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lahalle

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  • Premier article le 13/08/2013
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Derniers commentaires



  • lahalle 7 février 2012 12:02

    "...Quoiqu’il en soit, si la Présidente du Front National devait être absente le 22 avril prochain, la démocratie serait une fois de plus bafouée..."
    Et vouloir passer outre une loi républicaine en exercice sous la pression d’une minorité ça s’appelle comment ????



  • lahalle 6 février 2012 16:03

    Lors de l’élection présidentielle de 2002, il y avait deux candidats d’extrême-droite (Megret et Le Pen) ; plus d’un millier de citoyens élus avaient donc accepté de présenter ces deux candidats. Aujourd’hui, Mme Le Pen et les zélateurs du front national, après avoir crié partout que l’acceptation de leur idées progressait dans toutes les classes de la société, déplorent le fait de ne pas recueillir les 500 présentations nécessaires à la candidature suprême...
    J’aimerai comprendre...
    -La « pression aux subventions » sur les maires sans étiquettes... ? Foutaises... Si les subventions étaient accordées au prorata des prises de positions des élus communaux, alors un maire d’une couleur politique rivale de celle de son conseil général verrait sa commune crever la gueule ouverte depuis déjà longtemps...
    -L’influence des communautés de communes... ? Bof... Ce sont justement les maires sans étiquettes qui feront la différence lors du vote du Président, souvent serré ; alors il vaudrait mieux les choyer que les rudoyer....
    Tout cela n’est que l’écran de fumée habituel que délivre le front national avant chaque élection...
    Bref de la communication...
    Mais les communicants du front national devraient tout de même faire un peu attention à ce qu’ils racontent...
    Un récent sondage (à prendre pour ce qu’il vaut) émet déjà l’idée que si Mme Le Pen devait renoncer à sa candidature un grand nombre de ses électeurs potentiels se tournerait vers Sarkozy... Ce qui, au-delà, de la versatilité de son électorat, exprime une totale négation des positions qu’elle à jusqu’ici développées...
    Mais surtout, depuis le « buzz » provoqué par cette annonce, comment, Mme Le Pen, qui possède, bien évidemment ces 500 signatures, va-t-elle pouvoir justifier leur obtention, le jour où elle les déposera, radieuse, (ou du moins je l’imagine) au Conseil Constitutionnel ????
    Ses futurs potentiels électeurs n’auront-ils pas le droit (ou sinon le devoir, puisqu’ils se disent tous des parangons de démocratie) de se poser la légitime question suivante :
    -Par quelle sombre magouille, un parti qui disait ne posséder que 390 présentations d’élus le 1er février 2012 peut-il en présenter 500 le 16 mars ???? Quel a été l’événement déclencheur, à quelles sombres compromissions est-il dû ???? Bref.... Qui manipule Marine le Pen et ses électeurs ???



  • lahalle 4 février 2012 00:36

    Tout d’abord, j’estime normal qu’un élu encarté politiquement opte pour la présentation (car juridiquement c’est bien de présentation dont il s’agît et non pas de parrainage) du candidat de son parti... Cela fait parti du jeu politique et on ne peut pas reprocher à un maire socialiste, par exemple, de donner sa caution à F. Hollande (même s’il sait que celui-ci obtiendra bien plus de 500 présentations) et partant de la refuser à d’autres candidats...
    Pour ce qui est des élus « sans étiquette », souvent des maires de petites communes, je pense que le problème de la pression aux subventions est plus qu’exagéré. Si le dossier est correctement monté, et que la subvention prévue est régulière, il est très difficile à un organisme quelconque de s’y opposer. Si c’était exact, un maire communiste, par exemple, ne devrait toucher aucune subvention d’un conseil général de droite.... C’est tout de même un peu gros... D’autant que les maires ont, eux aussi, de gros moyens de pression (élections cantonales et aux communautés de communes ...)
    Ce qui est assez marrant, comme l’explique bien arobase, c’est que ce sont toujours les mêmes qui crient au scandale et, bien entendu, trois mois avant les élections présidentielles, alors que durant les 4ans et 9 mois précédents...silence radio... Cela ressemble assez à de l’enfumage, d’autant que si l’on considère, par exemple, les présidentielles 2002, il y avait 2 candidats d’extrême-droite présents au 1er tour (Mégret et Le Pen) et 1000 élus avaient donc accepté de les présenter. 10 ans plus tard, le FN, en plein essor, selon ses dirigeants, peinerait à en rallier 500... Foutaises....
    Je suis absolument opposé à l’anonymat, car il s’agit bien d’une présentation qui engage pleinement son auteur vis-à-vis de ses électeurs et je veux connaître, au même titre que les délibérations du conseil municipal sont publiques, les décisions prises par la municipalité et son maire.
    La condition des 500 présentations ne date pas d’hier, elle a été instaurée (il n’y avait que 100 signatures nécessaires au début) pour éviter les candidatures fantaisistes mais également pour éviter que l’élection présidentielle ne se transforme en une tribune pour des partis qui ne visent en elle qu’ une publicité... Imaginons demain un parti salafiste qui aurait la sharia pour programme... On a pas fini d’entendre ceux qui donnent de grandes leçons de démocratie aujourd’hui et réclament la suppression de ce garde-fou républicain demander son application stricto-sensu...
    On nous présente le front national comme un parti qui représente 20% de la population. Ils sont ou les 20%.... ??? Dans les sondages... Pas un député, pas un sénateur et deux conseillers généraux... Mais 20%, peut-être, dans les sondages... Les maires « sans étiquette » sont, sans doute, à l’image de la population, les sondages, ils s’en foutent, mais ils sont plus de 80% à ne pas supporter le front national ses dirigeants et ses électeurs... C’est plus certainement la raison de leur grande réserve quant à la candidature de Mme Le Pen...

