Il ne sagit pas tant de la carmf ou de la macsf qui ne sont pas déjà négligeables mais vous devez savoir qu’il est plus facile de se payer des immeubles et actions pour sa retraite à 10 patients à l’heure qu’à 1 toutes les 2 heures. C’est mathématique et humain.
Et il est courant de parler, dans le milieux médical, de travail pour sa retraite dans ces cas là, évidemment exceptionnels dirions nous...
Ce qui n’empêche bien évidemment pas certains médecins de se retrouver gagner moins que le smic, dis t’on.
"par Mangouste (IP:xxx.x59.67.132) le 3 mars 2007 à 10H35
La notion de preuve est une forme de terrorisme intellectuelle quand celui qui la brandit : ..."
Nous faisons à mon avis les mêmes erreurs que ceux dont vous redoutez les idées.
- Toute preuve apporte une assurance. Ceci est intrinsèque à sa définition.
Vient ensuite la question de l’intelligence de la preuve, celle de l’absolu de celle ci, puis enfin celle de son utilisation.
La preuve est indispensable pour avancer dans la vie. En est donné l’exemple du profond trouble ressenti suite à un tremblement de terre.
Et il ne peut être ensuite fait de reproche à une société de vouloir se protéger contre les errements inévitables de ses membres ( primere non nocere ).
en ce qui concerne l’intelligence de la preuve , peut être peut-on considérer qu’elle est tributaire de 2 facteurs :
- de la compréhension du problème étudié et de nos capacités d’analyse,
- de notre volonté de découverte de vérité, je dirais de notre politique de compréhension du phénomène en fonction de notre intention.
Et c’est sur ce point , « l’absolu » que commencent les divergences entre les acteurs et les partisans du tout mécanique et ceux d’une immersion dans une globalité, même si les 2approches sont 2 phases indispensables au tout de la compréhension de la vie.
Et sans parler des puissances mises en jeu pour ces 2 visions, soyez bien sûr que cette approche intellectuelle ne connaît pas les limites des clivages politiques politiciens.
Vient ensuite l’utilisation de la preuve, ce qui le met au même niveau que votre couteau ou votre marteau : s’agit-il d’un instrument précieux ou d’une arme fatale ?
Là intervient encore un peu le libre arbitre et la liberté des individus.