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jules

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Courageusement abrité derrière un pseudonyme choisi, l’auteur cultive un fond de juriste (à la façon d’un fond de veau), relevé de quelques nuages d’économie.
 
En honnête homme, il a perdu la plupart de son latin, mais ne désespère pas d’y revenir un jour. Prompt à l’indignation et aux jugements à l’emporte-pièce lors des dîners de famille, il s’astreint au respect d’une politesse de l’écriture sur le blog dont il est l’unique rédacteur et concepteur (comme en témoigne d’ailleurs, l’austérité graphique) : diner’s room
 
Passant, il s’efforce de soigner l’exposé des arguments auxquels il n’adhère pas et n’hésite pas à faire preuve d’une implacable modération.

Tableau de bord

  • Premier article le 24/01/2006
  • Modérateur depuis le 01/02/2006
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Derniers commentaires



  • jules jules 5 février 2006 14:47

    Et bien, le CDD ne peut être rompu unilatéralement, ni par l’employeur, ni par le salarié, sauf l’un (ou l’autre) à s’exposer à une réparation équivalente à la durée du contrat non exécutée. Autremnent dit, l’employeur qui rompt un CDD devra s’acquitter du paiment de l’intégralité des salaires. Le salarié devra indemniser l’employeur pour l’intégralité du travail qui n’a pas étét accompli.

    Le principe est que seul les contrats à durée indéterminée (comme le PCE ou le CNE d’ailleurs) peuvent être rompus unilatéralement.

    Il n’est cependant pas abusif de conclure que le CPE et le CNE ont pour objet d’entamer les acquis du Code du travail. Cela dit. Ces acquis profitent-ils de façon suffisamment générale aux travailleurs pour ne pas s’interroger sur leur vocation à assurer la justice sociale.



  • jules jules 2 février 2006 07:48

    Donc vous suivez partiellement mon analyse, si je vous lis bien ; au moins partiellement, puisque vous jugez que la pratique syndicale ne se présente pas telle que je la décris.

    Une remarque sur laquelle vous pourrez apporter votre éclairage.

    Lorsque vous exposez que le compromis présente une forme de nécessité dans une négociation collective, j’en conviens volontiers.

    Mais il me semble que le compromis n’est que rarement « présenté » en tant que tel comme un succès. Au mieux, on présente comme une « victoire » le fait d’avoir su imposer son point de vue (en n’insistant guère sur les éléments que l’on a pu laisser choir en cours de discussion).

    Aussi bien, ce n’est pas tant la réalité du fonctionnement que j’entends décrire, que « l’esprit » qui anime la définition et la résolution des problèmes collectifs.

    Je ne pose pas du reste comme postulat qu’il n’existe pas de solution idéale. Je suis tout à fait certain qu’il en existe une - c’est la mienne smiley .

    Plus sérieusement, je tiens qu’il existe peut-être, abstraitement, une solution optimale (pour parler comme les économistes). Mais il faut tenir compte et savoir tirer parti des aspirations respectives qui ne sont pas nécessairement scandaleuses.

    Pour une illustration de la question de la coopération en matière économique, je vous invite à vous intéresser à la question du dilemme du prisonnier.


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