Le Yeti

Tien, je croirais lire le tome II de mon article en cours de validation (ou pas !), « Mais Papa, l’Euro ça existe pas ! », mais en plus technique et plus concret ...

Sans être expert et même en tenant compte du fait que la perfection n’est pas de ce monde, il semblerait, au vues de ce qui se passe actuellement et surtout de la façon dont cela se déroule, qu’il y aient quand-même des ratés dans les postulats politico-économico-financiers.

Cela mis à part, c’est marrant de voir -et ce sur la plupart des sujets- que les partis pris sont la plupart du temps exhaustifs. C’est ou tout bon ou tout mauvais. Qu’est-ce que j’aimerais avoir des visions des choses aussi simples !

Précision : en me relisant je réalise que mon expression « exagérément débordées » prête à confusion. Je ne veux pas dire que l’on exagère cet argument mais bien au contraire que ce débordement, cette saturation, à atteint un stade inacceptable pour une république qui se retrouve de fait en échec sur ces points.

« le croyant reporte ses actes sur un dieu pour lequel il milite ou pense qu’il ne peut agir que sous sa conduite, sa guidance. »

Pas tous ! Là, tu ne décrit que les « fanatisés ». Certains ont plus de recul.

Rectif : « Suis-je en accord avec mes propos et avec mes actes ? »

Il ne faut pas oublier que les JMJ sont aussi une rencontre entre une « autorité » et une communauté de fidèles ; soit deux entités.
Quel que soit le message ou le point de vue de cette autorité, le message et la motivation de ceux dont on parle, ces jeunes croyants qui ont pris sur eux de s’engager et de se déplacer est sans équivoque. C’est bien un message d’amour, de paix et de tolérance. Et ça, ça me parait difficilement condamnable ; bien au contraire. Pour le reste, c’est un autre débat.

Et si certains d’entre eux seront entièrement d’accord ou dévoué à leur autorité religieuse, d’autres peuvent avoir des avis (plus ou moins) divergents sur certains points. Attention à bien placer les paroles dans la bonne bouche.

Très respectueusement (et justement par reconnaissance de leur bonne volonté), je dirais juste une chose à ces jeunes car cela me semble opportun : mon Dieu m’enseigne la droiture et la responsabilité ...
Il m’enseigne a rester honnête, noble et digne sans pour autant tomber dans la fierté ni l’arrogance. (J’apprends, j’apprends ...)
A penser par moi même d’autant plus qu’il à placé sa sagesse en moi. (Charge à moi de la retrouver.)
De ne pas m’agenouiller devant, ni abandonner mon libre-arbitre à, quiconque.
Pour tout cela, il proscrit fondamentalement l’idolâtrie :
"Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point.« 

Qu’il n’y ait pas de malentendu : je ne demande à personne d’en faire autant (et ne prêche encore moins les enseignements de mon Dieu, il a très bien su le faire lui même).
Je ne fait qu’attirer l’attention (de chacun) sur la question du sens et de la valeur de nos propres choix et actes : »Suis-je en accord avec mes propos et mes actes ?"