L’artiste : On dirait que tu t’emmêles les pinceaux ? L’artisan : Aucun risque... de pinceau, je n’en ai qu’un... et j’y tiens L’artiste : Accroche-toi à ton pinceau dans ce cas... j’enlève l’échelle L’artisan : tu es complètement marteau... pourquoi tu enlèverais l’échelle ?
Le mal c’est le capital… oui mon Général !
C’est la tête, à la tête ou dans la tête…
Il faut imaginer le mal heureux
pour avoir accès au bonheur
Le mal se fait du bien… c’est ça le malheur
Parce que le mal ne se fait jamais mal…
il est malin !
Il ne vise que son bien…
aux dépens de tous les autres
Le quant à soi, le pour soi, le chez soi…
c’est là où il s’emballe
Ouvre et découvre le bal…
Ce ne sont pas les autres, donc c’est moi
Le soit disant aimable…
est l’être le plus haïssable
Qui cherche son bien,
ne peut s’empêcher de faire mal
On n’est bien servi que par soi-même !
se dit le mal heureux
On a vite fait de le découvrir
Chacun tirant vers lui la couverture
Pour se protéger, cela va sans dire
Mais aussi pour priver l’autre de sa monture
Que c’est bien de se faire du bien,
se dit le mal heureux
Et ça m’attriste, tous ces bonheurs tristes
Qui attestent qu’en nous le mal est inébranlable…
Maladie incurable
Le moi travaille pour moi
Donc le mal pour le mal…
en amont et en aval…
La définition même de la méchanceté
Moralité : les hommes sont bêtes et méchants
Chacun pour soi…
Et personne pour personne
La vraie politique… la bonne politique
Commence quand on commence
à renoncer à soi
Ne soyons pas sceptiques… tout idéal est DRAMATIQUE…
L’autre politique,
c’est la politique de l’AUTRE
Celle qui se préoccupe de quelqu’un d’autre
Mais le malheur reste le propre de l’homme
Parce qu’il cherche avant tout
son propre bonheur…
Ni le mien… ni le nôtre…
mais le sien…
qui donne la bonne heure !
Le capital… c’est le mal… oui mon Général !
Je suis bien obligée de tenir des propos vulgaires, rien que pour me démarquer de la vulgarité des manières : Vulgarité des manières qui ne datent pas d’hier Le premier homme n’a qu’une couille On croyait qu’il n’en avait pas assez avec deux Nous voilà rassurés... il n’en a qu’une. Parce qu’il ne peut en avoir qu’une En revanche, la première dame qui a prétendu n’en avoir aucune... elle en a trois sous le pied (Trierweiler) Et elle vient de le prouver, s’il vous plaît En damant le pion à son double... à la face du monde entier Faut-il s’en réjouir ou maudire ce couple président sans ciel Où la première dame joue les surhommes.
Non, mon intention n’est pas de sauver le soldat Royal Mais de dénoncer ce royaume délétère Où seul l’instinct grégaire légifère... Tout à l’égo... l’égotisme le plus vulgaire De madame... Rottweiler ! Elle ne peut pas être plus socialiste que les socialistes, tout de même, ni plus royaliste que le roi Et pourtant, elle l’est... et vient de l’étayer C’est elle qui va gouverner au nez et à la barbe de tous les français On ne le savait pas, maintenant on le sait. Nous sommes faits !
Une femme peut en détruire une autre Une femme peut nuire plus qu’aucun autre Une femme peut tromper tous les hommes du premier jusqu’au dernier... faut-il le rappeler ? Cette Valérie me rappelle Salomé Celle qui a demandé la tête de Jean le Baptiste et l’a obtenu sur un plateau doré... Parce que c’est le moment de se demander Si notre élu est un homme pour de vrai Avec une couille en moins et une embrouille en plus !
Je suis bien obligée de tenir des propos vulgaires, rien que pour me démarquer de la vulgarité des manières : Vulgarité des manières qui ne datent pas d’hier Le premier homme n’a qu’une couille On croyait qu’il n’en avait pas assez avec deux Nous voilà rassurés... il n’en a qu’une. Parce qu’il ne peut en avoir qu’une En revanche, la première dame qui a prétendu n’en avoir aucune... elle en a trois sous le pied (Trierweiler) Et elle vient de le prouver, s’il vous plaît En damant le pion à son double... à la face du monde entier Faut-il s’en réjouir ou maudire ce couple président sans ciel Où la première dame joue les surhommes.
Non, mon intention n’est pas de sauver le soldat Royal Mais de dénoncer ce royaume délétère Où seul l’instinct grégaire légifère... Tout à l’égo... l’égotisme le plus vulgaire De madame... Rottweiler ! Elle ne peut pas être plus socialiste que les socialistes, tout de même, ni plus royaliste que le roi Et pourtant, elle l’est... et vient de l’étayer C’est elle qui va gouverner au nez et à la barbe de tous les français On ne le savait pas, maintenant on le sait. Nous sommes faits !
Une femme peut en détruire une autre Une femme peut nuire plus qu’aucun autre Une femme peut tromper tous les hommes du premier jusqu’au dernier... faut-il le rappeler ? Cette Valérie me rappelle Salomé Celle qui a demandé la tête de Jean le Baptiste et l’a obtenu sur un plateau doré... Parce que c’est le moment de se demander Si notre élu est un homme pour de vrai Avec une couille en moins et une embrouille en plus !
Je suis bien obligée de tenir des propos vulgaires, rien que pour me démarquer de la vulgarité des manières : Vulgarité des manières qui ne datent pas d’hier Le premier homme n’a qu’une couille On croyait qu’il n’en avait pas assez avec deux Nous voilà rassurés... il n’en a qu’une. Parce qu’il ne peut en avoir qu’une En revanche, la première dame qui a prétendu n’en avoir aucune... elle en a trois sous le pied (Trierweiler) Et elle vient de le prouver, s’il vous plaît En damant le pion à son double... à la face du monde entier Faut-il s’en réjouir ou maudire ce couple président sans ciel Où la première dame joue les surhommes.
Non, mon intention n’est pas de sauver le soldat Royal Mais de dénoncer ce royaume délétère Où seul l’instinct grégaire légifère... Tout à l’égo... l’égotisme le plus vulgaire De madame... Rottweiler ! Elle ne peut pas être plus socialiste que les socialistes, tout de même, ni plus royaliste que le roi Et pourtant, elle l’est... et vient de l’étayer C’est elle qui va gouverner au nez et à la barbe de tous les français On ne le savait pas, maintenant on le sait. Nous sommes faits !
Une femme peut en détruire une autre Une femme peut nuire plus qu’aucun autre Une femme peut tromper tous les hommes du premier jusqu’au dernier... faut-il le rappeler ? Cette Valérie me rappelle Salomé Celle qui a demandé la tête de Jean le Baptiste et l’a obtenu sur un plateau doré... Parce que c’est le moment de se demander Si notre élu est un homme pour de vrai Avec une couille en moins et une embrouille en plus !