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Sébastien Fath est historien, chercheur au CNRS. Il travaille sur laïcité et religions, particulièrement dans le domaine des protestantismes évangéliques et des églises d'immigration. Il intervient ici en tant que citoyen.
Déçu de la gauche officielle, épris de liberté, ardent défenseur de la laïcité, il plaide pour un Etat plus juste, moins vorace et mieux contrôlé, ouvert sur les dynamiques solidaires de la société civile.

Tableau de bord

  • Premier article le 24/12/2012
  • Modérateur depuis le 16/01/2013
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Ses articles classés par : ordre chronologique










Derniers commentaires



  • LibreSF LibreSF 22 janvier 2013 19:14

    Le problème de votre suggestion, cher lulupipistrelle, c’est qu’elle ouvre la boîte de Pandore. 

    Le plus juste est de revenir à une vraie neutralité de l’Etat, à savoir aucun financement d’aucun clergé. Pour le reste, nul besoin de mettre fin à l’ensemble des particularismes alsaciens.

    L’assurance maladie, le droit local.... tout ceci relève d’une autre logique que la suppression du salariat du clergé. L’astuce des clercs est justement de tout mélanger, comme si l’arrêt de cette anomalie qui consiste à financer le clergé entraînait la fin de tous les particularismes. 

    La réalité est toute autre. Supprimons le financement, totalement contraire à la laïcité, sans supprimer tout le reste. Pour l’anecdote, je suis natif de Strasbourg moi-même, et fan de l’Alsace !


  • LibreSF LibreSF 16 janvier 2013 21:46
    A Agent orange
    Et les victimes civiles (femmes en première ligne) des djihadistes dynamiteurs de mausolées et brûleurs d’écoles, vous en faites quoi ? 
    La guerre est toujours une défaite, mais la guerre était DEJA là. l’intervention française entend simplement la faire pencher du côté de la majorité du peuple malien, qui n’a pas envie d’une talibanisation du pays. 
    Concernant Olivier Roy, votre attaque n’appelle pas de réponse. Vous me faites un procès d’intention, alors que mon article se situe dans le débat d’idée.
    Si vous saviez comme je me fiche des querelles de personne et d’ego qui pourrissent le débat dans ce pays !


  • LibreSF LibreSF 16 janvier 2013 19:44

    Chère Nangala, 

    Mon type d’écriture ici est la tribune courte, pas la synthèse complète.
    Sur les questions religieuses, j’y travaille depuis 20 ans sous l’angle des sciences sociales, et j’ai vécu deux ans en Egypte, deux ans en Tunisie... Je connais un tout petit peu le terrain, merci. 
    Mais vous savez beaucoup mieux que moi, visiblement, bravo, continuez, et allez éduquer ces pauvres Maliens de Bamako qui commettent la faute géopolitique majeure d’applaudir à l’intervention française. Allez, sans rancune, et merci pour les grains de poivre, ça tomb bien, j’aime les épices. smiley


  • LibreSF LibreSF 9 janvier 2013 23:52

    Ma faute de grammaire était un test, pour voir si les internautes « suivent » smiley

    La bonne formulation était bien-sûr « on a trop écouté ». 
    20/20 aux internautes qui ont corrigé d’eux-mêmes, et vive l’école publique !


  • LibreSF LibreSF 9 janvier 2013 23:49

    Cher Antonio, 

    Je suis bien d’accord avec vous ! C’est pourquoi il faut que l’égalité des chances soit une POLITIQUE, c’est-à-dire une mise en oeuvre volontariste. Et pas juste une incantation. 

    Le drame, c’est qu’au prétexte qu’on ne pratique pas assez de POLITIQUE d’égalité des chances, on la met au rencart ou on la critique, au profit d’un nivellement par le bas (enfumage de l’égalité des places) qui fait, en fin de compte, beaucoup plus de mal encore aux catégories populaires. 

    Une large part de ma famille travaille pour l’Education Nationale (dont mon épouse), croyez-moi, j’aime l’Ecole publique. On ne lui a pas rendu service en baissant le niveau. Les riches se payent les cours particuliers, les pauvres trinquent ! 
    Les statistiques montrent bien que les enfants d’ouvrier, aujourd’hui, sont bien plus pénalisés qu’il y a 40 ans. Tout cela parce qu’on a trop écouter les démagos de l’égalité des places, et qu’on a pas assez développé de vraie POLITIQUE d’égalité des chances.


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