Pour ceux qui s’intéressent au Venezuela, bien qu’Européens, un correspondant vient de me faire connaître le site : « romainmigus.info ». Il y a notamment un article sur la démocratie participative dans ce pays, soit-disant dictatorial. Vous pourrez y vérifier que cette « dictature » peut nous donner des leçons de démocratie.
« La Souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu’elle ne peut être aliénée.(...)
Les Députés du Peuple ne sont donc ni ne peuvent être ses représentants, ils ne sont que ses commissaires ; ils ne peuvent rien conclure définitivement. Toute loi que le Peuple en personne n’a pas ratifié est nulle ; ce n’est point une loi.
(...)
Quoi qu’il en soit, à l’instant qu’un Peuple se donne des Représentants, il n’est plus libre ; il n’est plus ».
J.J. Rousseau— Du contrat social— CH XV. Des Députés ou Représentants.
Merci les Gilets Jaunes. Vous m’avez pas mal embêté dans les ronds-points, mais vous avez raison de vous dresser contre des mesures iniques. Je suis fier de vous. Les commentateurs vous reprochent de n’être arrivés à rien. Pas étonnant ! Ils sont tellement avilis qu’ils ne savent plus ce qu’est lutter pour sa dignité et réclamer le plus élémentaire respect de la part de ceux qui sont censés les représenter, au lieu de quoi ces derniers leur crèvent les yeux et leur arrachent les mains !
Fidèles à leur histoire trouble, les dirigeants français !
Pas de problème. Grâce aux mesures qui détruisent tout dans le pays, et grâce à ceux qui laissent tout passer et préfèrent s’en prendre à ceux qui protestent contre elles, il n’y aura bientôt plus de chirurgien pour opérer ma fille, ni de prof pour l’éduquer.
De plus, il est vrai qu’une copie corrigée en retard met la population en danger de mort.
Malgré le déferlement de haine que votre décision provoque, je vous soutiens. Vous avez raison.
Il est plus facile pour certains de se déchaîner sur un individu isolé que de s’en prendre aux puissants qui sont à l’origine de votre réaction.
Quant à ceux qui vous accusent de retenir des copies, ils auraient mieux fait de s’en prendre au système qui a fait que beaucoup n’ont pu s’inscrire en fac, la rentrée dernière.
Fort avec les faibles, faible avec les forts. C’est la nouvelle devise de ce pays.
Une grosse poignée de mains de soutien.