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Pingouin094

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Mes engagements militants :
  • Militant CGT Cheminot,
  • Militant PCF,
  • Militant de la cause palestinienne

Tableau de bord

  • Premier article le 18/10/2011
  • Modérateur depuis le 11/01/2012
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Derniers commentaires



  • Pingouin094 Pingouin094 30 mars 2016 10:54

    Merci pour ce lien, très utile.

    Je note au passage que la compensation du régime SNCF est quasi nulle, faux débat.

    Sans parler de la légitimité du système de compensation, l’exemple le plus flagrant étant les agriculteurs. Avec la baisse très importante du nombre d’agriculteur, il est évident que les agriculteurs actifs d’aujourd’hui ne peuvent à eux seuls financer les retraites des agriculteurs d’hier.



  • Pingouin094 Pingouin094 30 mars 2016 10:18

    @Alpo47 : Avant de demander aux cheminots d’être au courant de ce qui se passe dans le reste de la société, commencez déjà par savoir ce qui se passe à la SNCF.

    Donc effectivement, les cheminots ont le droit de partir à la retraite à 57 ans, ou 52 ans pour les conducteurs (et non 50 comme vous l’indiquez à tord). Mais ce droit n’est que très théorique, puisque, comme les salariés du privés, ils doivent cotiser 42 ans pour avoir droit à une retraite à taux plein. Comme tous les autres salariés, les cheminots sont soumis à une décote s’ils ne cotisent pas 42 ans. Donc, à moins d’avoir commencé à travailler à 15 ans, les cheminots ne partent pas à la retraite à 57 ans avec une retraite à taux plein. Plus encore, beaucoup de cheminots (comme moi) on commencé à travailler dans le privé ; ils ont donc cotisé plusieurs années au régime général avant de cotiser au régime de la SNCF... Le résultat se fera sentir (en négatif) à l’arrivée...

    Par ailleurs, il est entièrement faux de dire que les cotisations de retraites du privé finance celle de la SNCF (qui n’est pas la même chose que le public). La Caisse de Prévoyance et de Retraite de la SNCF est un organisme indépendant... IL n’y a pas de lien entre les deux.

    Enfin, de plus en plus de cheminots démissionnent, car les conditions de travail se révèlent souvent meilleur dans le privé, notamment avec des salaires largement supérieurs. C’est un phénomène qui commence à inquiéter la direction de l’entreprise. De même que le régime spécial de retraite ressemble de plus en plus à un « fil à la patte » pour les cheminots, compliquant la démission pour aller dans le privé (il faut racheter les années de cotisations retraites), plus qu’à un avantage....




  • Pingouin094 Pingouin094 29 mars 2016 17:40

    Le problème avec Vladimir Poutine n’est pas ce qu’il compte faire aux terroristes. Dans son langage imagé qu’on lui connaît, la réponse est clair : « les buter, jusque dans les chiottes », et tant pis pour le droit à un procès équitable, la lutte contre la peine de mort, etc...

    Le problème, c’est sa définition du terroriste : tout ce qui s’oppose à lui ou à ses amis dictateurs : les monstres de Daech, mais aussi les islamistes nationaux syriens, voir même les rares démocrates syriens, il bombarde tout de manière indiscriminé. Sans parler des indépendantistes tchétchènes ou d’autres républiques du caaucase...



  • Pingouin094 Pingouin094 14 octobre 2015 15:02

    C’est quoi cet article ? Il n’y a rien dedans.

    Aucune analyse de l’annexion russe de la Crimée, des interventions militaires russes en Ukraine ou en Syrie, dont il faudrait discuter.

    Aucune analyse du régime politique russe, où il y’aurait quand même beaucoup à redire.

    Et je ne parle même pas de l’impérialisme russe en Tchetchenie, en Georgie et dans d’autres micro-républiques à ses frontières, plus ou moins indépendantes, plus ou moins autoproclammée dont le lecteur peu averti que je suis sur la russie a souvenir d’avoir entendu parler, mais sans se rappeler les détails. Mais l’auteur n’en est visiblement même pas là.

    Sans compter la manière dont poutine va « butter jusque dans les chiottes » les différents mouvements indépendantises aux marges de son Empire, surtout quand ils sont musulmans ; c’est plus facile de les repeindre en terroristes.

    Bref, il y’aurait un vrai article de fond à faire sur la Russie, car quelque chose se joue effectivement. Pendant prêt de 25 ans, les USA ont été une hyperpuissance dans un monde unipolaire. Progressivement, la Russie est passé de pays en voie de développement à puissance - et impérialisme - régionale.
    Depuis un ou deux ans, la russie s’annonce désormais comme de nouveau une hyperpuissance au niveau mondiale.

