous avez raison : ce point là en particulier suffit à expliquer. Rio Tinto la multinationale qui tue ( par ses implantations minières en Nlle Guinée, en Amérique latine et ailleurs, et y assassine froidement les représentants des populations qui s’opposent à ses intérêts, ne pouvait laisser le pouvoir politique australien son vassal autoriser l’opposant public serbe à venir triompher. Rio Tinto a perdu puisque le Serbe n’a pas plié. Et lui, il n’a pas des hommes de main et des gouvernements corrompus à sa botte.