    Pour clore définitivement ce débat sur ce « scandale démocratique », ne serait-il pas plus intelligent de supprimer ces présentations en supprimant tout simplement l’élection présidentielle et en élaborant une véritable république parlementaire... Comme nos amis allemands par exemple (C’est marrant d’ailleurs que Sarkozy ne cite jamais cet exemple)... Je m’étonnerai toujours que les français aient raccourci un roi en 1793 et se battent au XXIeme siécle pour en élire un tous les cinq ans....



  • lahalle 20 janvier 2012 19:48

    Ah qu’il est beau le peuple autoproclamé qui confond tout et qui veut « la victoire du peuple de France dans son entier »... en « envisageant des assises nationales d’une révolution citoyenne » mais « sans les gauchistes »...
    Expliquer la réussite de la révolte islandaise (encore qu’ils n’aient pas définitivement le cul sorti des ronces) par sa seule souveraineté monétaire me semble un peu court... La principale explication résiderait plutôt dans le fait qu’à 320 000, il est plus facile de se mobiliser qu’à 65 millions et aussi que là-bas, il n’existe pas de parti post-fachiste, raciste et sectaire et, partant, que leur truc, ils l’ont fait ensemble... Y compris les gauchos...
    Pour le reste, il semblerait, au vu de son programme que Mme Le Pen ferait, effectivement, un usage plus que substantiel du referendum, durant son mandat si, bien sûr, elle arrivait à franchir le second tour de l’élection présidentielle ET que le front national fasse élire 289 miraculés aux élections législatives 2012...
    Ce seraient en effet une petite dizaine de referenda issus de la volonté présidentielle qui seraient proposés aux français... (mandat présidentiel à 7ans, obligation du referendum pour modifier la constitution, statut des DOM-TOM, inscription dans la constitution du referendum d’initiative populaire, inscription dans la constitution de la non-reconnaissance des communautés, remise en cause du TCE, sortie probable de l« euro, peine de mort...)
    Il faudrait y ajouter, sans doute, sur la mandature, si la France n’a pas été éjectée de la CEE quelques autres pour avaliser de nouveaux entrants dans l’UE (Croatie, Macédoine, Montenegro, Turquie et accrochez- vous.... Islande...)
    Il y aura, bien entendu les élections traditionnelles (à moins que pour d’évidentes raisons de démocratie et d’économie la future potentielle guide suprême décide d’y renoncer)...

    Ce qui, en gros, amènerait les français à se rendre aux urnes une vingtaine de fois en 5ans... C’est un truc qui risque de finir avec 20 pour cent de votants... Mais après tout ne serait-ce pas le but recherché ?????
    Car, en glissant deux ou trois referenda d’initiative populaire (qui n’ont de populaire que le nom, puisque seuls les partis politiques ont les structures, les moyens et le personnel pour les organiser) dans le lot ; on finira par arriver à faire passer n’importe quoi faute de votants... En Suisse »royaume" de la votation, le nombre de votants dépasse rarement 50%... Et vous appelez ça de la démocratie...
    Il existerait bien une solution pour réduire cette inflation référendaire, ce serait de désigner une assemblée constituante qui rédigerait une nouvelle constitution... Mais ça c’est une idée de gaucho, puisque seuls la défendent Montebourg et Mélenchon...