    Le monde devient chaque jour de moins en moins unipolaire sous la coupe des USA, mais multipolaire avec un fort pôle russe. On pourrait s’en réjouir.

    Sauf que le nouvel impérialisme russe risque en réalité de ne pas être tellement meilleur que le vieil impérialisme américian. Deux impérialismes qui s’affrontent valent-ils mieux qu’un seul qui opprime seul ? Avons nous vraiment à faire un choix entre ces deux maux ?

    Voilà l’article qu’il aurait fallu écrire.



  • Pingouin094 Pingouin094 6 octobre 2015 13:08

    Quel bel article de propagande ! Vous êtes employés à plein temps par l’ambassade de Russie, ou bien c’est seulement une pige ?

    Dans quel monde absurde sommes-nous tombé, où devant le besoin de dénigrer « l’Empire », les occidentaux, les USA, l’UE... tous ceux qui s’opposent à lui deviennent automatiquement des chevaliers blancs et des parangons de vertus.
    Les USA sont une puissance impérialiste, ils agissent en Syrie au nom de leurs propres intérêts, c’est entendu. Mais la Russie est aussi une puissance impérialiste, qui agit aussi au nom de ses propres intérêts.

    En l’occurence, Vladimir Poutine, Président relativement autocratique de la Russie est persuadé que la meilleure manière d’étouffer dans l’oeuvre tout mouvement de contestation chez lui, est de faire échouer toute volonté émancipatrice ailleurs. Les printemps arabes furent un très mauvais exemple, la Syrie fut le parfait endroit pour l’arrêter.

    Avant que Daech ne commence à exister, avant même que le Front Al-Nosra ne fasse parler de lui, à l’époque où les rebelles étaient encore en grande majorité démocratique et laïc (et certes fortement influencé mais bien faiblement soutenu matériellement par par les puissances occidentales), Vladimir Poutine soutenait déjà à bout de bras la Russie.
    C’est le soutien militaire Russe qui a permis à l’armée régulière syrienne de ne pas s’effondrer, de tenir malgré les désertions importantes dans ses rangs pour fonder l’Armée Syrienne Libre. C’est le soutien militaire russe, allié à la passivité occidentale, qui a permis à l’armée régulière syrienne de l’emporter sur l’armée syrienne libre.

    Et puis, Vladimir Poutine a appliqué son « Plan Comm » déjà éprouvé en Tchetchenie. Les rebelles indépendantistes sont des « terroristes ». On extermine d’abord les plus démocratique et les plus laïque, comme ça il ne reste que les intégristes musulmans qu’on présente à l’occident pour dire qu’on lutte comme eux contre le terrorisme mondial islamique. Et ça marche.

    C’est un fait aujourd’hui, cette opposition démocratique et laïque n’existe plus guère sur le terrain et plus qu’en exil dans les puissances occidentales et ne représente plus rien en Syrie. C’est aussi un fait qu’elle représentait quelque chose, mais qu’elle a été écrasée dans le sang par l’armée syrienne et le soutien de la Russie ;

    Hélas, ce magnifique plan russe a échoué. Les rebelles démocratiques échouant, ils ont été remplacés par des rebelles intégristes, le Front Al-Nosra lié à Al Quaeda notamment. Les occidentaux sont encore restés passifs pour ne pas froisser leurs alliés intégristes comme l’Arabie Saoudite, le Qatar et j’en passe.

    Et puis, ces intégristes là on finit par se faire doubler sur leur droite par encore plus intégriste qu’eux, Daech.

    Et là, Vladimir Poutine a un problème. Daech ça marche, ça s’exporte bien, très bien même chez tous les rebelles musulmans du monde. Même les intégristes du Hamas et du Jihad Islamique commencent à être menacé par l’émergeance d’un Daech palestinien.... C’est dire.
    Et Poutine n’est pas en manque de rebellions musulmanes potentielles dans son pays. Il n’a pas du tout, mais pas du tout envie de voir la marque Daech s’exporter dans les marches de l’Empire Russe, en Tchetchenie, dans le caucase et j’en passe.
    Alors, il intervient.

    On notera cependant que Poutine ne frappe pas que Daech. Il frappe tout le monde. Les jihadistes internationalistes de Daech, les jihadistes « nationaux » du Front Al-Nosra, les rebelles de l’Armée Syrienne Libre...

    Pas de quoi applaudir Poutine, non, vraiment non. 

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