• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

karpediem

karpediem

Enseignant puis chef d'établissement de l'Education Nationale en RP ... désormais handicapé lourd (i.e. 18 années de tétraplégie ) et provincial vous découvrez un gentilhomme et un dirigeant politico-associatif sans illusion.
Un peu "Vieille France Humaniste" mais bel et bien ancré dans notre XXI° siècle pour faire entendre la voix des sans voix — l'auteur, aujourd'hui investi dans l'associatif et le bénévolat — s'essaie, entre deux interventions, à qques remarques sur vos articles, ainsi qu'à qques réflexions éthiques, sociétales et politiques des plus basics.
Il vous remercie pour votre indulgence.

Tableau de bord

  • Premier article le 02/03/2007
  • Modérateur depuis le 14/08/2009
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 4 94 51
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique







Derniers commentaires



  • karpediem karpediem 5 mars 2008 20:51

     

     

    @ l’auteur et @ l’adepte

    Ce 734e numéro d’Historia, en dépit des nombreuses informations intéressantes, enrichissantes, qu’il recèle (…/…), bien loin de lever quelques-unes des idées reçues sur le prophète, semble, au contraire, s’attacher à les entretenir. Particulièrement, trois d’entre elles, que nous allons nous efforcer de décortiquer.

     et beh ... ?

    Une idée en matière de méthodologie : je conseille à mes étudiants de ne recopier "au propre" leur introduction qu’en toute fin de devoir. Ainsi s’ils ont perdu leur fil, sont sortis des énoncés, ont zappé des éléments du sujet ou n’ont pas le temps de finir ... il leur devient plus aisé de retravailler leur entrée en matière (énoncé du sujet = thème > thèses > problématique ->> annonce du plan ...) et de modifier leurs annonces. Argumentaire à l’appui. Mais ca n’a rien de "doctoral" !!!

     

     

     



  • karpediem karpediem 1er mars 2008 16:56

     en matière d’économies et de trafics sur la viande = "la remballe" = voilà qque chose de très édifiant encore .... et qu’on ne doit pas trouver que dans ces enseignes discount hélas 

     

     



  • karpediem karpediem 27 février 2008 23:30

    Ah ... j’y suis parvenu  .../... POUR COMPLETER : 

    Marine LAMOUREUX pour la-croix.com de ce 27 février

    Les maires s’inquiètent pour les plus fragiles


    Dans un sondage exclusif, réalisé quelques jours avant les municipales pour le Secours catholique et "La Croix", les élus se montrent pessimistes en matière d’exclusion
     
    C’est la troisième fois que le Secours catholique, avec La Croix, se saisit des municipales pour sensibiliser l’opinion et les élus aux questions d’exclusion. « Dans ces élections, le thème de la solidarité est souvent mis à la marge, on ne s’y réfère pas de façon spontanée », regrette Gilbert Lagouanelle, l’un de ses responsables.

    Comme en 1995 et en 2001, l’association vient donc de lancer une campagne auprès du grand public, en diffusant des affiches aux formules chocs (comme « Il arrive qu’on puisse mieux nourrir ses angoisses que ses enfants ») et en s’appuyant sur un sondage de TNS-Sofres réalisé auprès des maires, dont La Croix publie mercredi 27 février les résultats en exclusivité (Pour consulter l’intégralité du sondage, cliquez ici).

    « Le grand enseignement de ce sondage, c’est la dégradation de la perception des maires sur ces sujets, en particulier depuis 2001 », note Carine Marcé, directrice associée de TNS-Sofres. Pour 11 % des élus interrogés, « les personnes en situation de pauvreté et d’exclusion » sont en « grand nombre », alors qu’ils étaient seulement 5 % à le penser avant les dernières municipales (8 % en 1995). En outre, les maires sont 51 % à estimer que ces publics sont plus nombreux qu’avant, contre 31 % convaincus qu’ils le sont moins (18 % se disent « sans opinion »).

    À y regarder de plus près, ces chiffres grimpent chez les élus des plus grandes communes (10 000 habitants et plus) : 46 % d’entre eux estiment ainsi que les pauvres sont en « très grand » ou « assez » grand nombre et 79 % qu’ils sont plus nombreux que par le passé. « Dans les petites villes rurales, de moins de 2 000 habitants, la pauvreté est en effet moins visible, notamment parce que les réseaux de solidarité fonctionnent mieux », décrypte Carine Marcé.
     
