Je rejoins les deux commentaires ci dessus. Le combat Asp’Explorer contre Masson m’indiffère (ou vice versa que l’on ne m’accuse pas de privilégier l’un plutôt que l’autre).
Par contre, et n’ayant rien contre l’Espéranto, je trouve particulièrement déplacés les procédés qui consistent à enregistrer un titre qui n’a rien à voir avec le contenu : C’est racoleur.
Que vous soyez pro espéranto ou pas, m’est parfaitement égal, chacun est libre d’en penser ce qu’il souhaite sur ce sujet, mais que l’on fasse croire au lecteur que le sujet concerne les femmes, alors qu’il ne concerne que l’espéranto, je ne peux que m’y opposer. Vous voulez faire des sujets sur l’éspéranto, très bien, faite les, mais au moins, ayez le courage de les assumer par un titre en rapport.
En espérant que l’on puise attendre au moins cela d’un type qui écrit des bouquins, si ce n’est pas trop demander.
Maintenat, je vous laisse tous deux à vos insultes. Amusez vous bien.
Impossible, ils sont bien trop occupés avec des sujets presque aussi important, comme la présence américaine en Irak, ou la calibrage des oeufs de poule chez les nouveaux adhérants. On ne peut pas tout faire....
Effectivement, je suis persuadé que toutes les personnes violées se posent la même question.
Ecrivez à votre député et demandez lui de proposer un texte de loi contre le tutoiement, plutôt qu’une solution logicielle. Après tout, nos députés n’en sont pas un texte idiot près.
Un article fort intéressant doublé d’un humour grinçant à souhait.
Certes notre langue n’intéresse presque personne, mais tout n’est pas si négatif.
En effet, les programmes français qui se vendent très bien, il suffit de voir les succès de caméra café vendu dans de nombreux pays, tout comme kaamelott. Beaucoup de scénarios français se vendent bien à l’étranger. On pourra citer entre autres, « la totale » qui a donné « true lie », etc....
Il convient ensuite de s’interroger sur la prise de risque des éditeurs, des auteurs, des producteurs, etc... fautes de moyens financiers conséquents, ils n’investissent pas à l’étranger. Rare sont les Bessons et son 5è élément, ou le Stalingrad de Annaud.
Bref, si la langue française ne s’exporte pas, les idées, elles, se vendent bien. En outre, La culture Française ne s’exporte pas, car les investisseurs n’ont pas le cran pour prendre des risques, ni les reins assez solides.
Un autre élément entre en ligne de compte. Beaucoup d’anciennes « colonies françaises » voient notre influence reculer, car nos entreprises, mais aussi nos gouvernants, se dégagent de ces pays, pour laisser la place des investisseurs étrangers. De ce fait, l’intérêt pour notre langue recule, et c’est l’anglais qui prend la place, avec une nette progression du Chinois.
Le problème sera réglé avec la dominance de l’espéranto, mais je ne vous l’apprends pas, je vous sais très sensible à ce phénomène, et je crois savoir que vous suivez l’Espéranto de très près.