• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

julie morange

julie morange

Journaliste. Collaboratrice du Zinc et des Dessous de Bruxelles.

Tableau de bord

  • Premier article le 12/01/2011
  • Modérateur depuis le 08/03/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 8 18 69
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 13 12 1
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique











Derniers commentaires



  • julie morange julie morange 25 octobre 2012 23:42

    Merci ! Les photos sont très bien !



  • julie morange julie morange 24 octobre 2012 18:18

    C’est juste ! Il s’agit d’une erreur, sans doute liée au fait que Warner via Witmark a acheté les droits sur un certain nombre de chansons (qui figurent dans les Witmark demos), ce qui, si j’ai bien compris, a notamment permis à la Warner d’avoir les droits de reproduction sur Blowin’ in the wind.



  • julie morange julie morange 25 juillet 2011 15:26

    Ah ah ! Moi qui pensais qu’un « défaut partiel » allait permettre de mettre à contribution les créanciers privés ?



  • julie morange julie morange 13 mai 2011 11:35

    L’accroissement de la dette est, d’une part, lié à une baisse des recettes de l’État due aux cadeaux fiscaux faits aux entreprises et aux ménages les plus riches, depuis environ un quart de siècle ; tous les gouvernements, quelle que soit leur couleur politique, ont mis en œuvre cette orientation. Ces mesures, promues à l’échelle européenne pour «  stimuler l’offre de travail » et « améliorer la compétitivité des entreprises », ont non seulement entraîné un accroissement considérable des inégalités sociales, mais mis à sec les finances publiques. (Source :Muriel Pucci, Bruno Tinel, « Réduction d’impôts et dette publique : un lien à ne pas occulter », http://www.ofce.sciences-po.fr/pdf/documents/etudes2010/19.pdf.)

    Outre la fiscalité, la privatisation de la création monétaire s’est avérée être une cause importante d’endettement : depuis 1973, suite à une réforme de la Banque de France, l’État est obligé d’emprunter sur les marchés financiers… à des taux incertains. Par ailleurs, lorsque le taux d’intérêt réel des emprunts s’avère supérieur au taux de croissance du PIB (ce qui a été le cas de 1981 à 1995), le poids de la dette dans le PIB augmente mécaniquement (toutes choses égales par ailleurs) : c’est l’effet « boule de neige ». Ainsi, concernant la France, entre 1981 et 2003, plus de la moitié de l’accroissement du ratio dette/PIB est dû à l’effet « boule de neige »1. En l’absence d’effet « boule de neige », le stock de la dette publique aurait été en 2008 de 43,8 % du PIB au lieu de 67,4 % du PIB2.

    http://www.france.attac.org/articles/lunion-europ-enne-genoux-devant-les-march-s



  • julie morange julie morange 13 mai 2011 11:28

    Vous feriez mieux de vous intéresser aux 30 milliards environ (il y a différentes estimations, je vous laisse vous renseigner) de fraudes fiscales des hauts revenus + des grandes entreprises qui savent si bien « optimiser » leur feuille d’impôt...

    Les fraudes sociales, qui font régulièrement les Unes accrocheuses de magazines de qualité possédés par des marchands de canons d’un type pas loin de ce que vous dites : « les sans papiers nous volent, les noirs font des enfants pour toucher des allocs... »

    Eh bien ces fraudes représentent probablement moins d’1 milliard d’euro, elles sont par ailleurs le fait de gens qui n’ont pas des yachts à saint tropez ni de chalet à megève... Mais vous avez raison, c’est tellement plus facile de taper sur les sans papiers.


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv