Une économie qui ne se justifie que par le profit personnel au détriment des autres devrait être illégal. Le vol n’est-il pas réprimendé dans pratiquement tous les pays de ce monde ?
Quel genre de monde aurions nous droit ? C’est pourtant bien facile, vous n’avez qu’à imaginer le respect, la fraternité, la solidarité, la miséricorde, la longanimité, la justice, la beauté, la bonté. Et outes ces réalités, au cas où vous ne l’auriez remarquez, sont des symptômes de l’Amour.
N’y a t’il pas à cet effet plusieurs livres et plusieurs indivius qui ont tenté de présenter la nécéssité de l’Amour ? Je peux comprendre qu’un esprit cartésien se rebute devant la notion de l’Amour car aimer fait appel à la sphère des mobiles, de l’intériorité, de l’intmité la plus profonde de l’être et non pas à des faits mesurables, quantifiables etc.
Mais, c’est ce même esprit cartésien qui devant la facture d’une dépression se verra remonter le moral par une vieille femme inconnu ayant croisée son regard misérable dans la rue pour lui tendre délicatement un sourir. Ce même sourir qui saura allumerer dans notre cartésien un désir, un goût, un sentiment d’être, une certitude quand à sa non-solitude. Ce sourir n’est-il pas en définitive que le moyen par lequel l’Amour s’est rendu au dépressif personnage de la carte ?
Qui pourrait oser traiter Ghandi, Jésus, Mère thérèsa de Fous pour avoir sauvés tant de vies de la misère, libérés du joug de la peur des millions d’individus, fait avancer les pauvres au rang d’êtres aimés ? Qui ?
Même les fous n’osent pas aller contre cela, cependant, ils n’ont pas le courage d’aller au delà de la peur qui vient crystaliser se sentiment de solitude cosmique et par entraînement, ils cherchent à briller parmis les hommes au détriment des autres pour emplir ce vide de non-sens existentiel.
Les plus riches de se monde en viennent à se prendre pour un dieu, n’est-ce pas-là une preuve suffisante pour valider l’existence de la réalité de cette sphère en l’Homme : le besoin d’être aimé ?
Mais non, tant que l’Amour sera évincée de nos réalités de monde malsain, nous lutterons contre la vie pour combler un vide alors que la vie est en nous et qu’il nous suffit que de l’accepter intelligemment.
Accepter quoi ? De coopérer avec quelqu’un qui nous voit, quelqu’un qui nous aime, quelqu’un qui nous veut heureux et qui connaît les lois de l’Amour puisqu’ils les a écrites. Notre Être supérieur. Refuser cela c’est détruire l’humanité puisque jamais rien d’autre ne pourra unir l’humanité.
Accepter de regarder en soi sous la présence paternel d’un être suprême qui se dévoue corps et âme pour notre salut et notre bonheur afin de vérifier si nous avons été diffuseur d’amour au quotidien, est-ce si dur ?
À vous lire,
Yannick.