@Seul le contenu compte Vous remettez en cause la réalité du tableau 2 présenté par Luc Jacob au motif que le taux de TVA pris dans l’exemple (10%) ne correspond pas à la réalité. Que la part de TVA effectivement ponctionnée soit d’un autre niveau ne change rien à la démonstration et votre rejet est parasite. Le taux de 10% peut parfaitement être une moyenne entre des taux à la vente de 33% sur le luxe desquels sont déduits des TVA des fournisseurs en amont à 20% ou moins. Ne vous focalisez pas sur le montant de la TVA mais sur sa seule existence pour venir impacter la quantité de monnaie encore disponible après versement au fisc. Niez vous la réalité du message véhiculé par ce tableau à savoir que la fiscalité aspire la monnaie en circulation pour la diriger vers les caisses de l’état ?
@Seul le contenu compte Impossible au contraire d’accepter vos remarques. Vous ne maîtrisez pas le mécanisme de la TVA . La part qui est calculée sur la plus-value de l’entreprise ne lui est pas remboursée. Ce sont les seules parts dejà acquittées par ses fournisseurs en amont qui le sont. Il y a donc bien un prélèvement de tva sur chaque vente. L’adossement de la monnaie sur quelque chose est une lubie de financier ou monétarisme obsolète. Ce n’est pas indispensable et la création monétaire ex-nihilo est efficace elle aussi. Revoyez calmement vos connaissances sur le sujet elles sont lacunaire. La dévaluation de l’euro n’aurait de portée que sur les relations commerciales entre l’europe et le reste du monde. C’est sans intérêt à l’intérieur de l’europe elle-même et n’est qu’un phantasme de spéculateur. Désolé
@Hervé Hum Vous avez raison d’insister sur la question « d’où vient l’argent pour payer les intérêts » Il vient de nouvelle création monétaire ce qui fait que l’on ne peut jamais rembourser les intérêts qui s’accumulent et forme la dette. Mais ça les économistes orthodoxes ne le reconnaîtront jamais. On ne revient pas facilement sur un demi siècle de croyance. Les taux négatifs ont de nombreux avantages même sur les titres mais c’est long à expliquer dans ce message. Cherchez du côté des miniBots et CCF Italiens, voyez ce que cela donnerait avec des taux négatifs. Cela devrait vous mettre sur la voie. N’oubliez pas non plus que plus que le taux lui-même ce sont les delta de taux qui sont important pour les marchés. Echanger du moins négatif ou prêter à un taux moins négatif que celui emprunté (banques commerciales) revient à encaisser du positif. Bon courage
Votre raisonnement ne tient pas la route. Pour que le banquier réinjecte les intérêts dans l’économie encore faut-il pouvoir lui payer les intérêts, or il est entendu que ce n’est pas possible, sauf à réemprunter. Le banquier ne rend pas les intérêts au circuit économique il crée un manque qui génère de nouveaux emprunts en chaine.
Quand au paiement par l’état en utilisant lui aussi la création ex-nihilo est préférable à condition que l’état ne réclame pas d’intérêt, c’est à dire ne jour pas au banquier.
Vous n’avez pas tout compris au fonctionnement de la monnaie et du circuit économique. Je vous invite à lire les passages sur le budget de l’état et la monnaie du livre « L’escroquerie du capitalisme néolibéral » ; vous aurez les bonnes réponses.