Vous sous estimé la puissance du mot pirates et de ses dérivés, c’est mots rappel a l’imaginaire le pirate des années 1600, tuant femmes et enfants, volant les richesses durement acquit par les victimes. En clair au mal absolue. Accoler ce mot à une pratique, c’est lui jeté le discrédit d’entrée.
Vous êtes tombé dans le piège tendus, et avant toute approche constructive vous accoler à la pratique une vision négative. si je reprend votre traduction de pirate ( il y en a plusieurs possible ), il faudrait mieux le traduire par « téléchargement direct entre personnes » au lieux de « téléchargement illégal » , la notion d’illégal étant changeante, et dépend aussi de la société. Il fut un temps ou il étais illégal pour les femmes de voté ou même de critiqué le roi.
Quand au fait que les éditeurs vendes moins, il faut pas tout rejeté sur les internautes et analyse ne prend pas en compte certain points : 0 - La révolution du numérique dans les pratique. 1 - Les DRM, pour ceux qui en goutté, surtout sur CD, c’est un vrais repoussoir. 2
- Les attaques répété des Majors on entraîner des boycotts, mais aussi
et c’est bien pire, des comportement distants. Il n’est jamais bon de
s’attaquer à son public.
3 - Un manque royal de compréhension de l’internet, et surtout la prise de mauvaises postions par rapport à celui ci. 4 - Le fait de vouloir réinventer le marcher, et ne pas s’adapter a lui 5 - Les abus de toutes sortes. 6 - La suppression des réseaux de distribution indépendantes 7 - La recherche rentabilité maximum, au détriment de la diversité. 8 - etc.
Les TV vivent de la diffusion d’œuvre, d’œuvres produites par d’autre quand elle ne sont pas elle même à l’origine des œuvres. De fait elle ne sont pas neutre sur la question.
Elle on aussi peur d’un nouveau concurrent qui pourrais remettre en cause leur modelé économique.
Il ne faut pas oublier que ce texte est compliqué.
Elle ne sont pas neutre envers le pouvoir et rechigne à clairement s’opposer a lui.
etc, j’en oublie certainement.
Pour toutes ses raisons elle ne parle pas du sujet de société. C’est une faute de leur part et c’est internet qui prend le relais. Pensez au non au européenne, c’est internet qui à fait la campagne du non. Comme maintenant c’est internet qui fait la campagne anti-hadopi.
L’article ne fait rien d’autre que démontré que le chiffre utilisé pour justifier l’urgence et l’importance de ce texte est simplement une perversion de la réalité qui ne tien pas longtemps à une critique constructive.
Je n’ai pas dit que « la copie et le téléchargement illicite empêchent de nouvelles œuvres d’exister », ou alors dans les partie par l’absurde, et ces partie sont ironique.
Je ne voie pas ou je me contredit, mais je suis très ouverts, faite moi des références à mon article pour illustrés vos propos.