    Une plus grande attention aux personnes âgées
    D’après les maires interrogés, les trois publics ayant « le plus de difficultés » sont, comme en 2001, les « jeunes sans emploi », les « femmes seules avec des enfants » et les « chômeurs de longue durée ». Il y a sept ans, toutefois, ils étaient beaucoup plus nombreux à citer cette dernière catégorie (60 % contre 44 % aujourd’hui), signe d’une certaine baisse du chômage, selon le Secours catholique.

    Ils sont en revanche beaucoup plus nombreux à s’inquiéter du sort des personnes âgées qu’en 2001 (37 % des élus interrogés les citent contre seulement 18 % à l’époque), « mais il ne faut pas forcément en conclure que la situation de ces personnes s’est dégradée », relève Carine Marcé. Elle y voit plutôt le signe d’une plus grande attention à leur égard depuis la canicule de 2003.

    En revanche, les élus locaux sont nombreux (43 %) à juger que la situation des « jeunes ayant un emploi précaire » et des « femmes seules avec des enfants » s’est bien « dégradée ». Gilbert Lagouanelle n’en est pas étonné. D’une part, parce qu’il note « un glissement récent du débat sur le chômage vers celui de la précarisation du marché du travail » ; d’autre part, parce que les dernières études du Secours catholique vont dans le même sens, montrant une réelle « féminisation de la pauvreté », avec des familles monoparentales toujours plus nombreuses.
     
    Forte "prise de conscience" en matière de logement
    Disposant d’outils pour venir en aide à tous ces publics, les maires estiment que leur commune a fait des « efforts importants » dans quatre secteurs en particulier : les services d’aide à domicile, l’aide aux impayés (loyer, eau, électricité…), le soutien scolaire aux enfants et l’aide au logement.

    Dans ce dernier domaine, les élus font montre d’une forte « prise de conscience », selon Carine Marcé. Aux grands maux, les grands remèdes : en comparaison avec 1995, les maires sont plus enclins à adopter des mesures fortes, comme « la réquisition de logements vides pour les sans-abri » (62 % y sont favorables aujourd’hui contre 45 % il y a treize ans) ou « la garantie de relogement par la commune des familles expulsées » (65 % contre 50 %). Ils sont en revanche majoritairement réticents (59 %) à l’hébergement sur leur territoire de gens du voyage.

    Autre enseignement, auquel la Fondation Abbé-Pierre sera attentive : 81 % des élus se disent « favorables » à la « construction de logements sociaux dans leur commune ». Quels sont donc les freins, selon eux ? Pour 47 %, « l’augmentation des coûts de construction » et du foncier, pour 43 %, « le manque d’engagement de l’État ».

    35 % citent « le manque de terrains disponibles » ou encore « l’image négative des logements sociaux auprès de la population » (30 %). 11 % seulement estiment que la loi SRU (qui oblige les communes à construire des logements sociaux) n’est pas assez incitative.
     
     Marine LAMOUREUX in la-croix.com de ce 27 février 
     

     



  • karpediem karpediem 27 février 2008 23:17

    @ judel.66 encore

    Rebonsoir à vous comme à chacun ;

    heureusement que tous les maires ne fonctionnent pas ainsi. Aujourd’hui, sur le site de la-croix.com un bon article (que l’on ne peut coller hélas) relève leur intérêt de plus en plus grand vis à vis d’une pauvreté de plus en plus massive. Avec deux points forts ( logement & personnes âgées ) . C’est un soulagement !

    http://www.la-croix.com/article/index.jsp?docId=2330124&rubId=788 

     

     



  • karpediem karpediem 27 février 2008 22:33

    @ Marc Bruxman

    Selon LE PARISIEN, le maire actuel (sortant) de Taverny (95) est Mr BOSCAVERT Maurice , « Divers Gauche », 65 ans, enseignant de français et d’histoire-géographie. Elu depuis 1989 & conseiller général du Val d’Oise depuis 1988.

    Quelle tristesse en effet … quel gâchis !

     

     

Voir tous ses commentaires (20 par page)

LES THEMES DE L'AUTEUR

Religions Tribune Libre Citoyenneté Handicap

Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv