Article haineux et de mauvais gout, entièrement à charge contre un certain type de cinéma, que l’auteur ne s’est manifestement pas donné la peine d’étudier 5 minutes...
Certainement et de loin le plus mauvais « article » que j’ai pu lire sur Agora.
Si vous n’aimez pas n’en dégoutez pas les autres... triste sire bas de plafond, vous ne serez satisfait que lorsque le divertissement mou et prévisible aura définitivement éradiqué l’art de nos écrans...
Ca fait plaisir de voir que tout le monde n’a pas oublié cet inconditionnel des rôles de brave type, brave type qu’il etait apparement dans la vie, tenant ça de mes parents qui l’ont cotoyé qques temps sur la fin...
Il me semble que c’etait lui, qui lança l’admirable :
"Un intellectuel assis va moins loin qu’un con qui marche"
Merci à l’auteur pour cette remise à niveau du débat.
Autant cette dame n’a plus rien à faire dans ce ministère, autant il est particulièrement bas et mesquin de s’attaquer à son statut de femme célibataire. Et le fait qu’elle se soit elle-même exposée à la diatribe populaire n’est pas un argument (on tape sur la presse people et on est les premiers à se gargariser sur les derniers potins à propos du bébé de Rachida ? comme c’est intelligent...).
Cela souligne juste que dans notre beau pays il est tellement plus facile de s’attaquer à la vertu d’une femme plutôt qu’a ses idées... on parle d’égalité des sexes mais on voit bien que les vieux reflexes misogynes reprennent facilement le dessus : jamais on entend la moindre critique lorsqu’un politique joue au mâle, alors que l’opinion (de droite comme de gauche) est bien vite scandalisée lorsqu’une femme politique ne rentre pas dans le moule "chaste et discrète mère de famille"...
Dans ma situation de citadin, célibataire, sans famille fixe et salarié la semaine, j’avoue que l’ouverture de certains services (toubibs, alimentations, produits divers, administration) le dimanche améliorerait de beaucoup mon quotidien, mais je dois être un connard de petit merdeux trop gaté...
D’autre part je comprend parfaitement l’argument du pouvoir des patrons sur leurs salariés :
« j’ai travaillé de 10 heures à 19 heures plusieurs dimanches de suite, avec 15 min de pause. Le patron est content, le chiffre grimpe... Mais nos horaires et nos récupérations ne sont pas conformes à la loi, et personne n’ose dire quoi que ce soit, de peur de se faire virer »
Ce qui me gène c’est qu’on considère comme acquis cet état de fait - le patron décide pour son salarié, le salarié n’a aucun recours - alors on légifère pour contrer les conséquences de cet état de fait.
Résultat, on en est réduis à interdire aux gens de travailler le dimanche, pour les proteger.
On se trompe de problème, donc de solution...
Il serait temps de donner de vrais recours aux salariés, des recours qui fonctionnent, de manière juste et équitable, pour en finir avec cette gangrène du système.
Taxez moi d’idéaliste, vous aurez raison, mais ce n’est pas en limitant les libertés à seule fin de protéger les gens qu’on améliorera la vie en société... encore une rustine de fortune sur un pneu complètement moisi…
Pour en revenir au sujet, c’est donc un faux probleme, mais ce sondage sent effectivement la manip’ à plein nez, et il est peu évident qu’autoriser le travail le dimanche rende service à l’économie…
Note : quand je vois le commentaire hautement enrichissant et argumenté du pathétique Emile Red je m’interroge quand à l’utilité des modérateurs de forums...
"L’école maternelle française est réputée dans le monde entier pour son excellence."
premieres nouvelles... sources ?
le reste sent le procès d’intention à plein nez :
"Comme si élever les enfants correctement, les éduquer au mieux ne nécessitait aucune formation et pouvait être confié à n’importe qui."
voilà une interpretation bien particuliere, et exagérée, de la citation en question
"En effet, on peut y lire un immense mépris du travail des femmes dans l’éducation des enfants, l’ignorance des compétences professionnelles que cela nécessite et un dédain inacceptable pour toutes ces femmes"
franchement faut se calmer sur les adjectifs : "immense mépris", "dédain inacceptable"... grossir le trait n’est pas le meilleur moyen de faire passer votre message.