Cela
t’en bouche un coinde découvrir
que la famille Mohammed Abdelaziz Président de la RASD est marocaine depuis
toujours. Mais de cela vous ne pipez mot ! En bon "chien de garde bien
dressé", vous louvoyer, vous noyer le poisson et vous sortez de votre chapeau la
Mauritanie. Ah la botte secrète du bon élève ! Moi je dis bravo ! Vous avez bien
appris votre leçon. Mais JE persiste et signe : n’est-elle pas singulière
l’histoire de ce père Khelili Mohamed Salem Rguibi ancien militaire et retraité
de l’armée marocaine, qui est marocain depuis des générations... et de SON FILS
né marocain, Hmatou Ould Mohamed Salem Rguibi, alias Mohammed Abdelaziz
Président de la RASD, qui a choisi de combattre son propre pays.
Revenons
donc à la Mauritanie !
Commencez
par lire dans le texte des résolutions de la conférence de Tanger 1958 signées
par le Néo-destour Tunisien, l’Istiqlal Marocain et le FLN Algérien, la
résolution suivante : « Constatant par ailleurs que la lutte menée par les
populations mauritaniennes pour leur libération de la domination coloniale et
leur retour à la patrie marocaine, s’inscrit dans l’unité historique et
technique du Maroc, comme elle traduit les aspirations profondes de ces
populations ».
Vous ne saisissez pas encore ? Ce n’est pas grave !
Sous
titrage : La Mauritanie fut considérée, par le Maroc, par le Sultan
Mohammed V, par les leaders mauritaniens, par les leaders maghrébins
(conférence de Tanger), par les partis politiques marocains et maghrébins (le
Neo-Destour et le FLN), comme une partie intégrante du Royaume Chérifien. Et,
dès octobre 1956, le Maroc affirma auprès du Conseil des tutelles des Nations
Unies ses droits sur la Mauritanie, Sidi Ifni et Rio de Oro. Le Sultan Mohammed
V réaffirma en 1958 cette revendication lors de son célèbre discours de M’hamid
El Ghizlane. Ceci (c’est-à-dire l’histoire) explique dans une large mesure la
présence de la Mauritanie dans les premiers temps du processus du rattachement
des provinces marocaines du Sahara. Si vous connaissez Mokhtar Oul Dada, vous
devez certainement connaître Dey Ould Sidi Baba ou Fal Ould Oumeir ! Consultez l’histoire de ces deux personnalités politiques.
Savez-vous
que les Oulad Bou Sbaa la tribu d’appartenance du Président Mohamed Abdel Aziz
de Mauritanie, revendiquent avec orgueil leurs originesmarocaines (El Haouz).
L’Algérie
revendique l’autodétermination d’un peuple (Recensement espagnole 1975 :
70000 personnes) composé de trois tribus principales : Les Oulad Bou Sbaa,
les Oulad Delim, et les Rguibat.
Parmi
ces trois tribus, je vous laisse le loisir de chercher celles qui ont appuyé ou
donné naissance à au moins deux grandes dynasties qui non seulement ont
gouverné le Maroc, mais fait l’histoire du Maroc et réalisées l’union du
Maghreb à partir de Fès et de Marrakech !
Vous ne saisissez toujours pas ?
Remarques : Votre peine, vous pouvez la garder pour vos proches.
Les wahhabites, la CIA, les
sionistes et bientôt les martiens ! La théorie du complot de la main
invisible de l’étranger est un subterfuge éculé dont la finalité est de masquer
une réalité simple : la nature dictatoriale du régime qui gouverne l’Algérie.
Notre pire ennemi, c’est nous-même. Depuis plusieurs décennies, le pire ennemi
de l’Algérie (son drame) c’est la logique politique de la nomenclature qui la
gouverne depuis l’indépendance, qui porte un préjudice monumental d’abord aux
intérêts des populations algériennes.
Les wahhabites, la CIA, les
sionistes... et bientôt les martiens ! La théorie du complot de la main
invisible de l’étranger est un subterfuge éculé dont la finalité est de masquer
une réalité simple : la nature dictatoriale du régime qui gouverne l’Algérie.
Notre pire ennemi, c’est nous-même. Depuis plusieurs décennies, le pire ennemi
de l’Algérie (son drame) c’est la logique politique de la nomenclature qui la
gouverne depuis l’indépendance, qui porte un préjudice monumental d’abord aux
intérêts des populations algériennes.
À
l’exception de certains journalistes (entre autres, Mohamed Boualem Benchicou),
La presse algérienne officielle est l’héritière du standard de la presse de
l’Est du temps du rideau de fer et du stalinisme. Elle fait dans la propagande
son petit pain quotidien. Elle la doit sa liberté apparente, au fait qu’elle
soit aux ordres de l’un ou l’autre puissant parrain des centres de décision en
Algérie, qui lui dicte sa ligne éditoriale.
On
peut lire ici et là, la présentation suivante du Président de la « RASD » : "Mohammed Abdelaziz, de son vrai nom, Hmatou Ould Khelili Mohamed Salem
Rguibi, est d’origine marocaine, né le 17 août 1947 à Marrakech, d’où son
surnom « Abdelaziz el Marrakchi ». La famille de Mohammed Abdelaziz vit toujours
au Maroc. Son frère cadet, le Docteur Reguibi, est chirurgien à Casablanca où
il s’est établi après une formation à la ville de Béni-Mellal dans laquelle il
avait vécu pendant plus de dix ans. Le deuxième frère de Mohamed Abdelaziz, El
Habib Reguibi, est avocat au barreau de la ville d’Agadir. Son père, Khelili
Mohamed Salem Rguibi, est retraité des Forces Armées Royales (FAR). Le père de
Mohamed Abdelaziz est également membre du Conseil Royal Consultatif pour les
Affaires Sahariennes (CORCAS)."
La
presse algérienne « libre » osera-t-elle un jour soulever à sa
« une » la question des origines « Mohammed Abdelaziz »
Secrétaire Général du Polisario et Président à vie de la RASD ? : Qui
est-il ? d’où vient-il ? Que pèse-t-il dans le budget de l’État algérien ?
Cette
presse algérienne « libre », osera-elle signaler aux algériens que la
plupart des membres fondateurs historiques du Polisario ont réintégré le Maroc
en tant que mère patrie ?
Cette
presse algérienne « libre », est-elle capable de poser la question du
bien fondé de la présence armée du Polisario sur le territoire algérien (contre
un pays soi-disant frère), ou encore de sa prise en charge politique, militaire
et diplomatique dans le budget de l’état algérien depuis 1975 ?
Quelle
serait la réaction de cette presse si le Maroc abritait sur son territoire un
groupe armé dirigé contre l’Algérie ? Ou encore si le Maroc revendiquait haut et fort un statut d’autonomie ou même de régionalisation avancée pour les
Kabyles, les Mozabites ou les Chaouis ?
Une
chose est sûre, cette presse sait que le Maroc a définitivement gagné la
bataille de son intégrité territoriale en 1975. Elle sait que le Maroc est bel
et bien le seul maître de ses provinces du sud. Elle sait aussi que tout le
reste, c’est du grand bavardage, de l’excitation mentale et de la perte du
temps.
Remarque :
Certains commentaires ici sont plus de l’ordre de « CHAHIQ AL BIGHAL »
des aboyeurs professionnels spécialistes de l’insulte et de l’invective, que de
l’ordre de la pensée normale et équilibrée.