Le Gueux

@Le Gueux
J’aie encore les cahiers d’école de ma grand-mère de 1910 qui arrétait l’école à 12 ans pour aider sa mère dans le commerce.
Son niveau d’acquisition des savoirs (on était dans l’ouest agricole profond), sa capacité de jugement sur les choses de la vie et l’échelle des valeurs qu’elle abvait acquise n’avait rien à voir avec la médiocrité, voire bien pire, des résultats actuels.
J’ai eu une des dernière « Hussardes de la République » en début de primaire. Je peux juger !

@C’est Nabum
Rôle de l’École publique = Enseignement des savoirs + développement de l’esprit critique par l’appréhension de la philosophie + étude approfondie de notre constitution.
Ce programme, payé de toute façons par nos impôts, de statut public ou privé, doit fermement rejeter toute velléité d’intrusion du parti pris politique.
Un système de rémunération complémentaire, des enseignants, et chefs d’établissements, au mérite, voire résultat, est indispensable.
Les rectorats devront être profondément assainis et remaniés, dans le but du résultat vers l’excellence, ce qui n’est pas le cas du tout depuis 40 ans.
Une régionalisation sous statut privé, dépendant directement des conseils régionaux, serait le préférable.
Tout cela ne peut se faire sous le statut actuel.

@C’est Nabum
Mais tant qu’on ne casse pas le système, et le statut, qui permet une protection aux ennemis de la vraie valeur de l’enseignement d’ouverture des esprits, il n’y a pas de solution.
Cela se ferait pour combattre « l’éducation » prônée par ces parasites politisés, dangereusement inefficaces pour l’avenir paisible de nos enfants
La seule chose qui compte, c’est l’acquisition de la connaissance vers le haut, par le meilleur de l’outil et l’efficacité financière, et on en est très loin, avec ce cloaque

@Le Gueux
en 1957 !

@C’est Nabum
Il se trouve que ces « intellectuels » sont souvent ceux qui nous ont mené à la ruine, plutôt de gauche mais aussi de la droite molle.
J’étais au collège/lycée en 6ième, par examen, à 10 ans et 3 mois.
Quand j’ai lu les 2 ouvrages de M.Brighelli, comment ne pas être entièrement d’accord avec ses analyses, à contrario de ces pseudos intellectuels post 68-tards, qui ont pourri, jusqu’à la racine, les valeurs de notre « École Publique ».
Je l’ai déjà dit , il faudra privatiser l’EN pour redonner le sens de l’analyse critique, et de valeurs de la France, et Radio France, pour redonner du sens à la liberté d’expression.
La concurrence des idées amène l’intelligence partagée..