• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

LetUsComment

LetUsComment

Initialement afficionado de la petite phrase sur Twitter, je m'autorise parfois des reflexions plus longues.
D'accord ou non, merci à vous de m'avoir lu ! =)

Tableau de bord

  • Premier article le 12/03/2014
  • Modérateur depuis le 31/05/2014
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 9 150 592
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 6 3 3
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique












Derniers commentaires



  • LetUsComment LetUsComment 23 janvier 2015 10:11

    Re-bonjonr njama smiley


    Un complément de réponse donc :

    - Tuer est le mot qui convient quand on met un terme à une vie. Or, biologiquement parlant, c’est tout à fait ce qui se passe. On peut démagogiquement changer les mots. La réalité est celle-ci.

    - Vous retombez dans les vieux travers féministes. Oui il y aune distinction de fait entre un embryon et sa mère. Le fait de les distinguer n’exclut pas qu’ils aient des liens tout aussi réels (et pour le coup important, dont on sait qu’ils sont à l’origine de nombre de traumatisme post-IVG).

    - J’ai distingué d’emblée dans mon article le fait de considérer l’embryon comme une personne, qui serait un débat philosophique, du fait qu’il soit un être humain, débat scientifique (qui n’en est absolument pas un). L’embryon est un être humain. SI vous, philosophiquement, vous classez des êtres humains entres les personnes et des « choses », cela n’engage que vous..

    - le déni de grossesse (qui n’a rien à voir avec jeter des enfants dans une poubelle) prouve au contraire que l’intention ne fait pas l’être, puisque le bébé est là malgré que la femme « l’ignore ».
    Il prouve également les liens forts entre la mère et l’enfant puisque le jour où elle se rend compte de cette grossesse, celle-ci reprend son cours tout à fait normalement.

    - la femme a le pouvoir sur l’enfant, mais elle n’est pas l’enfant. La responsabilité de la mère qui porte (et aussi du père qui accompagne) est d’assumer pleinement cette nouvelle vie. C’est clairement une question sociale et philosophique. De civilisation d’ailleurs.


  • LetUsComment LetUsComment 23 janvier 2015 10:04

    En réalité, la question ne se pose pas. La vie commence à la fécondation.



  • LetUsComment LetUsComment 23 janvier 2015 10:03

    Bonjour njama,


    Si vous m’avez bien lu, vous avez compris que pour moi l’IVG est un acte médical, comme l’IMG est censé l’être aujourd’hui (même si certains s’en servent d’IVG hors délai mais c’est un autre problème..)
    A partir de là, il n’y a ni interdiction ni obstruction. Simplement un personnel médical, qui comme souvent, doit prendre des décisions dans des situations humainement complexes.

    Un second volet devrait et devra concerner l’adoption des enfants sous X, et des enfants tout court. L’adoption a toujours été l’alternative à l’avortement, et ce depuis le départ.

    Par ailleurs, qu’on arrête de prétendre que la grossesse non désirée est un drame. Elle est une contrainte ou un imprévu. En faire un drame est une affaire de responsabilité, individuelle et collective.

    Par ailleurs, l’argument des conditions artisanale et dramatique des avortements d’antan est totalement éculé. Il sert principalement à empêcher toute remise en question de cet IVG dont on sait pourtant qu’il n’est pas satisfaisant, pour ne pas dire scandaleux.

    Si vous relisez bien mon article, vous verriez que mon emphase est loin d’être déraisonnable..


  • LetUsComment LetUsComment 23 janvier 2015 09:54

    J’espère bien que ce ne sera pas le dernier tant qu’on traitera la question de l’IVG par-dessus la jambe...



  • LetUsComment LetUsComment 24 juillet 2014 21:19

    Où ai-je prôné la destruction de la nation, ou de l’état ?


    La sécu n’est pas dans les fonctions régaliennes de l’Etat. Il se doit de les encadrer, pas de s’en occuper. En tout cas, c’est ma position : l’Etat devrait définir le cadre, par les lois, et les assurances privées évoluer dans ce cadre.
    C’est d’ailleurs ce qui se passe pour les mutuelles.

    Faire de moi un néo-libéral, c’est une jolie formule, mais c’est surtout passer à coté du débat. A ce jour, que cela plaise ou non, un système d’assurances privées ferait 10 fois mieux que notre sécu. Celle-ci est par essence vouée à disparaitre.

    A partir de là, on verra ce qu’on peut faire de mieux. Mais aujourd’hui, la sécu n’est pas une solution. Elle est un problème.

    Vous brandissez un épouvantail là où je lutte concrètement contre un VRAI problème qui se pose.
    On ne se soigne pas à crédit, sauf dans un monde nombriliste et individualiste.
    Aujourd’hui, c’est ce que la Sécu nous fait faire.
Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv