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LePetitCousin

Ardent défenseur du changment positif et constructif, je suis en quelque sorte le philosophe autodidacte du quotidien. Je crois profondément aux valeurs fondamentales issues de l’Amour inluant la bonté, la beauté et la vérité.Je suis père d’un petit garçon de 2 ans et habite avec sa mère que j’aime sincèrement. Je proviens d’un milieu disfonctionnel et j’ai travaillé très fort pour être celui que je suis aujourd’hui. Cela explique en grande partie mon intérêt pour les questions qui permettent de modifier l’avenir. La vie est un don merveilleux et la chose la plus merveilleuse est encore de faire don de soi, pourquoi ?
Haaa ! Nous le verrons bien, si tant est que mes reflexions sur Agora puissent soulever les vôtres !

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Derniers commentaires



  • LePetitCousin 30 novembre 2007 14:34

    Mon cher Nostromus, n’est-ce pas là vous qui faîte preuve de fermeture d’esprit en qualifiant un être vers qui aucunes paroles n’ont encore été échangées ?

    Qu’est-ce que cette vérité reflète ?

    N’est-ce pas là ce genre de comportement qui font que les pays prennent les armes les uns contre les autres ?

    N’est-ce pas vous qui abdiquez, les deux genoux par terre devant le constat de la pauvreté de l’humanité (vous étiez bien intriguer par l’article non ?)et qui pourtant d’un autre avis, ridiculisez tout ce qui a JAMAIS osé se tenir fier et droit devant l’inéquité, l’injustice, la violence et la haine ?

    Vous méprisez la foi alors que j’en suis sûr, vous ne savez même pas ce que c’est. Auriez-vous si peur de devenir un être meilleur ? Et qui a dit que les êtres ayant la foi était des êtres absurdes qui fesait le bien comme des fous ?

    Toujours déçu de ce genre de commentaire non-constructif et dans l’espérence de vous voir rebondir avec courage, Yannick.



  • LePetitCousin 30 novembre 2007 14:22

    Une économie qui ne se justifie que par le profit personnel au détriment des autres devrait être illégal. Le vol n’est-il pas réprimendé dans pratiquement tous les pays de ce monde ?

    Quel genre de monde aurions nous droit ? C’est pourtant bien facile, vous n’avez qu’à imaginer le respect, la fraternité, la solidarité, la miséricorde, la longanimité, la justice, la beauté, la bonté. Et outes ces réalités, au cas où vous ne l’auriez remarquez, sont des symptômes de l’Amour.

    N’y a t’il pas à cet effet plusieurs livres et plusieurs indivius qui ont tenté de présenter la nécéssité de l’Amour ? Je peux comprendre qu’un esprit cartésien se rebute devant la notion de l’Amour car aimer fait appel à la sphère des mobiles, de l’intériorité, de l’intmité la plus profonde de l’être et non pas à des faits mesurables, quantifiables etc.

    Mais, c’est ce même esprit cartésien qui devant la facture d’une dépression se verra remonter le moral par une vieille femme inconnu ayant croisée son regard misérable dans la rue pour lui tendre délicatement un sourir. Ce même sourir qui saura allumerer dans notre cartésien un désir, un goût, un sentiment d’être, une certitude quand à sa non-solitude. Ce sourir n’est-il pas en définitive que le moyen par lequel l’Amour s’est rendu au dépressif personnage de la carte ?

    Qui pourrait oser traiter Ghandi, Jésus, Mère thérèsa de Fous pour avoir sauvés tant de vies de la misère, libérés du joug de la peur des millions d’individus, fait avancer les pauvres au rang d’êtres aimés ? Qui ?

    Même les fous n’osent pas aller contre cela, cependant, ils n’ont pas le courage d’aller au delà de la peur qui vient crystaliser se sentiment de solitude cosmique et par entraînement, ils cherchent à briller parmis les hommes au détriment des autres pour emplir ce vide de non-sens existentiel.

    Les plus riches de se monde en viennent à se prendre pour un dieu, n’est-ce pas-là une preuve suffisante pour valider l’existence de la réalité de cette sphère en l’Homme : le besoin d’être aimé ?

    Mais non, tant que l’Amour sera évincée de nos réalités de monde malsain, nous lutterons contre la vie pour combler un vide alors que la vie est en nous et qu’il nous suffit que de l’accepter intelligemment.

    Accepter quoi ? De coopérer avec quelqu’un qui nous voit, quelqu’un qui nous aime, quelqu’un qui nous veut heureux et qui connaît les lois de l’Amour puisqu’ils les a écrites. Notre Être supérieur. Refuser cela c’est détruire l’humanité puisque jamais rien d’autre ne pourra unir l’humanité.

    Accepter de regarder en soi sous la présence paternel d’un être suprême qui se dévoue corps et âme pour notre salut et notre bonheur afin de vérifier si nous avons été diffuseur d’amour au quotidien, est-ce si dur ?

    À vous lire, Yannick.



  • LePetitCousin 27 novembre 2007 15:38

    Bonjour, La fin d’une époque ? Je crois bien que oui. Les symptômes que vous avez présentés sont représentatifs de bien des maux qui affligent notre tissu social à l’heure actuelle.

    Selon le fameux DSMV 4, la bible des psychiatres, l’attitude actuelle des grandes entreprises correspond à celle d’un psychopathe : Incapacité de reconnaître un tort, incapacité de s’investir, incapacité de nouer des liens, incapacité de comprendre son prochain, incapacité de tenir une promesse, incapacité de prendre une décision équilibrée etc.

    Nous savons tous que les grandes entreprises tuent allégrement pour parvenir à leurs fins. Nous n’avons qu’à penser aux pétrotueuses qui détruisent littéralement des villages entiers au nom du profit ou bien aux grandes textiles qui abusent de générations d’enfants sans même l’ombre d’un remords pire, quand on les écoute, être pauvre c’est une maladie honteuse et les riches sont les sauveurs de l’humanité !

    Est-ce la fin d’une époque ? Disons qu’un cancer finit toujours par aboutir.

    Quand le peuple est acculé au pied du mur et que la pétition sociale n’a plus d’effets, c’est la guerre. Et quand l’Homme peut de nouveau comprendre son prochain, on fait de la politique.

    Tant que la politique tirera profit directement des grandes entreprises, elle permettra à ces dernières d’abuser de tous les droits tandis que le citoyen épongera toutes les dettes.

    Que penser de nos représentants qui serrent la main de Poutine ? Qui vont contre Kyoto ? Qui soutiennent les jeux Olympiques en Chine ?

    Qu’ils ont été grassement financés pour être au pouvoir.

    Tant que le citoyen permettra à des êtres vils et impies d’être au pouvoir, il verra son pays sombrer dans la corruption, l’injustice et la misère sociale car, ce dernier sera livré en pâture aux plus vilains de ce monde.

    Vive l’instruction qui libère, vive l’éducation affectueuse, vive la reconnaissance d’une paternité collective et d’une fraternité commune. À eux seul ils feront de l’humanité un endroit où il fait bon vivre.

    Yannick.



  • LePetitCousin 26 novembre 2007 03:16

    Je trouve que vous soulevez un point majeur qui concerne les fondements même de nos structures. Tant et aussi longtemps que nos structures sociales ne seront pas aptes à se défendre efficacement contre l’égoïsme, nous resterons la proie facile que nous sommes pour le grand Dow Jones et ses acolytes.

    Quand nous comprenons le sens profond de la vie, nous savons tous que l’effondrement d’une structure inéquitable et injuste est inévitable. Le livre des lois fût écrit bien avant que l’Homme eusse appris à lire et, comme vous le soulevez si bien, seul la connaissance de ces dites lois pourra mener la civilisation à son terme.

    Seulement voilà, à tout cela, et pour le bénéfice de tous, j’ajouterai ceci : la cellule en soi ne peut pas se vanter d’être altruiste car, elle n’est pas volitive. Le fait que la structure globale bénéficie d’une cohérence réglé au quart de tours ne peut donc pas se comprendre de l’extérieur mais bien de l’intérieur : là ou l’Homme en général n’ose s’aventurer parce qu’il a peur.

    L’organisation est un signe d’intelligence or, tant et aussi longtemps que l’Homme omettra volontairement par orgueil d’inclure dans l’arithmétique sociale cette vision englobante, il se perdra en conjoncture ne menant nul part.

    À vous lire, Yannick


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