A Abraxas : Tout d’abord, je ne suis pas antisémite, car les juifs ne sont pas une race
Cet argument-là, vous pouvez le laisser tomber car de toute façon les races n’existent pas (déjà débattu ailleurs ; les races ne désignent que des étiquetages arbitraires selon des critères subjectifs). Mais le racisme, lui, existe bel et bien. Le mot « antisémite » désigne l’attitude raciste envers un peuple particulier, à la fois du fait de la religion d’une partie de ses membres et du fait de ses origines. La notion de peuple élu est évidemment une foutaise, mais cela n’empêche nullement l’attitude raciste envers tous ceux, en bloc, qui sont issus de ce peuple. Je ne commente pas le reste de votre réponse, que je sois ou pas d’accord personnellement avec vous (il me faudrait prendre le temps d’analyser en détail vos différents posts). Mon intervention n’est faite que pour corriger une erreur flagrante, le reste n’étant que questions d’opinions.
Ne vous formalisez pas trop pour les réponses de Bernard, c’est un récidiviste du détournement de sens des valeurs et des mots. Son objectif est de légitimer la quenelle (cet aveu d’impuissance puisqu’une quenelle, c’est petit et tout mou, et qu’en outre le geste pendouille dans les godasses). Il en dit d’ailleurs qu’il s’agirait d’un geste humaniste et non violent (autres détournements des valeurs et du sens des mots). Pour cela, il n’hésite pas à qualifier d’antisémites ceux qui condamnent le geste de Dieudonné, de la même façon que les racistes qualifient de racisme la lutte contre le racisme. J’attends toujours qu’il nous fasse part de sa profonde réprobation face aux gugusses qui croient malin de faire des quenelles devant des sites de mémoire. Mais je pense qu’il va falloir être très patient, car il lui déplairait d’être boudé par ses potes de la fachosphère.
Il y a manifestement des choses qui fonctionnent bizarrement dans votre tête. L’inversion permanente des valeurs et du sens des mots en est une manifestation flagrante. Si chaque fois qu’on vous dit blanc vous vous obstinez à comprendre noir, si par ailleurs vous persistez à nier contre toute évidence vos propres écrits, toute conversation avec vous doit rapidement tourner au surréalisme le plus total.
Bon, on va commencer par faire simple : condamnez-vous fermement toute quenelle ouvertement antisémite, par exemple faite sur un lieu de mémoire de la Shoah, ou devant un établissement juif, comme ce fut le cas de l’école où Mérah a assassiné des mômes ? Ou persisterez-vous à proclamer haut et fort que même dans ces cas-là la quenelle est un parangon d’humanisme et de non violence ? Êtes-vous capable de faire une différence entre une quenelle façon Anelka - geste plus stupide que politique - et les quenelles des individus qui proclament ainsi leur antisémitisme et diffusent les photos de leurs « exploits » sur Internet.
La réponse à ces questions permettrait de faire un peu de tri dans la confusion de vos écrits.
Il y a manifestement des choses qui fonctionnent bizarrement dans votre tête. L’inversion permanente des valeurs et du sens des mots en est une manifestation flagrante. Si chaque fois qu’on vous dit blanc vous vous obstinez à comprendre noir, si par ailleurs vous persistez à nier contre toute évidence vos propres écrits, toute conversation avec vous doit rapidement tourner au surréalisme le plus total.
Bon, on va commencer par faire simple : condamnez-vous fermement toute quenelle ouvertement antisémite, par exemple faite sur un lieu de mémoire de la Shoah, ou devant un établissement juif, comme ce fut le cas de l’école où Mérah a assassiné des mômes ? Ou persisterez-vous à proclamer haut et fort que même dans ces cas-là la quenelle est un parangon d’humanisme et de non violence ? Êtes-vous capable de faire une différence entre une quenelle façon Anelka - geste plus stupide que politique - et les quenelles des individus qui proclament ainsi leur antisémitisme et diffusent les photos de leurs « exploits » sur Internet.
La réponse à ces questions permettrait de faire un peu de tri dans la confusion de vos écrits.