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  • Premier article le 02/12/2009
  • Modérateur depuis le 13/02/2010
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Derniers commentaires



  • Liger Liger 23 novembre 2011 21:25

    La Belgique avec son attrait fiscal pour grosses fortunes ?
    L’Espagne, avec sa croissance immobilière basée sur le « tous propriétaires » que notre zident kétanou voulait généraliser ?
    L’Italie et sa ligue du nord si forte et si libérale ?
    L’Irlande et sa fiscalité d’entreprise ultra-compétitive ?
    Le Portugal et ses 10 dernières années de « rigueur » ?

    Je commence à comprendre pourquoi c’est la Grèce qu’on montrait du doigt...

    Et zut, Chuck Norris a été ruiné par les sub-primes. On est foutus !



  • Liger Liger 6 avril 2011 21:19

    C’est aussi ce que j’ai pu constater, ce témoignage est tellement dans le réel, merci.
    Les quelques grands esprits que j’ai eu la chance de rencontrer avaient tous tendance à s’amuser davantage avec le « petit personnel » qu’avec d’éminents collègues.
    Malheureusement, ce genre de profil apparait rarement dans le top50 des stars de la Science, et encore moins dans la caste des décideurs. D’abord parce qu’ils n’en ont rien à cirer...



  • Liger Liger 6 avril 2011 20:22

    On a pu éviter les crash-tests à partir du moment où les modèles de simulation ont été suffisamment étalonnés et validés, en effet. Même s’il me semble globalement impossible de prévoir le mouvement d’un siège après rupture de la carlingue en plusieurs morceaux. Disons qu’on a probablement davantage réduit la probabilité d’un crash que limité ses conséquences.
    Car la simulation des phénomènes non linéaires, voire des chocs, reste très fragile dans la mesure où les conditions initiales sont elles-mêmes hasardeuses.

    Mais il y a un point qui fait de la catastrophe aérienne un évènement mineur par rapport à un accident nucléaire : C’est le temps que les conséquence se feront sentir.
    Et là-dessus, il faut être tout à fait honnête : On n’en sait rien.
    Car même si l’on connait la durée de vie d’un produit radioactif X ou Y, c’est probablement la dilution naturelle, ou l’absorption par la biomasse qui déterminera la véritable constante de temps. Un peu comme pour le CO2...
    Et face à une telle inconnue, s’opposeront toujours ceux qui sur-estimeront ce temps et ceux qui le sous-estimeront. Le genre d’affrontement qui nous éloigne de la sagesse, et d’un solide et salutaire compromis.

    Mais revenons à l’article : Ce qui à mon avis est le plus propre à tout remettre en cause, c’est que pour les trois points que j’ai cité, on ne peut espérer de progrès. C’est à dire qu’on reste en dehors des modèles d’apprentissage propres à chaque nouvelle technologie.

    Dans ces conditions, et dans la mesure ou il y a de plus en plus de réacteurs, pour un temps croissant, on connait parfaitement l’asymptote :
    L’accident n’est même pas risqué.
    Il est certain.



  • Liger Liger 9 juin 2010 11:04

    La retraite par répartition est apparue pour des raisons historiques, liées à la nécessité d’inclure dans les pensionnés de retraite ceux qui n’avaient pas capitalisé.

    Concernant la capitalisation, il faut reconnaître que le pouvoir souvent malveillant des fonds de pension étasuniens y est pour beaucoup dans le rejet d’une telle solution. Pourtant, si une telle masse de valeur d’investissement peut faire beaucoup de mal, elle peut aussi de par son volume investir sur des sujets à la fois à risque et au retour sur investissement tardif (start-up très en rupture), sans prendre de risque : en répartissant l’investissement sur des projets multiples, et sur une période longue, on peut assurer globalement un succès (loi des grands nombres).
    Mais qui décidera des investissements ?
    On a vu avec des structures comme Natexis, pourtant très « nationale », que la nature des fonds ne donnait pas de vertus particulières à la nature des investissements.

    Vouloir associer une communauté nationale à des actifs qui rapportent des dividendes est un peu casse-gueule.
    Ce n’est que mon humble avis, mais le meilleur moyen est de taxer davantage les successions, ce qui assure à la fois une bonne gestion (en « père de famille ») des actifs, des dividendes, et une meilleure redistribution des patrimoines.



  • Liger Liger 13 février 2010 17:00

    Difficile de répondre...
    On peut être en désaccord dans la mesure où il s’agit là de cas en marge des systèmes thermodynamiques courants, lesquels décrivent l’essentiel de ce qui nous entoure.
    Mais on peut aussi considérer que le vivant lui-même suit des lois d’une telle complexité que la vie sociale, a fortiori, ne peut être aussi simple qu’un cycle de Carnot...

    C’est une analogie simple à partir d’un modèle simple. Elle vise non pas à donner de la société un modèle déterministe, mais juste à mettre en évidence les erreurs de stratégie de « ceux qui nous gouvernent », ou qui le souhaiteraient. Si cette analogie reste vraie à 80%, ça devrait suffire pour qu’on s’intéresse à d’autres organisations.

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