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jules

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Courageusement abrité derrière un pseudonyme choisi, l’auteur cultive un fond de juriste (à la façon d’un fond de veau), relevé de quelques nuages d’économie.
 
En honnête homme, il a perdu la plupart de son latin, mais ne désespère pas d’y revenir un jour. Prompt à l’indignation et aux jugements à l’emporte-pièce lors des dîners de famille, il s’astreint au respect d’une politesse de l’écriture sur le blog dont il est l’unique rédacteur et concepteur (comme en témoigne d’ailleurs, l’austérité graphique) : diner’s room
 
Passant, il s’efforce de soigner l’exposé des arguments auxquels il n’adhère pas et n’hésite pas à faire preuve d’une implacable modération.

Tableau de bord

  • Premier article le 24/01/2006
  • Modérateur depuis le 01/02/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • jules jules 6 février 2006 12:16

    Vous posez une juste question.

    Où est le travail ?

    Le travail est offert par les employeurs, d’une part. Vous pouvez également en trouver en créant une entreprise, d’autre part.

    Il me semble qu’il est un peu injuste de faire peser sur les employeurs un devoir d’offrir de l’emploi. Après tout, rien n’interdit à quiconque de devenir entrepreneur. Si l’on ne choisi pas cette voie, on admet de dépendre des attentes des employeurs et de leurs besoins.

    Sans doute, comme je me suis efforcé de le mentionner, les managers ont tendance à considérer le travail comme une variable d’ajustement. Toutefois, je ne vois pas pourquoi on devrait imposer aux entreprises le devoir de fournir un emploi à ceux qui ne prennent pas ce risque.

    Pardonnez mon ton sans beaucoup de nuance, mais j’ai fort à faire pour maintenir ailleurs un débat sur la liberté d’expression dans des limites décentes.

     smiley



  • jules jules 6 février 2006 11:43

    Personne ne demande à quiconque de vivre selon la Charia.

    Nul ne s’interroge (ou ne devrait s’interroger) sur l’origine des personnes ici. On choit dangereusement vers la pente qui consiste à faire d’une conviction religieuse l’élément d’une identité.

    Je rappelle à ceux qui se prétendent de l’Islam pour opposer Islam et occident qu’ils sont occidentaux (du moins, à ce qu’il m’en semble).

    Je rappelle à ceux qui s’efforcent d’affliger l’Islam de considérations historiques vagues et teintées de xénophobie, que cela n’a rien à voir avec la possibilité de critiquer une croyance.

    A TOUS ; je vous prie de RESPECTER (puisque l’on parle de respect) un minimum le travail dont que je vous ai livré ici, et de ne faire porter ses observations que sur ces questions.

    Si cela vous disconvient, rien ne vous interdit d’aller dispenser vos élucubrations ailleurs.



  • jules jules 6 février 2006 10:50

    Pour information, mon précédent commentaire ne s’adressait pas à Salima qui demandait à ce qu’on la laisse en paix, mais à Moussa (pour ceux qui n’auraient pas lu tout le fil).

    Pour ce qui concerne Salima. Je n’ai pas le sentiment d’avoir troublé votre paix, sauf à estimer qu’un commentaire sur la liberté d’expression participe de ce trouble.

    Cela dit, je m’interroge sur la façon dont vous formulez votre appel. Lorsque vous dites « nous » et « vous », entendez-vous que nos conceptions sur la liberté d’expression doivent varier selon nos allégeances spirituelles ?

    Je ne le crois pas, et vous invite donc, comme les autres commentateurs, à limiter vos commentaires, fussent-ils critiques, à la seule question de la liberté d’expression et de l’offense religieuse, quelque soit votre opinion, d’ailleurs.



  • jules jules 6 février 2006 10:27

    Bon, parlant d’arrogance, je ne vois pas en quoi des fidèles du culte islamique peuvent faire la leçon aux fidèles des autres cultes, mais passons.

    Par ailleurs, personner ne justifie l’insulte par la liberté d’expression. Il s’agit juste de faire valoir que l’on doit, en démocratie souffrir des opinions qui nous heurtent et nous offensent. Ainsi de vos propos qui, j’en suis certain, peuvent en heurter quelques uns doivent être soufferts par eux.

    Par ailleurs ; si les commentateurs veulent bien nous épargner leurs appréciation sur l’Islam, j’en serai très heureux. Ce n’est nullement le sujet de ce billet ; et je ne vois guère en quoi cela devrait appeler commentaire, sauf à ne pas avoir la courtoisie de le lire.



  • jules jules 5 février 2006 14:51

    Un juste rappel. smiley

    L’affaire, du reste, portait sur la possibilité pour la presse de révéler le montant de l’imposition d’un dirigeant de grande société française.


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