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Justice et Droit, telles sont les deux mamelles de la Démocratie, alors que commissions et rétro-commissions apparaissent aujourd’hui comme les deux piliers de la corruption. Sans Justice et sans respect du Droit, la Démocratie n’est qu’un vain mot qui nous entraîne vers le chaos ; c’est tant une fable qu’une farce qui toutes deux endeuillent la République tout entière. Alors dire non à la corruption, c’est, face aux crises actuelles et aux défis de l’avenir, une nécessité première : dire oui au développement durable, oui à une société équitable forgée dans le creuset des droits humains universels.

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  • Premier article le 08/04/2008
  • Modérateur depuis le 21/04/2008
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Derniers commentaires



  • Libr'Op Libr’Op 18 avril 2008 14:56

    L’honorable parlementaire Jean-Luc Mélanchon ignore que le Tibet a été envahi par l’Armée rouge chinoise en 1950 et non pas en 1959. Au lieu de véhiculer la propagande de Pékin, l’honorable parlementaire maoïste ferait mieux de se rendre au Tibet, d’une part, et, d’autre part, à Dharamsala en Inde, siège du gouvernement tibétain en exil. Pour un prétendu "socialiste" prendre fait et cause pour une puissance colonialiste et une dictature sanguinaire, n’est-ce pas quelque peu étrange ? Jean-Luc Mélanchon ferait meieux de prendre exemple sur son collègue du PS Bertrand Delanoë qui veut faire du dalaï-lama un citoyen d’honneur de la ville de Paris.



  • Libr'Op Libr’Op 18 avril 2008 14:49

    Le dalaï-lama n’est en rien "théocratique". Au Tibet, il n’y a jamais eu de "théocratie" car le dalaï-lama n’est pas un "dieu" et dans le bouddhisme il n’y a pas de "dieu". Le dalaï-lama a pris clairement position en faveur de la laïcité et le régime qu’il a mis en place en exil est un régime démocratique. Actuellement au Tibet, le régime est un régime totalitaire et colonialiste. Un régime où seul la voix du parti communiste chinois a le droit de se faire entendre.



  • Libr'Op Libr’Op 18 avril 2008 14:38

    Bien sûr, l’évidence même. La Chine est la dernière puissance coloniale à subsister. Mais la Chine est aussi l’un des 5 membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU, la quatrième puissance économique mondiale, le pays le plus peuplé de la planète et la plus ancienne civlilsation vivante de l’histoire de l’humanité. Autant de raison pour lesquelles la Chine a devoir de respecter les canons du droit international et les principes des droits de l’homme. La Chine était présente à la création de l’ONU et elle doit respecter la Charte des Nations unies. Il serait inconcevable qu’il pût en être autrement. Et il est inconvebable qu’il en soit autrement.



  • Libr'Op Libr’Op 18 avril 2008 14:21

    Oui, c’est bien ça et merci de l’avoir dit. La rhétorique adoptée par Pékin au sujet du Tibet est une rhétorique colonialiste qui n’a rien à envier à la rhétorique des colonialistes européens en Afrique ou en Asie. Bien entendu la question n’est pas de savoir si les Tibétains avant 1950 étaient des serfs ou pas. La certitude, c’est qu’après 1950, les Tibétains ont été réduits en esclavage par la dictature communiste ! Quant aux exactions commises par l’ancien régime tibétain, c’est bien d’en faire mention, mais pourquoi dans le même temps oublier les exactions de l’ancien régime chinois ? Que je sache au Tibet les femmes n’ont jamais eu les pieds bandés ! Quant aux exactions du régime communiste chinois après 1950, au lieu de les gommer il faut au contraire s’en souvenir : la famine et ses dizaines de millions de morts avec le Grand Bond en Avant, la destruction de la culture chinoise avec la Révolution culturelle, les épurations politiques, les camps de la mort ou laogai (la rééducation par le travail) comme dans la Sibérie soviétique. Alors sachons dire "NON !" à la puissance coloniale chinoise au Tibet.



  • Libr'Op Libr’Op 18 avril 2008 10:48

    Désolé, Claude B. Levenson n’est pas un homme mais une femme ! Et c’est une auteure, comme on dit aujourd’hui, qui a visité à plusieurs reprises le Tibet. Claude B. Levenson connaît aussi le Tibet exilé et est une proche du dalaï-lama. Ses multiples ouvrages sur la question tibétaine font référence. Le "fumiste" en la matière est le maoïste Jean-Luc Mélanchon qui se contente de répéter servilement la propagande de Pékin. N’hésitez pas à vous rendre à Dharamsala en Inde consulter les archives tibétaines pour mieux comprendre la question du Tibet. Vous pourrez également y rencontrer Lhasang Tsering, ancien de la Résistance tibétaine basée au Mustang népalais, qui tient la librairie Bookworms dans le centre de MacLeodGanj face à l’Office du Tourisme local. Vous pourrez tout autant vous entretenir avec le Tibetan Youth Congress et discuter librement de la réalité historique et politique du Toit du Monde. Vous rencontrerez là-bas des réfugiés qui ont franchi l’Himalaya pour fuir l’oppression chinoise, la prison et la torture. Après vous pourrez parler en connaissance de cause. Il y a un autocar quotidien depuis New Delhi pour Dharamsala. Sur place vous pouvez loger au Paldjor Gyakil GuestHouse, la patronne parle français. Bon voyage.

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