  • lahalle 16 janvier 2012 19:15

    Hola... Un connaisseur.
    La Charte d’Amiens consacrerait ’« la suprématie des réformistes »... qui aurait été une des tendances de la CGT...
    Je comprends que vous ayez intitulé votre article « le mystère des syndicats » ; car leur histoire semble bien en être un pour vous...
    Avez-vous seulement lu la Charte d’Amiens ???? Non, alors la voici :

    « La CGT groupe, en dehors de toute école politique, tous les travailleurs conscients de la lutte à mener pour la disparition du salariat et du patronat ».Le Congrès considère que cette déclaration est une reconnaissance de la lutte de classe, qui oppose sur le terrain économique les travailleurs en révolte contre toutes les formes d’exploitation et d’oppression, tant matérielles que morales, mises en œuvre par la classe capitaliste contre la classe ouvrière. Le Congrès précise, par les points suivants, cette affirmation théorique : dans l’œuvre revendicatrice quotidienne, le syndicalisme poursuit la coordination des efforts ouvriers, l’accroissement du mieux-être des travailleurs par la réalisation d’améliorations immédiates, telles que la diminution des heures de travail, l’augmentation des salaires, etc. Mais cette besogne n’est qu’un côté de l’œuvre du syndicalisme : d’une part il prépare l’émancipation intégrale, qui ne peut se réaliser que par l’expropriation capitaliste, et d’autre part, il préconise comme moyen d’action la grève générale et il considère que le syndicat, aujourd’hui groupement de résistance, sera, dans l’avenir, le groupe de production et de répartition, base de réorganisation sociale.Le Congrès déclare que cette double besogne, quotidienne et d’avenir, découle de la situation des salariés qui pèse sur la classe ouvrière et qui fait, à tous les travailleurs, quelles que soient leurs opinions ou leurs tendances politiques ou philosophiques, un devoir d’appartenir au groupement essentiel qu’est le syndicat.Comme conséquence, en ce qui concerne les individus, le Congrès affirme l’entière liberté pour le syndiqué, de participer, en dehors du groupement corporatif, à telles formes de lutte correspondant à sa conception philosophique ou politique, se bornant à lui demander, en réciprocité, de ne pas introduire dans le syndicat les opinions qu’il professe au dehors. En ce qui concerne les organisations, le Congrès déclare qu’afin que le syndicalisme atteigne son maximum d’effet, l’action économique doit s’exercer directement contre le patronat, les organisations confédérées n’ayant pas, en tant que groupements syndicaux, à se préoccuper des partis et des sectes qui, en dehors et à côté, peuvent poursuivre en toute liberté la transformation sociale ».

    Si vous l’aviez lu, vous auriez sûrement remarqué la phrase que j’ai soulignée et qui avait pour vocation de séparer activité politique et activité syndicale. C’est cette motion qui a été plébiscitée au détriment de la motion dite « Guesdiste » qui voulait associer le combat syndical et les activités politiques socialistes...

    Cette motion représente la victoire de... l’anarcho-syndicalisme... C’est à dire d’un syndicalisme « qui place le syndicat comme forme naturelle d’organisation des classes ouvrière et paysanne, et refuse le principe de parti unique comme vecteur politique de la transformation sociétale ».

    Le terme a été depuis pas mal galvaudé et on confond volontiers ( et volontairement ?) anarcho-syndicalisme et syndicalisme se revendiquant du milieu anarchiste

    Quand au « courant réformiste » s’il en existait un, ce n’est pas au sein de la CGT de l’époque qu’il faut le chercher, mais plutôt dans les rares syndicats chrétiens créés suite à l’encyclique « Rerum Novarum » du pape Leon XIII en 1891...

    Je vous laisse la responsabilité de vos propos quant à l’attentisme des syndicalistes durant la seconde guerre mondiale... Je suis sûr, qu’entre beaucoup d’autres, les descendants des cheminots cégétistes sauront les apprécier à leur juste valeur... Je vous signale, cependant, qu’avant les lois Sarkozistes, un syndicat ne pouvait être déclaré représentatif que s’il avait eu une attitude correcte durant l’occupation...

    .

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