Je me félicite d’avoir lu votre article et toute l’analyse que vous développez.
Si les gens vivent leurs tristes vies de cons dans ces mornes pays de cons, c’est parce qu’ils ont la trouille. Il leur faut la Sécurité, le Confort et la Dignité. Voilà ce que je pensais. Ils n’aiment pas se fatiguer, ils bouffent comme des vaches, ils boivent l’apéro, ils discutent de conneries à perte de vue, ils jouent aux courses, ils s’intéressent au football, ils prennent du bide sans se dégoûter d’eux-mêmes, ils s’en foutent d’être moches répugnants mous dégueulasses pourvu qu’ils aient une cravate, de se faire chier dix heures par jour et toute la semaine et toute la vie pourvu qu’ils aient la paye et le cinoche avec Maimaine le samedi.
En m’invitant à relire Renan, vous m’indiquez (sans surprise) votre idéologie.
« La nature a fait une race d’ouvrier, c’est la race chinoise (...) une race de travailleur de la terre, c’est le nègre (...) une race de maîtres et de soldats, c’est la race européenne. »
Ernest Renan (dans « le Discours sur la nation »)
En ce qui me concerne, je préfère lire et relire, chanter cette France :
Au grand soleil d’été qui courbe la Provence Des genêts de Bretagne aux bruyères d’Ardèche Quelque chose dans l’air a cette transparence Et ce goût du bonheur qui rend ma lèvre sèche Ma France
Cet air de liberté au-delà des frontières Aux peuples étrangers qui donnaient le vertige Et dont vous usurpez aujourd’hui le prestige Elle répond toujours du nom de Robespierre Ma France
En Afghanistan, terre d’Islam, la Burqa n’est pas une mode mais une obligation faite aux femmes.
Par les hommes ... Non par une dictée coranique. D’ailleurs, la plus grande majorité des musulmans ont découvert ce vêtement « vogue » qu’au travers de l’actualité liée à l’Afghanistan.
Mon grand père ne s’est pas battu « pour son colonisateur » ! Et il n’était pas non plus soumis à ce dernier ! Bien avant qu’il ne s’engage à lutter contre le nazisme, il a séjourné dans les prisons coloniales pour son militantisme politique et ses fils reprendront la flamme quelques années plus tard. Et ce n’est pas du n’importe quoi !