21 ans Dijonnais né à Toulouse, j’étudie l’innovation à Angers. J’estime n’avoir aucune aptitude particulière si ce n’est mon ouverture d’esprit. Je prend plaisir à mener des réflexions en solitaire ou collectivement sur des sujets de société et c’est sans prétention que je vous en ferais partager certaines. Préférant m’affirmer le plus tôt possible comme citoyen engagé de peur de tomber dans le camp des enragés, je reconnais que tous les points de vue sont à considérer tant qu’ils se montrent respectueux envers ceux des autres. A part ça, j’aime le rap ! J’en écoute (du vrai) et à mes heures perdues en fait (du vrai, du moins je l’espère...). Je finirais ma présentation par le fruit d’une de mes réflexions qui est : « C’est au carrefour des consciences que se trouve la solution, celle du consensus. ». Bonne lecture !
Une vraie supercherie cette émission... Les politiques ont un blason à redorer mais avec des médias aussi exécrables ça va pas être facile...
La pluridisciplinarité et le respect semblent être deux notions bien méconnues pour la plupart.
Quand tu vois que même sur France Info sur 10 minutes d’interview la première question posée à De Villiers c’est :« Vous n’êtes crédité que de 1% dans les sondages, ça s’annonce mal non ? », qu’entre le journaliste ne l’interroge PAS UNE SEULE FOIS sur une question de fond et qu’il conclue par : « Si vous ne pouvez pas vous présenter vous appelez à voter pour Le Pen ou Sarkozy ? », faut bien reconnaitre que ya quand même un problème quelque part non ?
Pour info, je n’ai jamais voté pour l’UDF mais je ne vous cache qu’à ces élections ça risque fort d’être le cas.
Ensuite, comme je l’ai précisé en début d’article j’étais parti avec l’intention de comparer les propositions de Sarkozy avec celles de tous les candidats directs. J’entends par là, tous ceux qui pour moi ont une chance d’arriver au second tour. J’ai ensuite expliqué pourquoi je ne parlerais pas des propositions de Ségolène et de Le Pen. J’admets que mon jugement pour Le Pen est subjectif en revanche ce n’est pas le cas pour Ségolène. J’aurais avec plaisir inclus l’extrême gauche mais cette dernière est tellement dispersée (5 candidats quand même !) que j’ai considéré donc qu’aucun d’entre eux n’est un candidat direct de Sarkozy. Il ne restait donc que Bayrou...
Effectivement, mais le but pour Bayrou n’est pas de faire plaisir à l’entreprise au détriment des autres acteurs de l’économie. C’est pourquoi il propose des mesures qui pour moi répondent davantage à la problématique globale du ralentissement économique de notre société.
Je suis aussi d’accord avec vous sur le fait que ça ne sera pas par l’unique mesure de l’assouplissement des 35 heures vu par Sarkozy que l’embauche sera ralentie et c’est bien pour cela que j’analyse ses autres mesures. Or il apparaît qu’aucune autre mesure ne semble pouvoir compenser la déficience (qui est tout de même réelle) amenée par son assouplissement.
Encore une fois, je suis tout à fait d’accord pour dire que les conséquences ne se mesureront pas par l’effet d’une mesure isolée mais par la cohérence de l’ensemble de toutes les mesures mises en place, c’est pourquoi je laisse le crédit aux candidats de faire d’autres propositions.
Vous faites bien de faire remarquer qu’il y a différents styles de rap mais vous oubliez de parler du tout premier.
En effet, à l’origine le rap avait pour seul but de divertir et il était festif. La recette de Kool Herc (un des pionner du rap) ? Une sono, deux platines voir des MCs ; tout cela mis dans la rue dans l’unique but de s’amuser.
Depuis, maintenant 25 ans il a beaucoup évolué. Du rap déjanté, au rap contestataire en passant par le gangsta est bien d’autre encore, il a épousé bien des formes et endossé bien des costumes. Tellement, qu’il est difficile de parler de rap sans tout amalgamer.
Du rap, il y en a pour tout les goûts et de toutes qualité, du bon, du mauvais et évidemment du très mauvais.
En France (et même aux states), les médias n’ont que relayé le pire (que penser de l’infammente chaîne cablée « zik » ?) et malheureusement, je veux bien croire que dans les cités ce dernier est aimé mais il ne fait que suivre le cours de la société. La solution n’est certainement pas aisée mais elle doit bien exister.
Pourquoi ne pas faire des ateliers rap justement ? Bien entendu, cela est peut-être difficile pour vous de mettre cela en place puisque vous ne semblez pas avoir une très grande culture rapologique. Mais je vous assure que cette formule a déjà marchée. Un dico, de l’inspiration, des mots, voilà l’esprit du vrai rap qui n’est autre qu’une forme évoluée de poésie.
Ce rap existe encore de nos jours même s’il n’est plus très reconnu et pourtant il est aux antipodes du rap qui prône fric et filles faciles.
L’esprit primaire du rap c’est de ne jamais se retourner, toujours aller de l’avant, sans cesse évoluer, se surpasser dépassez les limites de l’imaginable par de nouveaux flows.
La culture hip-hop est riche est recouvre tous domaines de l’art (danse, graphisme, poésie, musique).
Je regrette que cet esprit se perd car il défend des valeurs qui se doivent de perdurer.
Alors non, le rap n’est pas dangereux, il suffit juste de savoir l’utiliser à son avantage.
Vous voyez la chose sous un angle trop mathématique.
La somme des heures non effectuées ne s’accumule pas dans une réserve virtuelle dans laquelle on irait piocher par paquet de 35 heures pour créer de nouveaux postes. Les emplois se créent par besoin dans un système donné (structure, organisation, activité de l’entreprise ect...) mais libre à chaque employeur de faire évoluer ce système pour faire évoluer les besoins. Le tout étant soumis à un champs de contrainte sur lequel le politique peut influer.
« Le travail ne se divise pas, il se multiplie » dixit Bayrou.