Ce n’est pas le propos de l’article, qui ne dénonce pas des causes
EXTERNES aux failles humaines, mais des failles qui sont propres à
l’être humain si peu lucide sur lui-même et ses motivations.
Il
faut un parcours personnel pour en arriver là où l’auteur en est arrivé,
qui passe par une meilleure connaissance de soi et de son inconscient,
que ce soit par un chemin de spiritualité (pas mon cas) ou bien
thérapeuthique (c’est mon cas) et il existe d’autres voies. Ca n’a rien à
voir avec la société de consommation ou je ne sais quoi d’externe. En ce qui me concerne, je m’aperçois qu’il y a encore bien des aspects sur lesquels je dois d’ailleurs travailler.
Merci de ce cadeau de fin (ou de début !) d’année.
Sérieusement, on se croirait dans les siècles passés, quand tous les allumeurs de réverbères ont été mis au chômage par l’invention de l’électricité.
Allo ? Si Amazon emporte autant l’adhésion, c’est aussi par l’excellente qualité de son service, y compris après-vente, en plus d’être compétitif sur le prix. Et cette qualité là, je ne la retrouve pas en France dans la majorité des enseignes, je suis désolé.
Moralité, au lieu de chialer sur le fait que les gens vont naturellement vers un service excellent et coutant moins cher, posez-vous plutôt la question de ce qui permet à Amazon d’offrir un tel service et copiez-le, au lieu de rester dans un schéma voué à l’échec dans un paradigme de mondialisation. C’est d’ailleurs précisément ce dernier qui est le vrai sujet de discussion, pas la réussite quand même méritée d’amazon.
l’interventionnisme étatique dérégule le marché et crèe la pénurie
C’est vrai que la crise de 2008 prend racine dans un interventionnisme d’état excessif dans les affaires financières. Non mais il se fout de la gueule de qui, l’auteur, là ?