« Quand je disais que les cleps de la meute traînaient pas loin Parmi la dictature de la pensée qu’ils veulent imposer sur AV, celui-là, wald des forêts, voudrait bien nous faire bouffer le réchauffisme. Ces pleutres à la solde du système dominant veulent faire virer les auteurs qui les dérangent, moi qui pensaient que ces méthodes de Khmers rouges étaient révolues, le pire c’est que c’est des vieux cons, parfaitement au faîte de l’histoire, qui nous remettent le couvert. »
La paille et la poutre vous connaissez ?
« Lequel article va encore plus loin que vous : il accuse ses interlocuteurs, non de débiles comme vous le faites, mais de criminels contre l’humanité et les pires qui soient, des nazis. »
Avez-vous lu l’article du Monde ? Probablement pas. Si vous l’aviez fait, vous auriez constaté qu’à AUCUN moment Hervé Kempf n’accuse ses interlocuteurs d’être des nazis. Mais les climato-sceptiques sont trop contents de pouvoir se placer en victimes, eux qui sont les auteurs des pires diffamations à l’encontre du GIEC et de la science du climat.
« pouvez vous citer un seul exemple, d’une réalisation d’un organisme international, type ONU, OMC, OCDE, FMI et même OMS (voir le dernier épisode pandémique)... qui ait été empreint de sagesse, de pertinence, et de volonté d’aller vers un monde plus juste et plus »humain« ? »
Un exemple comme ça, et pas des moindres : l’éradication de la variole (OMS).
En revanche, pour ce qui est des mérites des organisations type OMC, OCDE, FMI, étant donné que ces organisations sont entre les mains des gangsters de l’école de Chicago, je vous donne le point.
Pour l’ONU, il existe de très nombreux programmes, mais leur efficacité est souvent limitée par les conflits d’întérêt entre ses états membres.
Pour revenir au sujet principal ; le GIEC n’a aucun rapport avec l’ensemble des organismes que vous citez. Le GIEC se contente de réaliser un travail de synthèse des travaux scientifiques réalisés dans le monde entier sur le sujet du climat. C’est donc uniquement sur ce travail de synthèse que vous pouvez le critiquer, et certainement pas sur les résultats des travaux (ceux-ci sont peer-reviewed).
Le Péripate est un partisan du rétablissement de l’esclavage pour lutter contre le chômage. Imaginez une main d’oeuvre « gratuite » et sans droits, complètement soumise à ses maîtres financièrement et psychologiquement ; voilà le rêve de tout bon néolibéral. Comme en Chine ? Comme en Chine !